Titre : La génétique, ça tue tout
Auteur :
heera_ookami Personnages/Pairing: Mme Zabini/l’un de ses maris, Blaise Zabini
Disclaimer: Mme Zabini et son cher fiston appartiennent à Rowling.... pour ce qu’elle en fait, elle peut carrément me les donner...
Défi : Table angst : le parricide est un acte d’affection
Rating : G
Dans ma tête, la dame Zabini se nomme Noha !
Malgré la situation, pas un frisson ne parcourut la femme. Là où d’autre auraient hurlé et se seraient tétanisées d’horreur, Noha Zabini-Lennart réagit avec sang-froid.
Après tout, ce n’est pas comme si elle avait la moindre raison de pleurer la perte de Mr Lennart. Il s’agissait certes d’un mari correct mais qui manquait cruellement d’imagination dans les jeux de l’amour et, pire que tout, était étroit d’esprit.
C’est sans doute pour cela qu’elle n’arrêta pas vraiment son attention sur le corps (qui tachait pourtant de sang son superbe tapis) et s’accroupit devant son fils.
-J’espère pour vous que vous avez une raison valable jeune homme ?
La moue boudeuse et l’expression bornée,le petit garçon serra les poings.
-J’ai entendu Père dire à Lord Mazel qu’il était temps que vous compreniez qui était le maitre et qu’il vous ferait la leçon ce soir.
Le regard du petit Blaise brilla de fureur.
- Il a même prit la cravache qu’il utilise sur Beryl !
Beryl était le cheval de Mr Lennart et Mme Zabini-Lennart, bientôt de nouveau Mme Zabini, en fronça légèrement les sourcils.
Blaise dut croire que c’était à son intention car il poursuivit.
- Je ne laisserais personne vous frapper Mère !
D’une main distraite, Noha lui remit une mèche en place.
- Jeune sot, comme si je ne pouvais pas me défendre toute seule. Maintenant, fais moi le plaisir d'aller te débarbouiller. Tu as l’air d’un petit sauvage comme ça !
La mère regarda le cadavre d’un air pensif. Un couteau, un escalier. Bien, il ne serait pas trop dur d’inventer une histoire quelconque pour la Police Magique.
Peut-être en rajoutant une bouteille et un verre d’alcool brisés à coté ? Ce cher Mr Lennart était connu pour son amour des bons alcools après tout.
Il ne lui resterait plus qu’à faire jurer à son fils de ne jamais parler de cela à personne et tout irait bien.
De toute façon, elle comptait divorcer.