ylg m'a dit qu'elle était impatiente d'avoir le récapitulatif, donc je me suis dépêchée...
Voilà tout d'abord juste les drabbles postés sur l'Univers Alternatif humanisé de Penguins of Madagascar sur le dernier
arbre à drabbles de
drakys...
Fandom : UA Penguins of Madagascar
Rating : de PG à R
Private, Kowalski - PG (Boys don't cry)
Accroche :
Vous n’avez aucune idée de ce que ça raconte vraiment, c’est ça ? (suite du drabble précédent, par
ylg - Ce... que ça raconte... vraiment... c'est ça qu... balbutia Private, les larmes aux yeux, en serrant la main de son lieutenant comme s'il était sur son lit de mort.
Kowalski se promit de programmer un filtre privatal sur le lecteur DVD pour empêcher ce petit de regarder des films trop durs pour lui.
- Si c'est ce que tu essayes de me demander, non, le rassura-t-il. Je n'ai jamais... connu de si fâcheuses mésaventures. Je ne me suis même pas fait frapper une seule f...
Il s'interrompit un instant, puis admis :
- Bon, si. Je me fais souvent frapper, mais pour d'autres raisons...
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Private, Kowalski, un suspect - PG
Accroche :
il lui proposa des petis gâteaux en accompagnement. Private proposa des petits gâteaux en accompagnement du café.
- Ce serait du gâchis, répliqua Kowalski. Il risque de les vomir quand on lui frappera dans le ventre...
- Ah, le coup classique du bon et du mauvais flic ? remarqua le suspect avec une assurance mal feinte, son gobelet en plastique de café brûlant tremblant entre ses mains menottées.
- C'est dur d'échapper aux classiques, admit Kowalski. Mais vous devez faire erreur sur les rôles : ce jeune homme n'est là que pour le café et c'est moi le gentil. Le méchant ne devrait plus tarder, il est parti chercher son chapeau de cow-boy...
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Skipper, Kowalski - PG
Accroche :
Mais non, des gens au-dessus tenaient à la diplomatie. - Diplomatie, mes couilles ! dictait Skipper. Ça passe ses journées à se branler dans un bureau et ça veut me dire ce que je dois faire !
... vos considérations me semblent, hélas, éloignées de la réalité du terrain. tapait Kowalski.
- Je le fais à ma manière, point barre !
Je vous prie donc instamment de reconsidérer votre demande, dans l’intérêt de la mission que vous m'avez confiée.
- Ou qu'ils aillent se faire foutre !
En vous priant d’agréer l'expression de mon respect le plus sincère.
Commander A. Peterson
- Vous désirez me relire, demanda Kowalski avant d'envoyer l'e-mail, ou vous faites confiance a ma traduction ?
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Kowalski - PG
Accroche :
il pourra s'arrêter quelques minutes pour réfléchir sur sa santé mentale. Sa santé mentale avait toujours paru excellente à Kowalski et il n'avait jamais eu que mépris envers ceux qui avait tenté de prouver le contraire - dès son enfance, quand il s'était révélé être un génie, puis un transsexuel, puis un toxicomane... Quelle perte de temps en entretiens inutiles !
On avait essayé de le disséquer, mais il était bien assez intelligent pour anticiper chacune des questions de ces charlatans.
Pourtant certains notaient dans leur compte-rendu qu'il en faisait trop, qu'il dissimulait mal une psychose mégalomaniaque.
Crétins.
Sa perception du monde était supérieure. Ceux qui le traitaient de fou avait simplement un intellect trop limité pour le reconnaître.
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Private, Kowalski(/Rico) -PG
Accroche :
l'identité transgenre de son lieutenantSuite de tout
ces trucs, là... Son lieutenant faisait peine à voir. Private songea qu'il avait bien fait de l'attendre dans la salle d'attente.
- Alors ? demanda-t-il d'une voix anxieuse.
- Je me suis trompé de diagnostic, répondit froidement Kowalski.
Puis il n'ajouta plus un mot.
Private n'osa pas le questionner. Et il n'en eu pas besoin, car des brides de conversation leur parvenaient de la porte du cabinet laissée entre-ouverte.
- Tout de même, une femme si intelligente...
Un éclair de douleur et de rage passa dans les yeux de Kowalski. Private voulu dire quelque chose mais craignait de le blesser davantage. Il tenta :
- Rico va être content...
