Il y’en a qui travaillent comme des fous
Pour se payer des clous
A clouer sur leur feuilles de vie
Mais la mort est sans bagages
Moi de tous cela je ne veux rien
Les poches vides et le cœur plein d’amourIl m'a arrivé, comme je savais qu'il fallait faire, une fois ou une autre. Je lui ai embrassé, une baiser d'adieu. Mais c'était un adieu à l'amour
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