Quelle perte de temps !
Titre : Quelle perte de temps !
Auteur :
twinzie
Joueurs : Severus Rogue...
Catégorie : Exibition "Haters" défi de janvier
Rating : G
Note : Oyé Oyé ! Enfin, je réponds à un défi ! Depuis le temps ! Bon, d'accord, je me suis pas foulée, mais franchement, j'ai fait deux essais avant de pouvoir écrire ceci.... Et j'arrête de me trouver des excuses bidons ! ok ^^
Quelle perte de temps !
Le visage fermé, le sourire à l’envers, le regard fixé droit devant lui dans le vide, Severus Rogue se posait mille et une questions sur sa présence ici. Il détestait le Quidditch. Ce sport débile où les joueurs volait après une balle était selon lui, totalement puéril. C’était bon pour amuser des gamins, mais pour les élèves de Poudlard, il trouvait que c’était du temps perdu. De plus, il devait assister à tous les matchs. Le vieux fou avait bien insisté là-dessus.
Une totale perte de temps.
Il avait plein de choses à faire. Il était un homme occupé, lui. Et puis voir Potter se pavaner encore plus sur son balai le dégoûtait. Il avait déjà vu son père faire pareil pendant des années et ça lui avait amplement suffit. Tel père, tel fils. Il grimaça et préféra détourner le fils de ses pensées. Elles devenaient encore plus sombres et ce n’était pas le moment. Ce qui l’énervait également, c’était la dérogation que Potter avait obtenue pour pouvoir jouer au Quidditch dès sa première année. Il s’était presque battu avec McGonagall quand il l’avait appris. Tout ça parce qu’il s’appelait Potter, on lui faisait une faveur. Severus grimaça encore en y repensant et essaya, cette fois-ci, de se concentrer sur le jeu.
« Davies a repris le Souaffle… Il s’exécute et passe entre les deux Poursuiveurs de Gryffondor tout en évitant magnifiquement le Cognard de Fred… ou George… »
- J’aimerais que Serdaigle gagne ce match. Nous avons une bonne équipe cette année, mais nous savons tous que Serdaigle n’a jamais été une maison propice au Quidditch. Aujourd’hui, les jeunes prennent ce sport très à cœur et je trouve ça très bien. Ça leur permet de se vider la tête.
Emmitouflé dans sa cape, Severus tentait délibérément d’ignorer le babillage incompréhensible de Flitwick assis à côté de lui. Il avait un débit de paroles insensé pour sa petite taille. Ce n’était, d’ailleurs, pas permis de parler autant.
« Dix points de plus pour Gryffondor qui prend la tête sur Serdaigle. »
Severus ne comprenait pas l’attirance des jeunes pour ce sport. Surtout que la plupart de ces joueurs auraient plutôt mieux fait de rester au château pour étudier. Ce n’était franchement pas des lumières. Quand il voyait les Weasley sur le terrain, ils avaient envie d’aller demander à McGonagall ce qu’elle faisait ! Il était d’accord que quelques erreurs s’étaient glissées dans sa propre équipe, cependant, ce n’était pas trop grave, au moins, ils jouaient bien au Quidditch. Et puis, de toute façon, c’était des erreurs de la vie tout simplement. Il ne regrettait pas de ne pas avoir eu d’enfants. Ces mômes n’avaient plus aucune reconnaissance pour les vraies valeurs.
Ce besoin de compétition était hallucinant. C’était à celui qui aurait la plus grosse tête.
Il eut à peine le temps de souhaiter que le match se termine au plus vite qu’il entendit le coup de sifflet de Bibine et les tribunes se mirent à trembler sous les cris perçants des supporters. Il se leva à son tour pour tenter de faire bonne figure et surtout pour éviter de donner à Dumbledore une raison de plus de lui faire un sermon et un éloge de Potter. Gryffondor avait gagné et Severus allait devoir aller secouer Marcus Flint, car qu’il aime ou non le Quidditch, la coupe faisait très bien, posée sur l’armoire de son bureau et il était hors de question que McGonagall la lui prenne.
Il descendit des tribunes, le regard noir, s’apprêtant à défier MCGonagall qui, il savait l’attendait certainement en bas, pour lui vanter les mérites de son équipe et se dépêcha de rentrer dans ses cachots où un chaudron de Veritaserum l’attendait.
Ce match avait été une perte de temps pour Severus qui n’y voyait aucun intérêt. Les potions étaient tellement plus passionnantes… et plus silencieuses aussi.
