[Bingo] Carton plein

Jun 08, 2022 14:48

Et voilà mon carton du semestre, terminé un peu en avance !

Un livre d'un genre auquel vous n'avez jamais ou peu touché
Péchés mignons T1 d'Arthur de Pins

Un livre dont l'action ne se déroule pas sur votre continent
Maitre des Djinns de P. Djeli Clark

Romance
Les Etoiles de Noss Head T1 de Sophie Jomain

Un livre édité par un éditeur que vous n'avez jamais lu
Tamanoir de Jean-Luc André d’Asciano

Littérature d'Océanie
Les accords corrompus T1 de Kelly St Clare

Un livre du 19e siècle
Le vampire de John Polidori

Un livre en rapport avec la ville
Maudite de C. Sizel

Un livre du Moyen-Âge
Lai de Lanval de Marie de France

Un livre en rapport avec les plantes
Thiziri T1 d’Alexiane de Lys

Religion ou spiritualité
La Dernière tentation du Christ de Nikos Kazantzaki

Un livre en rapport avec le feu
Bienvenue en Enfer T1 d'Eve Langlais

Un livre d'un auteur que vous aimez beaucoup
A Study in Emerald de Neil Gaiman

JOKER
Félicratie de H. Lenoir

Un tome d'une série qui n'est pas le premier
Ana l'étoilée T4 d'Ophélie Bruneau

Un livre du 16e siècle
Le pèlerin amoureux de William Shakespeare

Un livre primé en France
Les soeurs Carmines T1 d’Ariel Holzl

Un grand classique
De la Terre à la Lune de Jules Verne

Un livre avec plusieurs personnes sur la couverture
Princesse Caraboo d'Antoine Ozanam

Un livre dont le personnage principal est un enfant
La maison sans sommeil de Benoit Malewicz

Littérature canadienne
Divin Enfer de Judith Gagnon

Policier
Sylvo Sylvain T1 de Raphael Albert

Un livre en rapport avec la révolte
Les Enfants de la Déesse de Rose P. Katell

Sciences humaines
Vertus du polyamour d’Yves-Alexandre Thalmann

Littérature d'Europe
Acadie de Dave Hutchinson

Voyages
Sortie des sables de Victoriane Vadi

♥♥ Que j'ai adoré ♥♥

Maudite de C. Sizel : ‘Un livre en rapport avec la ville’
[En lire plus]L’histoire se concentre sur la cité de Lyalès, où la magie tient une place prépondérante. La plupart des habitants y sont sensibles mais quelques individus, les nihiles, y sont hermétiques, et cela comprend Elisa, la protagoniste principale. Ainsi, elle ne peut l’utiliser et aucun sort n’a d’effet sur elle. Son quotidien se retrouve bouleversé à la suite de la mort de son mentor et à un enchainement d’événements qui la conduisent à abriter en elle un démon séculaire, qui avait attaqué la cité 300 ans plus tôt mais n’avait pas été complètement anéanti.
Le roman est court et nous immerge directement dans le vif du sujet. Il s’agit d’un récit de fantasy ésotérique donc j’étais déjà bien emballée en soi, et sa lecture n’a pas démenti cette impression, loin de là. J'ai adoré en particulier l'univers dépeint, très riche, et tout ce qui a trait à la magie / l'ésotérisme et à ce que cela implique dans le quotidien des personnages, pour ceux qui la manipulent et pour les nihiles. On s’en rend notamment compte pendant le séjour d’Elisa chez Adryan, qui a dû adapter son habitat pour l’accueillir, le contraste entre les deux types de population est vraiment saisissant.
J’ai bien aimé les personnages de manière générale, chacun est intéressant à sa façon et leurs motivations sont bien retranscrites. En particulier Elisa, ballottée dans une situation qui la dépasse, tout en découvrant qu’une partie de sa vie repose sur un mensonge et qui, malgré cela, s’efforce de s’en tirer.
En résumé, ce roman a été un coup de cœur pour moi. Par contre, j’aurais aimé un peu plus de précisions sur la rupture entre Ambroise et Adryan, car leurs sentiments ont l’air toujours présents, vu leurs attitudes - même s’il y a des sous-entendus comme quoi leurs familles pourraient être impliquées.


Félicratie de H. Lenoir : ‘JOKER’
[En lire plus]Un post-apo parodique où des extra-terrestres ont envahi la Terre, massacré l’essentiel des humains et converti les survivants en animaux de compagnie ! Dans les faits, le ton n’était parfois pas si parodique que cela, l’histoire contient des scènes assez sérieuses, en particulier dans la deuxième moitié du livre, mais j’ai beaucoup aimé. Le style parfois un peu familier (texte à la première personne) m’a fait tiquer au début mais ça allait mieux ensuite. Attention, TW pour mort d’animaux.

