3 aout - dors ! - original
Titre : crise de jalousie
Auteur : Solhaken
Jour/Thème : 3 aout - dors !
Fandom : Original - Les larmes de la louve
Personnage/Couple : Caslyr et Trenémas
Rating : PG-13
Disclaimer : à moi
Participation au vote de fin de mois : oui
Cross-posté pour le thème fatigue sur le forum du chant des mots, et écrite également pour Lyli_Kohai.
- Tu la trouves comment ?
- Pardon ? demanda Caslyr avec stupéfaction.
Trenémas se tourna vers lui et se redressa sur un coude pour le regarder.
- Je t'ai demandé comment tu la trouvait.
Le guerrier à demi endormi passa rapidement en revue les différentes réponses qui s'offraient à lui tout en cherchant ce que son amant pouvait bien avoir en tête.
- Et tu crois que c'est l'heure de parler d'une femme ? grogna-t-il finalement.
Le visage de Trenémas se ferma et il resta un moment silencieux. Caslyr soupira intérieurement, il n'avait aucune envie de débattre maintenant, l'expression de son amant n'annonçait pourtant rien de bon. Il ferma les yeux.
- Tu détournes le sujet.
- Oui, je suis fatigué, dors, nous reparlerons de tout cela demain si ça te chante !
Caslyr gémit intérieurement en entendant le ton plus sec qu'il ne l'aurait voulu qu'il venait d'employer. Loin de clore la discution il venait sans doute de la relancer. Cette impression fut confirmée quand il senti Trénemas s'assoir dans le lit.
- Par toutes les Puissances Tren', soupira-t-il quelque peu exaspéré. C'est une femme, que veux tu que je lui trouve ?
Il rouvrit les yeux et jeta un coup d'œil à son compagnon. Venant d'une autre chambre il pouvait percevoir les son caractéristiques d'un homme et d'une femme en train de faire l'amour. Les paroles de V'line lui revinrent à l'esprit, un seau d'eau pourrait être une bonne solution. Il sourit en repensant aux différente occasions durant lesquelles V'line et Gren'dar avaient mit cette menace à exécution.
- On peut savoir ce qui t'amuse ?
Cette fois Caslyr grinça des dents. Trenémas était-il idiot ? Il se redressa à son tour et foudroya son amant.
- Je suis crevé Tren', vraiment crevé ! Alors dis moi clairement quel est le problème, ou dors et fout moi la paix !
Il ne savait que trop bien quel était le problème. Mais il n'avait aucune envie de passer la moitié de sa nuit à argumenter. La moitié de ses muscles lui rappelaient douloureusement son entrainement matinal avec V'line, et l'autre moitié lui criait qu'il manquait sérieusement de sommeil. Il poussa un profond soupir en voyant Trenémas hésiter.
- Comment tu la trouves ? demanda-t-il finalement à nouveau.
- Bon sang Tren'... Tu es jaloux ou quoi ?
Trenémas ne répondit pas, mais son expression était clair. Caslyr se remémora l'image de Näar'Lyska, belle, elle l'était sans conteste, même à ses yeux. Trenémas ne pouvait-il pas comprendre que cela ne signifiait rien ? Qu'il admirait simplement la beauté de la jeune femme, comme on admire un paysage ou une œuvre d'art ? Son amant semblait indécis, presque mal à l'aise.
- J'ai bien vu de quelle manière tu la regarde...
- Bordel Tren', dors et cesse de dire de pareilles conneries ! siffla Caslyr en lui tournant le dos.
Il entendit son compagnon déglutire avec difficulté.
- Un mot de plus et je vais dormir à l'écurie ! prévint Caslyr. Dors !
Auteur : Solhaken
Jour/Thème : 3 aout - dors !
Fandom : Original - Les larmes de la louve
Personnage/Couple : Caslyr et Trenémas
Rating : PG-13
Disclaimer : à moi
Participation au vote de fin de mois : oui
Cross-posté pour le thème fatigue sur le forum du chant des mots, et écrite également pour Lyli_Kohai.
- Tu la trouves comment ?
- Pardon ? demanda Caslyr avec stupéfaction.
Trenémas se tourna vers lui et se redressa sur un coude pour le regarder.
- Je t'ai demandé comment tu la trouvait.
Le guerrier à demi endormi passa rapidement en revue les différentes réponses qui s'offraient à lui tout en cherchant ce que son amant pouvait bien avoir en tête.
- Et tu crois que c'est l'heure de parler d'une femme ? grogna-t-il finalement.
Le visage de Trenémas se ferma et il resta un moment silencieux. Caslyr soupira intérieurement, il n'avait aucune envie de débattre maintenant, l'expression de son amant n'annonçait pourtant rien de bon. Il ferma les yeux.
- Tu détournes le sujet.
- Oui, je suis fatigué, dors, nous reparlerons de tout cela demain si ça te chante !
Caslyr gémit intérieurement en entendant le ton plus sec qu'il ne l'aurait voulu qu'il venait d'employer. Loin de clore la discution il venait sans doute de la relancer. Cette impression fut confirmée quand il senti Trénemas s'assoir dans le lit.
- Par toutes les Puissances Tren', soupira-t-il quelque peu exaspéré. C'est une femme, que veux tu que je lui trouve ?
Il rouvrit les yeux et jeta un coup d'œil à son compagnon. Venant d'une autre chambre il pouvait percevoir les son caractéristiques d'un homme et d'une femme en train de faire l'amour. Les paroles de V'line lui revinrent à l'esprit, un seau d'eau pourrait être une bonne solution. Il sourit en repensant aux différente occasions durant lesquelles V'line et Gren'dar avaient mit cette menace à exécution.
- On peut savoir ce qui t'amuse ?
Cette fois Caslyr grinça des dents. Trenémas était-il idiot ? Il se redressa à son tour et foudroya son amant.
- Je suis crevé Tren', vraiment crevé ! Alors dis moi clairement quel est le problème, ou dors et fout moi la paix !
Il ne savait que trop bien quel était le problème. Mais il n'avait aucune envie de passer la moitié de sa nuit à argumenter. La moitié de ses muscles lui rappelaient douloureusement son entrainement matinal avec V'line, et l'autre moitié lui criait qu'il manquait sérieusement de sommeil. Il poussa un profond soupir en voyant Trenémas hésiter.
- Comment tu la trouves ? demanda-t-il finalement à nouveau.
- Bon sang Tren'... Tu es jaloux ou quoi ?
Trenémas ne répondit pas, mais son expression était clair. Caslyr se remémora l'image de Näar'Lyska, belle, elle l'était sans conteste, même à ses yeux. Trenémas ne pouvait-il pas comprendre que cela ne signifiait rien ? Qu'il admirait simplement la beauté de la jeune femme, comme on admire un paysage ou une œuvre d'art ? Son amant semblait indécis, presque mal à l'aise.
- J'ai bien vu de quelle manière tu la regarde...
- Bordel Tren', dors et cesse de dire de pareilles conneries ! siffla Caslyr en lui tournant le dos.
Il entendit son compagnon déglutire avec difficulté.
- Un mot de plus et je vais dormir à l'écurie ! prévint Caslyr. Dors !