На давно почившем форуме яндекс-либерта, помню, всплывал вопрос о знании/незнании (и использовании в литературной и повседневной жизни) иностранных языков нашими персонажами ВФР. Спор был о том, требовалось ли Робеспьеру знание итальянского языка, дабы оценить скабрезность сонетов Пьетро Аретино, которые якобы хулиган Камил Демулен подсунул наивной
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"Le décret du 7 ventôse an III (25 février 1795), par lequel la Convention nationale créait Us Ecoles centrales, inscrivait dans son article 2, parmi les quatorze professeurs qu’il prévoyait pour ces établissements : un professeur de langues vivantes les plus appropriées au.c localités. Telle est l’origine de l’enseignement des langues vivantes dans notre enseignement secondaire. Non pas qùe l’éducation de l’ancien régime ne leur ait fait une place. Pour m’en tenir aux hommes de la Révolution, la plupart d’entre eux parlaient une langue étrangère. Barnave savait l’anglais et l’italien, de même que Danton qui lisait dans le texte Shakespeare, Robertson et Adam Smith, de même que Robespierre, Brissot, Buzot qui parlaient familièrement l’anglais. (1) Mais l’introduction des langues vivantes dans le cadre de l’enseignement, immédiatement à côté des langues anciennes, était chose nouvelle. " /La Revue politique et littéraire, 18 juillet 1914/
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"Barnave eut un précepteur. Il apprit de lui le latin , un peu de mathématiques, et plus tard, l'anglais et l'italien." Это утверждение Berenger'а, автора длиннейшего предисловия к сочинениям Барнава, издание 1843 года.
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