Les Enfants de la Déesse de Rose P. Katell : ‘Un livre en rapport avec la révolte’
[En lire plus]Un roman de fantasy avec des Lycanthus réduits en esclavage dont l’une de leurs représentantes, Kaliska, se retrouve en cavale à la suite de l’accusation du meurtre de son bienfaiteur alors que c’est faux. Des thématiques bien traités, des personnages complexes aux motivations diverses qui offrent une vue d’ensemble de la situation et de l’univers, une plume que j’ai beaucoup aimé, rien à redire.

♥ Que j'ai bien aimé ♥

A Study in Emerald de Neil Gaiman : ‘Un livre d'un auteur que vous aimez beaucoup’
[En lire plus]Une nouvelle qui croise les univers de Sherlock Holmes et du mythe de Cthulhu, sur la première enquête associant les deux protagonistes principaux. L’univers dépeint à travers cette nouvelle était intéressant (au début, je ne comprenais pas concernant la reconnaissance du corps, mais avec la contextualisation ensuite, la déduction du détective fait sens), ainsi que ce qui en découle sur les différents positionnements des humains à ce sujet. J’étais un peu perplexe quant à ce que le narrateur disait sur lui-même, mais j’ai eu la réponse à la fin, c’était bien trouvé !

Maitre des Djinns de P. Djeli Clark : ‘Un livre dont l'action ne se déroule pas sur votre continent’
[En lire plus]Se déroule dans une Egypte uchronique. J’ai adoré l’univers, le style d’écriture, l’aspect enquête, ainsi que l’originalité de la protagoniste principale qui se démarque tant par son style que par sa personnalité (femme dans un milieu encore essentiellement masculin)… sans compter qu’elle est lesbienne ! Par contre, j’ai été un peu moins convaincue par le dénouement de l’histoire, après les dernières révélations sur l’antagoniste, qui prend une tournure plus classique avec une ou deux ‘facilités’ associées. Quelques points évoqués appellent éventuellement à un autre tome dans cet univers à la suite de celui-ci, comme le lien possible entre Fatma et Sekhmet, qui n’est pas développé ici ; comme il y a déjà eu 2 novellas / romans courts publiés auparavant dans cet univers (traitant d’événements précédant ce tome), ce n’est pas impossible.

Les accords corrompus T1 de Kelly St Clare : ‘Littérature d'Océanie’
[En lire plus]Premier tome d’une quadralogie de fantasy. Honnêtement, le résumé ne colle pas, vu qu’il suggère que l’histoire démarre avec l’arrivée de cette délégation alors qu’elle est là depuis un moment au début du récit ; ce n’est pas un souci en soi mais cela surprend. Il n’y a pas tant de romance que le résumé me laissait craindre. L’intérêt principal de cet œuvre est son univers, que l’on découvre en suivant la protagoniste principale, car l’intrigue elle-même avance plutôt lentement. Personnellement, comme j’ai bien accroché à l’univers et que les personnages, en particulier la principale, me plaisaient assez, cela ne m’a pas posé de souci. Cela dit, à quelques reprises, des persos ont eu des réactions un peu bizarres voire disproportionnées ou moyennement crédibles, ce qui affaiblit la pertinence de quelques scènes. Certaines choses ont été faciles à deviner (en particulier concernant son voile qu’on voit rapidement venir à trois kilomètres). Malgré cela, j’ai bien aimé dans l’ensemble.

Ana l’étoilée T4 d’Ophélie Bruneau : ‘Un tome d'une série qui n'est pas le premier’
[En lire plus]Dernier tome de la série. La série était sympa et ce tome en constitue une jolie conclusion, Ana a bien mûri durant la série. J’ai beaucoup aimé l’univers, cohérent, et comment s’organisent les covens et le reste, je regrette un peu que cela finisse là.

Sortie des sables de Victoriane Vadi : ‘Voyages’
[En lire plus]Une romance MM courte dans un cadre fantasy inspiré de l’Egypte Antique, où l’on suit Aspel dans ses pérégrinations au sein du désert, à mesure qu’il en découvre les mystères (et que la relation centrale se développe). C’est là tout l’intérêt du livre, la romance et l’univers ; pas d’aventure réellement épique ou de rébellion à en attendre, ce serait au risque d’être déçu. Le style, très poétique, rend bien le décor et sa magie, que j’ai beaucoup aimés dans l’ensemble. La romance est assez classique mais sympathique, elle n’est pas trop lourde comme certaines le seraient (je ne suis pas une adepte du genre, de base).