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Kowalski/Rico - R - !dub-con
Accroche :
Rico était déçu(parce que je suis sûre que ce genre de chose doit arriver relativement souvent et que Kowalski l'accepte parce qu'il en était conscient que ça arriverait dès le début de sa relation avec Rico, lalalaaaa ^^u)
Rico était déçu. Se laisser embrasser comme ça contre un mur pour dire non juste après, c'était pas correct...
D'habitude quand Kowalski disait non, c'était dès le début, de manière claire, souvent accompagné d'un petit tape. Sinon ça voulait dire oui, c'est tout...
- Retourne dans ta chambre, répéta Kowalski dans un chuchotement. Je suis crevé et Skipper est juste à coté.
- Nan... teuplait...
Il soupira et ouvrit à contre-cœur la braguette de Rico.
- Pas un bruit et tu vas te coucher après, ordonna-t-il froidement en s'agenouillant.
C'était ça ou risquer de lui faire piquer une crise en pleine nuit...
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Skipper, Kowalski(/Rico) - PG
Accroche :
Je n'ai jamais violé personne ! - Je n'ai jamais violé personne, proteste Kowalski, plus perplexe qu'indigné.
Skipper ne semblait pas de cet avis.
- Viols répétés sur un attardé mental sous ton autorité et incapable d'exprimer son consentement ?
Kowalski blêmit. Il n'avait jamais vu les choses sous cet angle...
- Rico est parfaitement capable d'exprimer son consentement...
- C'est pas ce que dit son dossier médical.
- ... au moins en ce qui concerne des rapports sexuels ! Vous le connaissez !
- Moi, oui. Mais fais gaffe. Si ça passe en cour martial c'est renvoie pour manquement à l'honneur direct. Et des gars qui te détestent, il y en a un paquet...
-
A person is guilty of rape in the second degree when [...] 2. he or she engages in sexual intercourse with another person who is incapable of consent by reason of being mentally disabled or mentally incapacitated. (New York State Penal Code Article 130 - Sex Offences)
Lalalaaaaa, la vie sexuelle des malades mentaux est une question épineuse sur bien des plans, mes amis...
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Kowalski/Rico, Hans>Skipper - PG
Accroche :
Ce sera une très belle déclaration d'amour... - On va prendre cher. Une très belle déclaration d'amour.
- On va prendre cher... analysa Kowalski, blême.
Skipper et Private partis en mission, lui et Rico avaient été chargé de la surveillance de la base, tâche qu'ils estimaient pouvoir très bien accomplir en restant au lit - après tout on était un jour traditionnellement dédié à ce genre de chose.
Et en début d’après-midi, en se levant pour manger, ils avaient trouvé sur la table du salon un énorme bouquet de roses et une carte indiquant :
"Devine où j'ai caché ta bombe de Saint Valentin <3
PS: la sécurité de ta base laisse un peu à désirer..."
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Hans>Skipper - PG-13
Accroche :
Sous prétexte qu'entre mecs ils n'avaient rien dont rougir ! Entre mecs ils n'avaient rien dont rougir. Pas de raison, par exemple, selon Skipper, de fermer à clé la salle de bain quand ils prenaient leur douche - sauf à la limite si on a l'intention de se branler dessous, il y a des choses qui sont intimes quand même...
Adossé contre le mur, à coté de la porte entre-ouverte, Hans se concentre sur les bruits d'eau et les battements désordonnés de son cœur. Il sait qu'il pourrait pousser la porte et jeter un coup d’œil discret. Il n'ose pas. Alors il ferme juste les yeux et imagine qu'il le rejoint...
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Hans>Skipper - PG
Accroche :
toujours torse nu. Torse nu, Skipper entra dans la cuisine. Hans faillit échapper la cannelle.
- Qu'est ce que tu branles ?
- Du strudel. J'avais envie de pâtisseries...
- On est dans une mission capitale pour la sécurité internationale et toi tu fais des pâtisseries ?
- Et alors ... ?
- Et alors tu serais pas un peu pédé ?
Un instant, Hans se figea. Il était conscient que sa réaction à cette remarque pouvait tout changer. Ou pas.
Lui envoyer le paquet de farine à la figure n'était pas la chose la plus courageuse qu'il ait faite dans sa vie, mais ça lui avait permit de gagner quelques jours...
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Skipper(/)Hans - PG-13
Accroche :
après que ce malade l'ait planté... Ce malade l'avait planté.
