Table fluff - Ca n'arrive pas qu'aux autres - AdrianDaphné
Titre : Ca n’arrive pas qu’aux autres
Auteur : heera_ookami
Personnages/Pairing: AdrianDaphné version papotus_sempra
Disclaimer: A la base, à JK Rowling, mais elle s’en fiche de ces deux là !
Défi : Table fluff - Moi et mon gros ventre
Rating : G
Note : Un petit tag pour Adrian siouplait ?
Daphné avait beau chercher, elle devait se rendre à l’évidence.
La grande, la superbe Daphné Greengrass, maintenant Daphné Pucey, n’avait plus de bon profil. Le drame.
Une moue boudeuse (mais qu’elle veilla à garder sexy) ourla les lèvres rosées.
Bon. Le reflet dans le grand miroir n’était pas complètement déplaisant bien sur, et contrairement à bon nombre d’autres femmes, elle ne s’était pas mise à bouffir de partout. (cette possibilité l’avait atrocement inquiété pendant de nombreux mois).
Rien de tout ça, juste.... ce gros ventre où s’agitait une vie de moins en moins petite.
Son enfant. A elle qui s’était toujours juré de ne jamais en avoir.
Le fait que ce soit un accident ne la consolait pas vraiment.
Parce que oui, elle aurait pu réagir quand elle s’était rendu compte qu’il y avait comme un petit problème. Avorter pour dire les choses comme elles étaient. Mais l’idée n’avait fait que la traverser au moment de la crise de panique de rigueur.
La traverser sans s’arrêter ni trouver d’accroche car l’idée de détruire cette existence, mélange d’Adrian et elle, le possible petit frère ou petite soeur de Felicianus... il y avait là quelque chose qui sonnait horriblement faux.
C’est d’ailleurs finalement Felicianus, désormais un superbe adolescent (il tenait ça de son père) au goût vestimentaire parfait (ça, par contre, il tenait d’elle, pas qu’Adrian n’ait pas bon goût; après tout, il avait trouvé le moyen de la monopoliser).Felicianus donc, l’avait mis face à tout ça une veille de pleine lune et s’était contenté de lui demander quand elle en parlerait à son père.
Elle l’avait fait deux jours plus tard. Annoncer à un papa-oursin que sa femme est enceinte alors que le premier né était en train de courir les bois en hurlant à la lune ne lui semblait pas une merveilleuse idée bizarrement.
Elle n’allait pas rentrer dans les détails mais voilà où elle en était désormais : dans sa chambre, vêtue en tout et pour tout d’un t-shirt d’Adrian et d’une culotte, à observer son perturbant reflet.
La moue boudeuse devint mutine. Il y avait quand même déjà eu de bons cotés à tout ça.
Neville avait sauté dans tout les sens avant de se pendre au bras d’Eldred en projetant tous les avenirs potentiels de Junior, autant dire que le bébé aurait le choix, à première vue plus enthousiaste que le géniteur.
Eldred lui... avait accusé le coup. Et pendant un instant, Daphné s’était senti horriblement fière et amusée d’avoir cloué le bec de son ami. Quand il avait reprit ses sens, il n’avait pas manqué de faire savoir à quel point il se sentait trahi, promettant au passage de veiller à l’éducation du môme (une fois que le dit enfant aurait finit de baver et faire dans sa couche en tout cas. Oh et qu’il parlerait de façon intelligible.) Depuis, Adrian et lui se détestaient encore plus et son cher époux contrait les regards haineux d’Eldred de regard méprisant et satisfait. Il faisait ça très bien, il fallait le reconnaitre...
Sirius, une fois convaincu que ce n’était pas une plaisanterie, avait décrété qu’elle avait intérêt à faire en sorte que le môme soit moins coincé que le père.
Du coté de la famille, Astoria était ravie et ne cessait de gazouiller, profondément amusée de voir sa soeur dans cette grande aventure.
Et elle ne parlerait pas de Draco qui avait l’air de prendre comme un affront personnel que le Lord Pucey ait osé mettre Lady Pucey en cloque, palissant et rougissant de fureur à chaque fois qu’ils se retrouvaient tout les trois dans la même pièce, et Daphné admirait chaque jour qui passait le stoicisme de Mr son époux face à la teigne que son beau-frère pouvait être.
Enfin, tout ça c’était très amusant mais ne changeait rien au fait qu’elle avait un GROS ventre ! Elle qui avait toujours tiré une certaine fierté de sa silhouette de nymphe !
Une silhouette la rejoignit dans le reflet alors qu’une main se posait sur son épaule, qu’une autre glissait sur son ventre - SOUS le tissu, quel coquin son cher mari - et qu’un regard bien trop sérieux et intense dévisageait leur reflet; s’attardant sur sa difformité passagère.
Elle aurait pu se sentir vexée, si si ! Après tout, préférer son gros ventre au reste de sa personne (par exemple sa superbe poitrine vu qu’elle avait prit deux bonnets depuis le début de l’affaire ou même ses superbes gambettes) aurait pu être considérer comme un blasphème mais....
Non. Définitivement non.
Et puis ça n’aurait pas été crédible avec le frisson de délice que cela lui procurait !
De plus, ils formaient un spectacle des plus charmants vu comme ça....
Ce qui ne l'empêchait pas d’avoir hâte d’accoucher. Histoire de récupérer sa taille de guêpe.
(et d’enfin constater de ses propres yeux ce que pouvait donner un mélange de Daphné Greengrass-Pucey et du seul homme qui avait su se l’accaparer. Mais chut. Elle n’avait pas songé cela. En plus, Eldred ne lui adresserait plus jamais la parole si il savait qu’elle rêvassait à ce genre de bêtise !)
