На давно почившем форуме яндекс-либерта, помню, всплывал вопрос о знании/незнании (и использовании в литературной и повседневной жизни) иностранных языков нашими персонажами ВФР. Спор был о том, требовалось ли Робеспьеру знание итальянского языка, дабы оценить скабрезность сонетов Пьетро Аретино, которые якобы хулиган Камил Демулен подсунул наивной
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"On constate que l'Angleterre et les auteurs anglais, loin d’être absents de l’inventaire sont même privilégiés puisqu’ils constituent la quasi-totalité des auteurs étrangers que lit Robespierre, alors que cette bibliothèque ne comporte aucun ouvrage de Rousseau ou de Montesquieu dont on trouve plus souvent la trace dans ses discours. ... Par hypothèse, cette présence des Anglais et de l'Angleterre pourrait résulter d'une manipulation de Courtois qui aurait escamoté certains titres afin de mettre en évidence les publications anglaises ou celles traitant de l’Angleterre. Il affirme en effet dans son rapport que Robespierre avait l’intention de passer à l'Angleterre c’est-à-dire à l’ennemi. Cependant rien ne l'atteste et Courtois ne mentionne pas la bibliothèque de Robespierre dans ledit rapport.
Nous savons donc que Robespierre possédait, probablement en traduction - les éditions ne sont pas précisées -, L'essai sur l''entendement humain de Locke ; les Essais de morale et de politique de Francis Bacon ; l'Essai sur l'homme d'Alexander Pope et La morale naturelle ramenée aux principes de la physique, de John Bruce.
Nous savons également que Robespierre lisait l'anglais et non seulement des traductions. Sa bibliothèque comprenait le dictionnaire anglais-français d’Abel Boyer, une grammaire anglaise, toujours de Boyer, une édition anglaise de The Guardian en deux volumes, rassemblant les articles des célèbres publicistes whigs Joseph Addison et Richard Steele, écrits entre mars et octobre 1713, publié en 1726."
Так-то - "Nous savons", мы знаем.
Вряд ли об этом знала Станислава, да и чтение английских авторов в оригинале никак не ведет прямиком к англицизмам в речи, пусть это даже внутренний монолог. И тем не менее, возможно, читать умел, хоть со словарем. Ссылка на статью.
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"Le décret du 7 ventôse an III (25 février 1795), par lequel la Convention nationale créait Us Ecoles centrales, inscrivait dans son article 2, parmi les quatorze professeurs qu’il prévoyait pour ces établissements : un professeur de langues vivantes les plus appropriées au.c localités. Telle est l’origine de l’enseignement des langues vivantes dans notre enseignement secondaire. Non pas qùe l’éducation de l’ancien régime ne leur ait fait une place. Pour m’en tenir aux hommes de la Révolution, la plupart d’entre eux parlaient une langue étrangère. Barnave savait l’anglais et l’italien, de même que Danton qui lisait dans le texte Shakespeare, Robertson et Adam Smith, de même que Robespierre, Brissot, Buzot qui parlaient familièrement l’anglais. (1) Mais l’introduction des langues vivantes dans le cadre de l’enseignement, immédiatement à côté des langues anciennes, était chose nouvelle. " /La Revue politique et littéraire, 18 juillet 1914/
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"Barnave eut un précepteur. Il apprit de lui le latin , un peu de mathématiques, et plus tard, l'anglais et l'italien." Это утверждение Berenger'а, автора длиннейшего предисловия к сочинениям Барнава, издание 1843 года.
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Будем считать это контраргументом. L’épuisement de Robespierre / par Annie Jourdan , le 23 juillet 2012 *чуть не утомленные солнцем, тьфу ты*
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