Cette escroquerie est en train de me pourrir la vie...
- Vous vous souvenez que lundi 16/02, j'ai mangé des pâtes (et surtout une sauce) périmées, ayant la flemme d'utiliser le carnet de chèques. Le lendemain, des douleurs d'estomac se sont manifestées de temps à autre sans que j'y prenne garde, se sont accentuées, toujours sans que je me pose plus de questions que ça, et dans la nuit de jeudi à vendredi, j'ai rejeté tripes et boyaux pendant trois heures par tous les orifices : un calvaire. Le lendemain, fièvre, état de loque : j'ai dû rester alitée jusqu'au samedi après-midi.
- Hier, lundi, alors que la forme est à peu près revenue, je reviens du boulot avec un mal de gorge. La reprise, me dis-je : il faut parler à haute dose, etc. Mais la nuit, j'ai dû me rendre à l'évidence, vu la douleur et l'encombrement total de mes voies respiratoires, que je tombais malade. Peut-être la pseudo gastro-entérite a-t-elle réduit mes défenses. Le lendemain, voix croâssante, fièvre de 39.2°C : je ne peux aller au boulot et vais à la place chez le médecin, une remplaçante peu à cheval sur le diagnostic qui identifie un "virus ORL" et me prescrit une batterie de médicaments. Je suis retournée au travail, ce matin. Evidemment, comme mes chers élèves m'ont comme par hasard fait le coup de ne pas préparer à temps l'exposé prévu ("j'ai oublié mon panneau, madame"), et que je n'ai par ailleurs pu donner un contrôle que j'avais de mon côté prévu pour une autre classe, j'ai dû parler moi-même pendant près de quatre heures, et suis maintenant au bord de l'extinction de voix.
- Quand j'arrive chez moi, je vais vérifier mon compte bancaire, et vous l'aurez deviné : la somme de 687 euros m'a été débitée ! Bref, l'opposition n'a servi strictement à rien. Je comprends pourquoi Amazon.com ne s'affolait pas et n'a répondu à aucun de mes messages : ils ont le fric et n'en ont rien à foutre du reste. Amazon.fr n'en peut mais : je leur ai téléphoné ; les deux sociétés sont complètement distinctes et je suis supposée appeler Amazon.com. Vu mes performances en anglais à l'oral, on imagine que c'est mission impossible. J'ai bien sûr téléphoné à la caisse d'épargne pour demander des comptes, et j'attends que mon conseiller bancaire me rappelle.
En tout cas, il va de soi que les achats sur amazon.com sont pour moi terminés. Ordures !
- Hier, lundi, alors que la forme est à peu près revenue, je reviens du boulot avec un mal de gorge. La reprise, me dis-je : il faut parler à haute dose, etc. Mais la nuit, j'ai dû me rendre à l'évidence, vu la douleur et l'encombrement total de mes voies respiratoires, que je tombais malade. Peut-être la pseudo gastro-entérite a-t-elle réduit mes défenses. Le lendemain, voix croâssante, fièvre de 39.2°C : je ne peux aller au boulot et vais à la place chez le médecin, une remplaçante peu à cheval sur le diagnostic qui identifie un "virus ORL" et me prescrit une batterie de médicaments. Je suis retournée au travail, ce matin. Evidemment, comme mes chers élèves m'ont comme par hasard fait le coup de ne pas préparer à temps l'exposé prévu ("j'ai oublié mon panneau, madame"), et que je n'ai par ailleurs pu donner un contrôle que j'avais de mon côté prévu pour une autre classe, j'ai dû parler moi-même pendant près de quatre heures, et suis maintenant au bord de l'extinction de voix.
- Quand j'arrive chez moi, je vais vérifier mon compte bancaire, et vous l'aurez deviné : la somme de 687 euros m'a été débitée ! Bref, l'opposition n'a servi strictement à rien. Je comprends pourquoi Amazon.com ne s'affolait pas et n'a répondu à aucun de mes messages : ils ont le fric et n'en ont rien à foutre du reste. Amazon.fr n'en peut mais : je leur ai téléphoné ; les deux sociétés sont complètement distinctes et je suis supposée appeler Amazon.com. Vu mes performances en anglais à l'oral, on imagine que c'est mission impossible. J'ai bien sûr téléphoné à la caisse d'épargne pour demander des comptes, et j'attends que mon conseiller bancaire me rappelle.
En tout cas, il va de soi que les achats sur amazon.com sont pour moi terminés. Ordures !