Auteur : heera_ookami
Personnages/Pairing: AdrianDaphné version papotus_sempra
Disclaimer: A la base, à JK Rowling, mais elle s’en fiche de ces deux là !
Défi : Table fluff - Moi et mon gros ventre
Rating : G
Note : Un petit tag pour Adrian siouplait ?
Daphné avait beau chercher, elle devait se rendre à l’évidence.
La grande, la superbe Daphné Greengrass, maintenant Daphné Pucey, n’avait plus de bon profil. Le drame.
Une moue boudeuse (mais qu’elle veilla à garder sexy) ourla les lèvres rosées.
Bon. Le reflet dans le grand miroir n’était pas complètement déplaisant bien sur, et contrairement à bon nombre d’autres femmes, elle ne s’était pas mise à bouffir de partout. (cette possibilité l’avait atrocement inquiété pendant de nombreux mois).
Rien de tout ça, juste.... ce gros ventre où s’agitait une vie de moins en moins petite.
Son enfant. A elle qui s’était toujours juré de ne jamais en avoir.
Le fait que ce soit un accident ne la consolait pas vraiment.
Parce que oui, elle aurait pu réagir quand elle s’était rendu compte qu’il y avait comme un petit problème. Avorter pour dire les choses comme elles étaient. Mais l’idée n’avait fait que la traverser au moment de la crise de panique de rigueur.
La traverser sans s’arrêter ni trouver d’accroche car l’idée de détruire cette existence, mélange d’Adrian et elle, le possible petit frère ou petite soeur de Felicianus... il y avait là quelque chose qui sonnait horriblement faux.
C’est d’ailleurs finalement Felicianus, désormais un superbe adolescent (il tenait ça de son père) au goût vestimentaire parfait (ça, par contre, il tenait d’elle, pas qu’Adrian n’ait pas bon goût; après tout, il avait trouvé le moyen de la monopoliser).Felicianus donc, l’avait mis face à tout ça une veille de pleine lune et s’était contenté de lui demander quand elle en parlerait à son père.
Elle l’avait fait deux jours plus tard. Annoncer à un papa-oursin que sa femme est enceinte alors que le premier né était en train de courir les bois en hurlant à la lune ne lui semblait pas une merveilleuse idée bizarrement.
Elle n’allait pas rentrer dans les détails mais voilà où elle en était désormais : dans sa chambre, vêtue en tout et pour tout d’un t-shirt d’Adrian et d’une culotte, à observer son perturbant reflet.
La moue boudeuse devint mutine. Il y avait quand même déjà eu de bons cotés à tout ça.
Neville avait sauté dans tout les sens avant de se pendre au bras d’Eldred en projetant tous les avenirs potentiels de Junior, autant dire que le bébé aurait le choix, à première vue plus enthousiaste que le géniteur.
Eldred lui... avait accusé le coup. Et pendant un instant, Daphné s’était senti horriblement fière et amusée d’avoir cloué le bec de son ami. Quand il avait reprit ses sens, il n’avait pas manqué de faire savoir à quel point il se sentait trahi, promettant au passage de veiller à l’éducation du môme (une fois que le dit enfant aurait finit de baver et faire dans sa couche en tout cas. Oh et qu’il parlerait de façon intelligible.) Depuis, Adrian et lui se détestaient encore plus et son cher époux contrait les regards haineux d’Eldred de regard méprisant et satisfait. Il faisait ça très bien, il fallait le reconnaitre...
Sirius, une fois convaincu que ce n’était pas une plaisanterie, avait décrété qu’elle avait intérêt à faire en sorte que le môme soit moins coincé que le père.
Du coté de la famille, Astoria était ravie et ne cessait de gazouiller, profondément amusée de voir sa soeur dans cette grande aventure.
Et elle ne parlerait pas de Draco qui avait l’air de prendre comme un affront personnel que le Lord Pucey ait osé mettre Lady Pucey en cloque, palissant et rougissant de fureur à chaque fois qu’ils se retrouvaient tout les trois dans la même pièce, et Daphné admirait chaque jour qui passait le stoicisme de Mr son époux face à la teigne que son beau-frère pouvait être.
Enfin, tout ça c’était très amusant mais ne changeait rien au fait qu’elle avait un GROS ventre ! Elle qui avait toujours tiré une certaine fierté de sa silhouette de nymphe !
Une silhouette la rejoignit dans le reflet alors qu’une main se posait sur son épaule, qu’une autre glissait sur son ventre - SOUS le tissu, quel coquin son cher mari - et qu’un regard bien trop sérieux et intense dévisageait leur reflet; s’attardant sur sa difformité passagère.
Elle aurait pu se sentir vexée, si si ! Après tout, préférer son gros ventre au reste de sa personne (par exemple sa superbe poitrine vu qu’elle avait prit deux bonnets depuis le début de l’affaire ou même ses superbes gambettes) aurait pu être considérer comme un blasphème mais....
Non. Définitivement non.
Et puis ça n’aurait pas été crédible avec le frisson de délice que cela lui procurait !
De plus, ils formaient un spectacle des plus charmants vu comme ça....
Ce qui ne l'empêchait pas d’avoir hâte d’accoucher. Histoire de récupérer sa taille de guêpe.
(et d’enfin constater de ses propres yeux ce que pouvait donner un mélange de Daphné Greengrass-Pucey et du seul homme qui avait su se l’accaparer. Mais chut. Elle n’avait pas songé cela. En plus, Eldred ne lui adresserait plus jamais la parole si il savait qu’elle rêvassait à ce genre de bêtise !)