Il gisait au sol, baignant dans son sang, planté au foie. Mais c'est au cœur qu'il avait mal à crever.
Le chant hystérique des sirènes danoises déchirait la nuit en des éclairs bleus froids.
Réunissant ses forces, il parvint à atteindre son arme et la lever vers celui qui l'avait trahit.
Hans lui sourit. Un sourire si triste que sur l'instant il lui aurait tout pardonné.
Il laissa le poids de son pistolet et de ses émotions entraîner sa main vers le sol.
Quelle connerie.
Avant qu'il disparaisse il l'entendit lui lancer d'une voix serré :
- Au revoir...
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Savio, Hans, Clemson/la moitié d'Hoboken - PG-13
Accroche :
Nous ne partons en lune de miel que quelques jours, vous savez - Vous savez qui c'est ? demanda Clemson à ses amants en désignant d'un coup de menton un nouveau venu qui roulait les mécaniques au milieu de la cour de promenade.
Savio lança un vague coup d’œil à ses tatouages.
- Mafia mexicaine. Branleur.
- En tout cas il a l'air d'avoir de la thune...
Hans leva un instant les yeux de son cahier de poésie pour observer Clemson se lever et aller entamer sa parade nuptiale.
- A part nous deux, il suce combien de personne ici au juste ?
- Si j'ai bien compté, une douzaine de taulards, quatre matons, un infirmier et deux avocats...
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Savio(/Clemson) - PG-13
Accroche :
Tous ces gens ont aussi tendance à lui taper dessus. Lui taper dessus ne lui procurait plus de plaisir, constatait-il avec agacement.
Au début, pourtant, il avait aimé le dresser, lui apprendre les limites, mais à présent le cogner suffisait à peine à calmer son irritation. Au contraire : cette crainte d'avoir frappé trop fort à chaque fois qu'il tardait à se redresser et à protester ne faisait que l'énerver davantage, car elle lui renvoyait en pleine gueule son échec, sa faiblesse ; elle lui rappelait que le plaisir de le faire souffrir était devenu plus faible que le plaisir de voir ses yeux bleus pétiller, qu'il avait perdu, qu'il était amoureux.
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Savio/Clemson - PG
Accroche :
à chaque fois qu'il revient.Et de une
chanson de Rihanna...
A chaque fois qu'il revient il se sent un peu plus esclave.
Savio ne prend même plus la peine de le poursuivre dans ses brèves tentatives de fuite. Il sait que les éclairs de lucidité de Clemson ne durent pas et qu'il ne tarde jamais à faire demi-tour, comme un toxico en manque, un papillon incapable de s'éloigner de la lumière qui lui brûle les ailes.
- Tu as finit ton caprice ? demande Savio d'une ton trahissant la routine.
- Well that's alright because I like the way it hurts... chantonne Clemson pour réponse, en laissant tomber son sac à ses pieds.
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Savio/Clemson - PG
Accroche :
une agréable chaleur envahit son corps. Il n'y avait que lui pour lui faire ressentir tout cela. Une agréable chaleur envahissait son corps.
Il n'y avait que lui pour lui faire ressentir tout cela.
Il posait ses mains froides sur lui et ses paumes se réchauffaient au contact de sa peau brûlante.
Flamboyant Clemson qui lui donnait tout. Son corps, son adoration, sa vie même, jusqu'à la dernière goutte ardente...
Et cette chaleur commençait doucement à faire fondre quelque chose en lui, quelque chose de métallique et froid, qui aurait du rester dur et tranchant, comme il l'avait forgé au fil des années.
Oui, cette petite ordure était en train de l'amollir. Il l'aurait détesté pour ça.
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Savio/Clemson - PG-13 (relation abusive)
Accroche :
D'habitude c'est moi qui suis sensé perdre la tête... La tête entre les mains, au dessus du lavabo, il espère que le paracétamol empêchera son visage de trop enfler. En tout cas il ne suffit pas à calmer la douleur. Des douleurs bien plus inquiétantes que d'habitude, dans son abdomen, et à chaque fois qu'il respire...
Hésitant, il passe la tête hors de la salle de bain et appelle doucement :
- Savio...
Tourné vers la fenêtre, son compagnon l'ignore. Clemson s'approche à pas maladroits, puis répète, en veillant à rester hors de porté de ses coups :
- Savio ...
- Qu'est-ce que tu veux ?
