Harry Potter - Anthony Goldstein - Mort par cannibalisme
Titre : De merveilleuses vacances
Auteur/Artiste : Selemba
Fandom : Harry Potter
Personnage : Anthony Goldstein
Rating : PG-13
Thème : Mort par cannibalisme
Disclaimer : Tout à JK Rowling !
Nombre de mots : 500 tout rond
***
De merveilleuses vacances
***
« Mon amour, il faut savoir se détendre. »
Se détendre, se détendre… Elle en avait de bonne elle ! Il avait un poste important au ministère, il ne pouvait pas quitter son travail comme ça, en pleine journée, pour faire une balade ou aller voir une exposition ! A part quelques petits interludes avec sa jeune secrétaire, Anthony ne s’autorisait pas vraiment de loisir.
Mais Lavande insistait, mois après mois, pour qu’il l’accompagne faire un safari en Tanzanie ou un trek en Bolivie. Elle aurait tout de même dû savoir, après tant d’années de mariage qu’il détestait barboter dans la boue ou au milieu de la rocaille. C’était un bosseur, il n’aimait rien autant que de plonger dans un lourd dossier qui aurait tiré des bâillements au gobelin le plus acharné.
Mais non, elle avait persévéré, tant et si bien qu’il avait fini par céder. Il s’autorisait un break d’une semaine et elle ne lui reparlait pas de vacances avant au moins une décennie.
Bien sûr, Irina avait piqué une colère noire quand elle avait appris qu’il partait aux Maldives avec sa femme. Mais franchement, fallait-il être naïve pour penser qu’il allait vraiment quitter Lavande alors qu’ils venaient de fêter leur noce de porcelaine ! Quand il reviendrait, Irina serait probablement rentrée en Bulgarie pleurer dans les bras de son père, mais Anthony ne craignait pas Viktor Krum.
Il lui suffirait d’engager une nouvelle secrétaire et d’offrir un ou deux bijoux à son épouse si les choses venaient à se savoir.
Aujourd’hui, il devait s’avouer que, malgré son peu d’enthousiasme initial, il était très reconnaissant à Lavande d’avoir tant insisté. Ils avaient passé une délicieuse semaine entre cocktail près de la piscine, plongée sous-marine et escapades romantiques. Et que dire de la petite masseuse indienne : elle, elle savait se servir de ses mains !
Anthony avait tellement apprécié ce séjour qu’il avait été presque déçu de devoir remonter dans l’avion qui les conduirait à Londres. Mais, histoire de parfaire ce voyage idyllique, les hôtesses avaient projeté pendant le retour l’un de ses films préférés, ce qui lui avait fait oublier l’hôtel luxueux qu’il venait de quitter pour ce fauteuil inconfortable.
Sa femme était vraiment merveilleuse, se redit-il pour la énième fois depuis le début de la semaine. Puis il y eut la première turbulence.
Bien plus tard, Anthony se réveilla à moitié nu, un bras cassé et une longue éraflure sur le visage. Sur une plage déserte. Il ne comprit pas tout ce qui s’était passé mais, alors qu’il s’approchait des débris de l’avion qui affleuraient la surface de l’eau, un coup brutal derrière la tête le renvoya dans les bras de morphée.
Quand il sortit de son inconscience, il était ficelé comme un saucisson et plongé dans une marmite d’eau chaude. Et vu l’attitude des sauvages qui dansaient autour du feu, ce n’était pas pour lui faire prendre un bain !
« Mon amour, il faut savoir se détendre. »
S’il revoyait Lavande, il la tuait !
Auteur/Artiste : Selemba
Fandom : Harry Potter
Personnage : Anthony Goldstein
Rating : PG-13
Thème : Mort par cannibalisme
Disclaimer : Tout à JK Rowling !
Nombre de mots : 500 tout rond
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De merveilleuses vacances
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« Mon amour, il faut savoir se détendre. »
Se détendre, se détendre… Elle en avait de bonne elle ! Il avait un poste important au ministère, il ne pouvait pas quitter son travail comme ça, en pleine journée, pour faire une balade ou aller voir une exposition ! A part quelques petits interludes avec sa jeune secrétaire, Anthony ne s’autorisait pas vraiment de loisir.
Mais Lavande insistait, mois après mois, pour qu’il l’accompagne faire un safari en Tanzanie ou un trek en Bolivie. Elle aurait tout de même dû savoir, après tant d’années de mariage qu’il détestait barboter dans la boue ou au milieu de la rocaille. C’était un bosseur, il n’aimait rien autant que de plonger dans un lourd dossier qui aurait tiré des bâillements au gobelin le plus acharné.
Mais non, elle avait persévéré, tant et si bien qu’il avait fini par céder. Il s’autorisait un break d’une semaine et elle ne lui reparlait pas de vacances avant au moins une décennie.
Bien sûr, Irina avait piqué une colère noire quand elle avait appris qu’il partait aux Maldives avec sa femme. Mais franchement, fallait-il être naïve pour penser qu’il allait vraiment quitter Lavande alors qu’ils venaient de fêter leur noce de porcelaine ! Quand il reviendrait, Irina serait probablement rentrée en Bulgarie pleurer dans les bras de son père, mais Anthony ne craignait pas Viktor Krum.
Il lui suffirait d’engager une nouvelle secrétaire et d’offrir un ou deux bijoux à son épouse si les choses venaient à se savoir.
Aujourd’hui, il devait s’avouer que, malgré son peu d’enthousiasme initial, il était très reconnaissant à Lavande d’avoir tant insisté. Ils avaient passé une délicieuse semaine entre cocktail près de la piscine, plongée sous-marine et escapades romantiques. Et que dire de la petite masseuse indienne : elle, elle savait se servir de ses mains !
Anthony avait tellement apprécié ce séjour qu’il avait été presque déçu de devoir remonter dans l’avion qui les conduirait à Londres. Mais, histoire de parfaire ce voyage idyllique, les hôtesses avaient projeté pendant le retour l’un de ses films préférés, ce qui lui avait fait oublier l’hôtel luxueux qu’il venait de quitter pour ce fauteuil inconfortable.
Sa femme était vraiment merveilleuse, se redit-il pour la énième fois depuis le début de la semaine. Puis il y eut la première turbulence.
Bien plus tard, Anthony se réveilla à moitié nu, un bras cassé et une longue éraflure sur le visage. Sur une plage déserte. Il ne comprit pas tout ce qui s’était passé mais, alors qu’il s’approchait des débris de l’avion qui affleuraient la surface de l’eau, un coup brutal derrière la tête le renvoya dans les bras de morphée.
Quand il sortit de son inconscience, il était ficelé comme un saucisson et plongé dans une marmite d’eau chaude. Et vu l’attitude des sauvages qui dansaient autour du feu, ce n’était pas pour lui faire prendre un bain !
« Mon amour, il faut savoir se détendre. »
S’il revoyait Lavande, il la tuait !