Dix pouces et deux mains gauches
*sigh* Des journées comme celles-ci, j'en ai vraiment ma claque. j'ai parfois l'impression que je suis destinée à démolir tout ce que je touche, tôt ou tard. C'est imparable. Ca finit toujours par arriver. En particulier quand j'essaie justement de faire attention.
Déjà que je me suis faite saucer comme pas possible en rentrant du boulot, au point de ne même plus pouvoir rouler tellement il y avait de vent...
Je rentre chez moi, je baisse mon store, paf, ce crétin se bloque mal (ou plutôt pas du tout) et remonte tout seul comme un grand. Avec un bout qui tombe au passage. Que je ne peux pas remettre en place toute seule parce que même en grimpant sur mon bureau, je reste une naine courte sur pattes. Vive la honte d'aller demander au concierge de m'aider pour ça.
Après, je fais du saumon. Je divise en parts pour me tenir trois repas. Devinez qui laisse tomber une des parts cuites par terre alors qu'elle est en plein jonglage pour éviter de laisser cramer ce qui est encore sur le feu et ne pas trop voir refroidir ce qui est déjà cuit?
Fin du repas. Je fourre mes légumes dans ma boîte à bentô et j'appuie un peu pour que le couvercle intérieur en plastique se ferme bien. Cette légère pression a suffi pour déloger la planche du plan de travail de son encoignure dans le mur. Le truc est maintenant remis en place, mais je croise les doigts, je ne sais pas du tout si c'était censé tenir comme ça, parce que conçu pour s'encastrer au millimètre près, ou si j'ai vraiment démoli la chose en arrachant une éventuelle colle.
Merde, quoi, je fais de mon mieux pour bichonner mon studio, et plus j'en fais, plus je casse tout. Allez comprendre.
Accessoirement, je n'arrive plus à accéder au site où j'écrivais de petits articles pour me faire un maigre pécule sur Paypal. Site qui marchait très bien cet après-midi au bureau, mais pas ce matin chez moi, ni samedi/dimanche depuis chez mes parents. Quant à savoir si c'est un problème sur mon PC ou chez eux...
Bref, là, je reste collée à mon bureau, j'évite toute présence de liquide ou de bouffe à moins de deux mètres, et je refuse de toucher quoi que ce soit d'autre à part mon clavier et ma souris. On ne sait jamais, je pourrais encore casser quelque chose d'autre.
Déjà que je me suis faite saucer comme pas possible en rentrant du boulot, au point de ne même plus pouvoir rouler tellement il y avait de vent...
Je rentre chez moi, je baisse mon store, paf, ce crétin se bloque mal (ou plutôt pas du tout) et remonte tout seul comme un grand. Avec un bout qui tombe au passage. Que je ne peux pas remettre en place toute seule parce que même en grimpant sur mon bureau, je reste une naine courte sur pattes. Vive la honte d'aller demander au concierge de m'aider pour ça.
Après, je fais du saumon. Je divise en parts pour me tenir trois repas. Devinez qui laisse tomber une des parts cuites par terre alors qu'elle est en plein jonglage pour éviter de laisser cramer ce qui est encore sur le feu et ne pas trop voir refroidir ce qui est déjà cuit?
Fin du repas. Je fourre mes légumes dans ma boîte à bentô et j'appuie un peu pour que le couvercle intérieur en plastique se ferme bien. Cette légère pression a suffi pour déloger la planche du plan de travail de son encoignure dans le mur. Le truc est maintenant remis en place, mais je croise les doigts, je ne sais pas du tout si c'était censé tenir comme ça, parce que conçu pour s'encastrer au millimètre près, ou si j'ai vraiment démoli la chose en arrachant une éventuelle colle.
Merde, quoi, je fais de mon mieux pour bichonner mon studio, et plus j'en fais, plus je casse tout. Allez comprendre.
Accessoirement, je n'arrive plus à accéder au site où j'écrivais de petits articles pour me faire un maigre pécule sur Paypal. Site qui marchait très bien cet après-midi au bureau, mais pas ce matin chez moi, ni samedi/dimanche depuis chez mes parents. Quant à savoir si c'est un problème sur mon PC ou chez eux...
Bref, là, je reste collée à mon bureau, j'évite toute présence de liquide ou de bouffe à moins de deux mètres, et je refuse de toucher quoi que ce soit d'autre à part mon clavier et ma souris. On ne sait jamais, je pourrais encore casser quelque chose d'autre.