Auteur :
twinzie
Joueurs : Severus Rogue...
Catégorie : Exibition "Haters" défi de janvier
Rating : G
Note : Oyé Oyé ! Enfin, je réponds à un défi ! Depuis le temps ! Bon, d'accord, je me suis pas foulée, mais franchement, j'ai fait deux essais avant de pouvoir écrire ceci.... Et j'arrête de me trouver des excuses bidons ! ok ^^
Quelle perte de temps !
Le visage fermé, le sourire à l’envers, le regard fixé droit devant lui dans le vide, Severus Rogue se posait mille et une questions sur sa présence ici. Il détestait le Quidditch. Ce sport débile où les joueurs volait après une balle était selon lui, totalement puéril. C’était bon pour amuser des gamins, mais pour les élèves de Poudlard, il trouvait que c’était du temps perdu. De plus, il devait assister à tous les matchs. Le vieux fou avait bien insisté là-dessus.
Une totale perte de temps.
Il avait plein de choses à faire. Il était un homme occupé, lui. Et puis voir Potter se pavaner encore plus sur son balai le dégoûtait. Il avait déjà vu son père faire pareil pendant des années et ça lui avait amplement suffit. Tel père, tel fils. Il grimaça et préféra détourner le fils de ses pensées. Elles devenaient encore plus sombres et ce n’était pas le moment. Ce qui l’énervait également, c’était la dérogation que Potter avait obtenue pour pouvoir jouer au Quidditch dès sa première année. Il s’était presque battu avec McGonagall quand il l’avait appris. Tout ça parce qu’il s’appelait Potter, on lui faisait une faveur. Severus grimaça encore en y repensant et essaya, cette fois-ci, de se concentrer sur le jeu.
« Davies a repris le Souaffle… Il s’exécute et passe entre les deux Poursuiveurs de Gryffondor tout en évitant magnifiquement le Cognard de Fred… ou George… »
- J’aimerais que Serdaigle gagne ce match. Nous avons une bonne équipe cette année, mais nous savons tous que Serdaigle n’a jamais été une maison propice au Quidditch. Aujourd’hui, les jeunes prennent ce sport très à cœur et je trouve ça très bien. Ça leur permet de se vider la tête.
Emmitouflé dans sa cape, Severus tentait délibérément d’ignorer le babillage incompréhensible de Flitwick assis à côté de lui. Il avait un débit de paroles insensé pour sa petite taille. Ce n’était, d’ailleurs, pas permis de parler autant.
« Dix points de plus pour Gryffondor qui prend la tête sur Serdaigle. »
Severus ne comprenait pas l’attirance des jeunes pour ce sport. Surtout que la plupart de ces joueurs auraient plutôt mieux fait de rester au château pour étudier. Ce n’était franchement pas des lumières. Quand il voyait les Weasley sur le terrain, ils avaient envie d’aller demander à McGonagall ce qu’elle faisait ! Il était d’accord que quelques erreurs s’étaient glissées dans sa propre équipe, cependant, ce n’était pas trop grave, au moins, ils jouaient bien au Quidditch. Et puis, de toute façon, c’était des erreurs de la vie tout simplement. Il ne regrettait pas de ne pas avoir eu d’enfants. Ces mômes n’avaient plus aucune reconnaissance pour les vraies valeurs.
Ce besoin de compétition était hallucinant. C’était à celui qui aurait la plus grosse tête.
Il eut à peine le temps de souhaiter que le match se termine au plus vite qu’il entendit le coup de sifflet de Bibine et les tribunes se mirent à trembler sous les cris perçants des supporters. Il se leva à son tour pour tenter de faire bonne figure et surtout pour éviter de donner à Dumbledore une raison de plus de lui faire un sermon et un éloge de Potter. Gryffondor avait gagné et Severus allait devoir aller secouer Marcus Flint, car qu’il aime ou non le Quidditch, la coupe faisait très bien, posée sur l’armoire de son bureau et il était hors de question que McGonagall la lui prenne.
Il descendit des tribunes, le regard noir, s’apprêtant à défier MCGonagall qui, il savait l’attendait certainement en bas, pour lui vanter les mérites de son équipe et se dépêcha de rentrer dans ses cachots où un chaudron de Veritaserum l’attendait.
Ce match avait été une perte de temps pour Severus qui n’y voyait aucun intérêt. Les potions étaient tellement plus passionnantes… et plus silencieuses aussi.