Vacances danoises (9) : Ny Carlsberg Glyptotek
De la bière ? De la pierre ? De belles pierres réunies grâce à la bière, plus exactement.
La grande glyptothèque de Copenhague fut créée en 1897 par Carl Jacobsen, le fils du fondateur de la brasserie Carlsberg. Amateur d'art, il a réuni une superbe collection d'antiquités, de peintures et de sculptures, enrichie depuis lors et toujours exposée dans un beau bâtiment du centre-ville, autour d'un grand jardin d'hiver planté de palmiers.
L'entrée y est gratuite le mardi et je passe la fin de mon après-midi, le 4 août, au milieu des sculptures, regrettant inévitablement, à la fin, de ne pas être arrivée plus tôt !
Premiers groupes remarqués, le Paradis Perdu de Jean Gautherin (1883)...
Et son quasi pendant, Les Premières funérailles de Louis Ernest Barrias (1892)
Un bout des doigts de Mozart enfant, par Louis Ernest Barrias
Persée et la Gorgone, par Laurent Honoré Marqueste
Gros coup de coeur pour cette délicieuse Ophélia d'Agathon Léonard.
Constantin Meunier - Dans la mine (1905)
Eve avant la chute, par Eugène Delaplanche (1890)
On trouve là pas mal de Rodin...
(Ici, l'Âge de Bronze)
...et beaucoup, beaucoup de Jean-Baptiste Carpeaux, dont j'aime tant les beaux portraits pleins de vie et de charme.
J'avais été très frustrée de ne pas pouvoir prendre de photos lors de l'exposition que lui avait consacré le musée d'Orsay en 2014, je me rattrape largement aujourd'hui !
Dernier coup de coeur pour cette oeuvre d'Elna Borch, La Jeune fille et la Mort, qui ne rend pas grand chose en photo
mais dont le mélange d'abandon gracieux et de froideur hiératique est assez fascinant.
Au mépris de tout ordre chronologique, je passe ensuite du côté des antiquités
Enfin, un tour rapide, beaucoup trop rapide (le musée est en train de fermer !) du côté des peintures, à l'étage.
Je n'ai pas le temps de voir grand chose mais prends celui d'immortaliser ce petit tableau de Dragør au XIXe siècle.
La moindre des choses reste de remercier les fondateurs de ce beau musée !
La journée se termine sur la place de l'Hôtel de ville où j'ai rendez-vous avec Audrey.
♠
La grande glyptothèque de Copenhague fut créée en 1897 par Carl Jacobsen, le fils du fondateur de la brasserie Carlsberg. Amateur d'art, il a réuni une superbe collection d'antiquités, de peintures et de sculptures, enrichie depuis lors et toujours exposée dans un beau bâtiment du centre-ville, autour d'un grand jardin d'hiver planté de palmiers.
L'entrée y est gratuite le mardi et je passe la fin de mon après-midi, le 4 août, au milieu des sculptures, regrettant inévitablement, à la fin, de ne pas être arrivée plus tôt !
Premiers groupes remarqués, le Paradis Perdu de Jean Gautherin (1883)...
Et son quasi pendant, Les Premières funérailles de Louis Ernest Barrias (1892)
Un bout des doigts de Mozart enfant, par Louis Ernest Barrias
Persée et la Gorgone, par Laurent Honoré Marqueste
Gros coup de coeur pour cette délicieuse Ophélia d'Agathon Léonard.
Constantin Meunier - Dans la mine (1905)
Eve avant la chute, par Eugène Delaplanche (1890)
On trouve là pas mal de Rodin...
(Ici, l'Âge de Bronze)
...et beaucoup, beaucoup de Jean-Baptiste Carpeaux, dont j'aime tant les beaux portraits pleins de vie et de charme.
J'avais été très frustrée de ne pas pouvoir prendre de photos lors de l'exposition que lui avait consacré le musée d'Orsay en 2014, je me rattrape largement aujourd'hui !
Dernier coup de coeur pour cette oeuvre d'Elna Borch, La Jeune fille et la Mort, qui ne rend pas grand chose en photo
mais dont le mélange d'abandon gracieux et de froideur hiératique est assez fascinant.
Au mépris de tout ordre chronologique, je passe ensuite du côté des antiquités
Enfin, un tour rapide, beaucoup trop rapide (le musée est en train de fermer !) du côté des peintures, à l'étage.
Je n'ai pas le temps de voir grand chose mais prends celui d'immortaliser ce petit tableau de Dragør au XIXe siècle.
La moindre des choses reste de remercier les fondateurs de ce beau musée !
La journée se termine sur la place de l'Hôtel de ville où j'ai rendez-vous avec Audrey.
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