A Song of Ice and What the Fuck
A y est, enfin, je viens de finir A Dance With Dragons.
Globalement, je trouve qu'il s'est payé un peu notre binette, le Martin. Il ne se passe rien dans les trois-quarts du bouquin, ça commence à s'accélérer un peu vers la fin, mais bon sans vraiment de coup de pression non plus, et juste quand il commence vraiment à se passer des trucs, il nous laisse les couilles bleues et la queue entre les doigts en nous claquant la porte au nez. Mais quelle pute.
Certains persos que j'aimais pourtant bien m'ont largement brisé les burnes aussi; je me souvenais pas que Tyrion était aussi chiant. Gnagnagna j'ai tué mon pèèèèèère, gnagnagna the bow thrummmmed... TAGGLE! On avait compris les deux cents premières fois, au bout d'un moment, ça use! Jon m'a bien bourré le mou aussi,Ygritte ceci, Ygritte cela, you know nothing, he knows nothing, nobody knows anything; quand il s'est fait planter j'avoue que ça ne m'a pas choquée autant que soulagée. Donc oué, Martin est sans doute pas l'auteur le plus fin du monde, et son style n'est pas le plus subtil, mais les leitmotiv à tous les chapitres de certains persos m'ont grave lourdée.
Dans l'ensemble, j'ai trouvé que ça manquait de cohérence, de direction générale, et surtout du souffle épique qui m'avait tellement plu dans les premiers tomes. Là j'ai refermé le bouquin et je me suis demandé ce que je m'étais farci pendant près de mille pages. J'ai continué à lire en attendant que ça décolle et... que dalle. Pour le coup, les gens qui se sont fait chier en lisant Feast..., Dance... ne va pas arranger leur cas.
Les seuls persos que j'ai pris vraiment plaisir à suivre, ça a été Theon (oh Theon... mon Theon, mon choupinou... on t'a fait du mal, hein...) et vers la fin Ser Barristan Selmy (mais c'est peut-être aussi à cause de son incarnation dans la première saison de Game of Thrones qui en une seule scène a fait péter sa classe quelque chose de bien; moi en tous cas j'étais trop love).
Bref, en un mot comme en cent, je suis déçue. Par contre j'avais écrit un long article sur Tumblr intitulé "Pourquoi j'aime Theon Greyjoy" avant de finir le bouquin, et même si je trouve que Theon n'a toujours pas eu son moment de gloire (j'avais espéré, pourtant...!) je reste globalement d'accord avec moi-même (c'est toujours bien d'être d'accord avec soi-même):
http://staniamstan.tumblr.com/post/9419616385/pourquoi-jaime-theon-greyjoy
Voilou.
Globalement, je trouve qu'il s'est payé un peu notre binette, le Martin. Il ne se passe rien dans les trois-quarts du bouquin, ça commence à s'accélérer un peu vers la fin, mais bon sans vraiment de coup de pression non plus, et juste quand il commence vraiment à se passer des trucs, il nous laisse les couilles bleues et la queue entre les doigts en nous claquant la porte au nez. Mais quelle pute.
Certains persos que j'aimais pourtant bien m'ont largement brisé les burnes aussi; je me souvenais pas que Tyrion était aussi chiant. Gnagnagna j'ai tué mon pèèèèèère, gnagnagna the bow thrummmmed... TAGGLE! On avait compris les deux cents premières fois, au bout d'un moment, ça use! Jon m'a bien bourré le mou aussi,Ygritte ceci, Ygritte cela, you know nothing, he knows nothing, nobody knows anything; quand il s'est fait planter j'avoue que ça ne m'a pas choquée autant que soulagée. Donc oué, Martin est sans doute pas l'auteur le plus fin du monde, et son style n'est pas le plus subtil, mais les leitmotiv à tous les chapitres de certains persos m'ont grave lourdée.
Dans l'ensemble, j'ai trouvé que ça manquait de cohérence, de direction générale, et surtout du souffle épique qui m'avait tellement plu dans les premiers tomes. Là j'ai refermé le bouquin et je me suis demandé ce que je m'étais farci pendant près de mille pages. J'ai continué à lire en attendant que ça décolle et... que dalle. Pour le coup, les gens qui se sont fait chier en lisant Feast..., Dance... ne va pas arranger leur cas.
Les seuls persos que j'ai pris vraiment plaisir à suivre, ça a été Theon (oh Theon... mon Theon, mon choupinou... on t'a fait du mal, hein...) et vers la fin Ser Barristan Selmy (mais c'est peut-être aussi à cause de son incarnation dans la première saison de Game of Thrones qui en une seule scène a fait péter sa classe quelque chose de bien; moi en tous cas j'étais trop love).
Bref, en un mot comme en cent, je suis déçue. Par contre j'avais écrit un long article sur Tumblr intitulé "Pourquoi j'aime Theon Greyjoy" avant de finir le bouquin, et même si je trouve que Theon n'a toujours pas eu son moment de gloire (j'avais espéré, pourtant...!) je reste globalement d'accord avec moi-même (c'est toujours bien d'être d'accord avec soi-même):
http://staniamstan.tumblr.com/post/9419616385/pourquoi-jaime-theon-greyjoy
Voilou.