Je coulais poster ça hier, mais mon ordinateur avait un petit soucis et ça ramais, aujourd'hui il va mieux (merci docteur
sideroflaque) donc here we go...
Bon, reste des récapépette du
dernier arbre à drabbles de
drakysJ'ai pas écrit grand chose donc ça c'était vite fait...
Fandoms : Astérix ; Penguins of Madagascar
Rating : G - tout ! Si si, incroyable mais vrai...
Astérix (L’odyssée d'Astrérix) - la mouche - G
C'est à l'expéditeur qu'il faut vous plaindre, pas au messager. "C'est à l'expéditeur qu'il faut vous plaindre, pas au messager !" proteste la petite mouche en un vrombissement après s'être fait renvoyée d'une pichenette par son supérieur mécontent.
C'est vrai quoi, elle traversait terres et mers à la sueurs de ses ailes, d'un bout à l'autre de l'Empire, bravant les éléments avec abnégation pour la gloire de Rome. Le contenu des messages qu'elle portait, elle l'ignorait et s'ils déplaisaient à son destinataire ce n'était ni de son ressort ni de son fait.
Elle ne demandait pas beaucoup, pourtant : un peu de reconnaissance, un peu de miel dans sa vie d'agent secret...
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Zérozérosix - G'>Astérix (L’odyssée d'Astérix) - la mouche>Zérozérosix - G
Accroche :
Depuis, bah, il s'est habitué... Elle s'est habituée à ce qu'il fasse semblant de la chasser du revers de la main quand ils sont en public, ça fait parti de sa couverture : ils ne peuvent pas montrer qu'ils se connaissent au risque de se faire démasquer.
Mais quand ils sont dans l'intimité de sa cabine, elle aimerait qu'il se montre un plus tendre avec elle...
Il n'est pas désagréable, loin de là, il la traite même avec égard, mais elle a trop souvent l'impression de n'être pour lui qu'un utile outil qu'il entretient correctement. Elle aimerait être plus. Une collègue au moins. Davantage si possible...
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The Penguins of Madagascar - Kowalski/Rico - G
Accroche :
Comme lui, quelque part...(je l'ai bien posté à part des drabbles sur l'UA pour que vous ne fassiez pas comme mon frère et ne les imaginiez pas en version humaine là XD ... Quoique... c'est mignon aussi... quelque part...)
Quelque part, le première fois, ça l'avait flatté. La deuxième fois aussi, à vrai dire, et même les quelques fois suivantes...
Ce n'est pas comme si c'était utile, leur base était déjà largement assez confortable comme ça, mais c'était l'intention qui comptait, et l'intention était flatteuse.
Mais, rapidement, il avait finit par se lasser : Rico continuait ses cadeaux avec obstination, il avait maintenant une véritable collection, toutes les tailles, toutes les couleurs, toutes les formes.., ça commençait à devenir encombrant...
- Rico, il faut vraiment que tu arrêtes de m'offrir tous ces cailloux, ça prend de la place dans mon laboratoire...
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Histoires originales : Black Dragon Tea, Facile à Perdre
Original (BlackDragon Tea) - Elton, son neveu - PG
Accroche :
Immédiatement, Alfred s'interposa pour protéger son jumeau. - Pour se protéger, son jumeau savait qu'il n'avait guère le choix. S'il la tuait, par le lien qui les unissait, il mourrait avec elle. Il voulait vivre. Alors il l'enferma, dans cette même chambre où elle l'avait laissé croupir si longtemps. Pourtant... il savait qu'elle pouvait en sortir, car, certains matins, il trouvait dans le couloir... la trace ensanglanté de ses pas... Bonne nuit, Edward !
Au milieu de la nuit, des pleurs d'enfants résonnant dans la demeure, William tira son jeune frère du lit :
- Qu'est ce que j'avais dis à propos de raconter des histoires à mon fils "pour l'endormir" !
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Original (BlackDragon Tea) - Elton(/Caroline), Martin - PG
Accroche :
Coraline se prenait à rêver... - Caroline... se prenait à rêver Elton. Ah, Caroline... Le parangon de la femme, belle, forte et libre comme une Marianne moderne, une déesse sans âge... Je crois avoir toujours été un peu amoureux d'elle... Tout enfant déjà... Aucunes mains ne m'avaient jamais touchées avec autant de douceur que les siennes et je ne chérissais rien tant que ces moments où elle...Martin ?
