Grey's Anatomy - Résidents & titulaires - Liste 2 - Thème 2 : amour
Preston Burke aurait aimé que tout soit toujours parfait, à commencer par le jour de son mariage. Si sur la table d’opération il aimait à ce que chaque détail soit réglé à la perfection, il en allait de même pour cette cérémonie qui marquerait un tournant dans sa vie.
Alors, avec la même délicatesse avec laquelle il pouvait suturer des valves cardiaques et réparer des aortes, il déballait doucement tous ces gâteaux qu’il avait exigés du pâtissier afin de pouvoir mieux choisir celui qui conviendrait à la perfection pour ce grand jour, et il les répartissait soigneusement sur la table.
Délice aux amandes, suprême à la nougatine, marquise au chocolat... Chacun avait ses qualités et ses points faibles. Il savait chacun d’eux. Il pouvait tous les décrire. Il aurait parfaitement pu choisir lui-même. Mais il ne le voulait pas.
Cristina choisirait. C’était leur mariage. La douce acidité de la fraise ou l’amertume du chocolat, ce serait elle qui en déciderait. Pour leur mariage, elle pourrait bien sortir son nez de ses bouquins. Pour lui, elle pourrait bien le faire.
Alors quand il finit par lui arracher un vague murmure d’assentiment pour la marquise au chocolat, Preston eut un sourire entendu et il l’embrassa.
Un mariage parfait avec une femme imparfaite, c’était bien tout ce qu’il voulait. Et tant qu’elle l’embrasserait de la sorte, il saurait apprécier tous les défauts de sa femme.
Alors, avec la même délicatesse avec laquelle il pouvait suturer des valves cardiaques et réparer des aortes, il déballait doucement tous ces gâteaux qu’il avait exigés du pâtissier afin de pouvoir mieux choisir celui qui conviendrait à la perfection pour ce grand jour, et il les répartissait soigneusement sur la table.
Délice aux amandes, suprême à la nougatine, marquise au chocolat... Chacun avait ses qualités et ses points faibles. Il savait chacun d’eux. Il pouvait tous les décrire. Il aurait parfaitement pu choisir lui-même. Mais il ne le voulait pas.
Cristina choisirait. C’était leur mariage. La douce acidité de la fraise ou l’amertume du chocolat, ce serait elle qui en déciderait. Pour leur mariage, elle pourrait bien sortir son nez de ses bouquins. Pour lui, elle pourrait bien le faire.
Alors quand il finit par lui arracher un vague murmure d’assentiment pour la marquise au chocolat, Preston eut un sourire entendu et il l’embrassa.
Un mariage parfait avec une femme imparfaite, c’était bien tout ce qu’il voulait. Et tant qu’elle l’embrasserait de la sorte, il saurait apprécier tous les défauts de sa femme.