- Je crois que je devrais voir un médecin...
-
Note : bon, d'accord, je me suis aperçu après coup que j'ai fais une vieille confusion honteuse : le paracétamol n'a pas d'effet anti-inflammatoire. J'ai honte.
J'aurais pu du coup remplacer par de l'aspirine MAIS s'il prend de l'aspirine avec sa blessure au foie ça risque de virer en grave hémorragie interne, Savio serait triste et personne ne veut rendre Savio triste, n'est ce pas ?
Donc voilà ce qu'on va faire : on va dire que c'est lui qui s'est planté. Après tout, si je confonds les indications de l'aspirine et du paracétamol Clemson peut les confondre aussi, hein ? Et tant pis, sa tête gonflera... comme ça il ressemblera encore plus à
Rihanna...
-
Suite du précédent
Accroche :
Je ne comprends toujours pas ce qui m'a valu ce nez cassé. - Un nez cassé, deux côtes fêlées et... le foie éclaté... énuméra Clemson sur un ton d'excuse, comme si c'était sa faute.
Il hésita avant de continuer. Il considérait déjà comme une faveur que Savio l'ai laissé aller consulter un médecin marron.
- Il faudrait que je me fasse hospitaliser... J'ai trouvé une clinique privée pas loin, ils poseront pas de question, c'est pas trop risqué...
Savio passa une main las sur son visage.
- Tu fais vraiment chier...
Clemson aurait voulu s’énerver, hurler qu'il ne s'était pas cogné dessus tout seul. Mais il baissa juste la tête en disant :
- Je suis désolé...
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Clemson, Julien, Maurice, Mort(>Julien) - PG [Right Hand Man]
Accroche :
Mauriiiiiice ! Musique ! Now ! - Mauriiiiiice ! Musique ! Now ! beugla Julien, affalé sur le canapé.
Avant même que l'interpellé ait pu se lever en grommelant, la demande a déjà été exécutée prestement, avec sourire et petit clin d’œil complice.
- Oh, bien... Je veux un cocktail maintenant...
- Je m'en occupe !
Maurice se laissa retomber dans son fauteuil, satisfait.
- Maintenant, entre vous deux, on va définitivement passer pour un club gay, mais sinon il est pas mal ce nouveau, qu'est ce que t'en dis... ?
- Noooooon, grinça Mort les poings serrés en regardant ce Clemson papillonner autour de son Julien en le complimentant sur son style. Il est mééééééchaaaaant !
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Clemson, Mort, Julien - PG [Right Hand Man]
Accroche :
Il manquerait plus que Clemson prenne de l'assurance...Et de deux
chanson de Rihanna... Oui, je devrais avoir honte :P
Clemson prenait de l'assurance au fur et à mesure que la confiance de Julien se faisait plus grande. C'était vraiment trop facile.
- I may be bad, but I'm perfectly good at it ! chantait-il avec un peu trop de conviction en passant un chiffon sur le comptoir.
Mort passa en lui lançant un regard noir.
- Quoi, il a un problème le moche ?
Pour toute réponse Mort renversa volontairement son cocktail sucré sur le zinc propre.
Clemson le gifla.
- Regarde ça, Maurice ! s’émerveilla Julien qui les observait. C'est pas beau à voir ces deux jeunes hommes viriles qui se battent pour moi !
(D'après mes calculs, leur taux de testostérone à basculé dans les négatifs et continue à descendre...)
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Clemson+Private - PG [Right Hand Man]
Accroche :
« Je vous sers quelque chose? »Spéciale dédicace pour
sakoni o/
- Je te sers quelque chose ? demande Clemson, tout sourire.
- Ce que tu veux, répond Private en s’asseyant sur un des tabouret de bar. Je te fais confiance.
C'est probablement le premier véritable ami qu'il s'est fait depuis son arrivé à New-York.
Ça lui fait du bien de pouvoir parler avec quelqu'un d'assez jeune pour ne pas le traiter comme un gamin ; quelqu'un de poli et sympathique, comme lui, avec qui il peut discuter de choses et d'autres, plaisanter, par exemple (oh, sans se moquer vraiment !) de la méfiance excessive de son commandant, qui dit qu'on est jamais trop parano...
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Voilà, pour les éventuelles bonus ça viendra un peu plus tard, après que j'ai reposté le reste des drabbles en tout cas...
En attendant, j'aimerais vous demander de respecter ...