Il s'interrompit en voyant son ami se lever pour quitter la pièce.
- Pourquoi t'en vas-tu brusquement ?
- Tu apprendras que peu de gens aiment entendre leur meilleur ami fantasmer à voix haute sur leur mère...
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Original (Facile à perdre) - Salim, Eric - PG-13
Accroche :
une douzaine de taulards, quatre matons, un infirmier et deux avocats... - Deux avocats ! Mais putain de sale arabe de merde, qu'est ce que tu veux que je fasse avec deux putains d'avocats ! Ils sont même pas mûrs en plus ! Tu retournes fissa m'en acheter d'autres, et des bio, connard !
- Fais pas chier pour des avocats, grogna Salim en se laissant tomber sur une chaise. J'y retourne pas. T'as qu'a appeler Anne-Cé, elle est pas grosse mais il doit y avoir de quoi faire ton guacamole.
Le couteau à émincer qui se planta juste en dessous de son entrejambe lui rappela qu'on ne plaisantait ni avec l'avocate d'Eric, ni avec sa cuisine.
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Original (Facile à perdre) - Salim, Loïs, un ami - PG
Accroche :
Oh merde.Parce que c'est toujours le ramadan et que j'avais toujours pas encore écrit mon traditionnel drabble dessus...
- Oh, merde ! s'exclame Salim en regardant par la fenêtre. C'est ma mère, merde merde merde !
Comme une tornade, il se mit à vider les cendrier, nettoyer la table, faire disparaître jusqu'à la dernière trace de nourriture et surtout d'alcool du salon.
- C'est quoi son problème ?
- Ramadan, répondit mollement Anaïs sans quitter les yeux de son écran.
- Il cache à sa daronne qu'il fait pas le ramadan ? Comment il a fait le jour où il lui a dit qu'il allait en taule ?
- Elle sait pas qu'il a fait de la prison, il lui a fait croire qu'il partait faire un stage de six mois aux États-Unis...
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Et il existait bien avant UA!Clemson, biiiiiiiiiiiien avant,
la preuve...
Bon, Eric par contre ressemble beaucoup moins à Savio - enfin à part le coté psychopathe violent...
Bon, sur ma lancée j'ai écrit quelques autres trucs sans intérêt sur eux...
Salim, Régine, Salim - PG
- Qu'eff que tu as fait d'Eric ? demanda Régine en voyant Salim revenir seul dans la cuisine.
- Je l'ai laissé devant la télé, répondit-il comme s'ils parlaient d'un enfant qu'il était chargé de surveiller. Y avait un truc de cuisine, je me suis dis que ça l'occuperait...
- Houch, fit Régine. Heu...
- Quoi ?
Soudain, des bruits de télé qu'on balance par terre et qu'on défonce à coups de pied retentirent du salon.
- Avec du gros sel de Guérande, la purée d'ail, connard ! DE GUERANDE ! ENCULÉ !
- Oh, putain, Eric... soupira Salim en se pinçant l'arrête du nez.
Il n'était même pas surpris, encore moins énervé. Juste las. Très las.
- F'est rien, le rassura Régine, on te folera une nouffelle télé...
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Et surtout sur Eric, j'avais envie d'écrire une petite présentation de son CV...
Eric - PG
Très jeune, Eric Noirat avait trouvé sa voie. Il n'hésitait pas une seconde à répondre quand on lui demandait ce qu'il voulait faire plus tard - et n'hésitait pas à cogner ceux qui lui répliquaient que c'était un truc de fille...
Plus qu'un vocation, c'était un don chez lui, une seconde nature. Un couteau à la main, il était un artiste, un magicien. La cuisine était sa religion.
C'était aussi le problème.
La cuisine était sa religion. Une religion dont il s'estimait le seul prophète. Et il n'hésitait pas à péter la gueule aux hérétiques.
Il aurait pu vivre de sa cuisine et gagner des étoiles s'il avait réussi à travailler plus de trois mois d'affilés dans un même restaurant avant de se faire renvoyer pour avoir frapper un collègue à cause d'un steak trop cuit ou d'une béchamel trop fluide.
Il s'était donc tourné vers une autre profession où ses accès de violence incontrôlés n'était pas un handicap : le braquage de bijouteries.