Thiziri T1 d’Alexiane de Lys : ‘Un livre en rapport avec les plantes’
[En lire plus]Premier tome d’une série qui m’a un peu rappelé le film Avatar par certains côtés, en particulier l’aspect écologique avec un peuple en symbiose avec la nature et d’autres détails. Ici, la végétation, entité bien consciente, tient un rôle important. Le style est assez basique, un peu familier parfois, et plusieurs twists majeurs étaient prévisibles, mais l’univers était assez intéressant et l’histoire elle-même était sympa à lire.

Les Sœurs Carmines T1 d’Ariel Holzl : ‘Un livre primé en France’
[En lire plus] Prix Imaginales - Jeunesse, 2018. La force de ce récit réside dans son univers et son style pince-sans-rire, décalé et son humour noir. L’histoire elle-même est plutôt sympa, quoique peu transcendante (c’est du jeunesse). Cela étant, je n’étais pas très convaincue au début ; je me demandais où le récit était censé nous emmener (surtout avec l’alternance de passages dans le présent et des retours en arrière), mais ça a mieux été une fois les enjeux compris.

Sylvo Sylvain T1 de Raphael Albert : ‘Policier’
[En lire plus]Il s’agit d’un mélange de fantasy, de steampunk et de policier, avec la ville de Panam, très similaire à Paris par de nombreux aspects (la Tour des Fées pour la Tour Eiffel, les Champs de la Victoire pour les Champs-Elysées…). Le résumé ment un peu sur le rôle joué par Sylvo (du moins au début) et les choses sérieuses annoncées par ce dernier arrivent vraiment après la moitié du livre (même si, on s’en rend compte à la fin, tout est lié). Cela étant, je n’ai pas ressenti d’ennui dans cette première partie (je ne me rappelais plus du résumé et l’ai relu a posteriori, par curiosité, donc le manque d’apriori a pu aider). J’ai bien aimé et j’ai plutôt hâte de découvrir le tome 2.

Divin Enfer de Judith Gagnon : ‘Littérature canadienne’
[En lire plus]Une romance lesbienne ancrée dans une histoire d’urban fantasy. J’ai bien aimé l’histoire et l’univers, le tout était plutôt bien construit. La romance elle-même ne m’a pas vraiment convaincue par son côté ‘âme-sœur’ et ‘amour dès le premier regard’, il faut dire que ce sont des tropes que je n’affectionne pas. Et j’ai trouvé que le prologue, traité un peu rapidement, n’apporte pas grand-chose à l’histoire. Sinon, j’ai bien aimé dans l’ensemble.

Lectures sympas mais sans plus

Péchés mignons T1 d’Arthur de Pins : ‘Un livre d'un genre auquel vous n'avez jamais ou peu touché’
[En lire plus]Ici l’érotisme. Il s’agit d’historiettes humoristiques et coquines avec un seul personnage récurrent, Arthur, 21 ans, obsédé par les femmes. Que de l’hétéro, donc. La plupart était plutôt marrantes, quelques-unes moins, et il y en a une que j’ai trouvé un peu limite (TW harcèlement).

Tamanoir de Jean-Luc André d’Asciano : ‘Un livre édité par un éditeur que vous n'avez jamais lu’
[En lire plus]De la maison d’édition ‘Aux forges de Vulcain’. Désignée comme une ‘farce policière’, on comprend vite pourquoi. L’humour cynique est au rendez-vous, autant dans le style que dans l’histoire. L’histoire en elle-même était plutôt sympa, mais j’ai eu beaucoup de mal avec le style d’écriture, parfois un peu à rallonge. Point frustrant, le vieil homme a soulevé plusieurs fois la question de l’identité du père de Tamanoir et, au final, on ne sait pas qui c’est.

Princesse Caraboo d’Antoine Ozanam : ‘Un livre avec plusieurs personnes sur la couverture’
[En lire plus]Tiré d’une histoire vraie, celle de Marie Baker, qui s’est faite passer un moment pour une princesse étrangère auprès de bourgeois britanniques pour profiter de leur hospitalité. C’était sympa à découvrir, même si j’ai trouvé qu’elle a fini par avouer un peu rapidement (je ne sais pas si ça a été ainsi dans les faits).

La maison sans sommeil de Benoit Malewicz : ‘Un livre dont le personnage principal est un enfant’
[En lire plus]C’est l’histoire de Paul, 11 ans, qui emménage dans une nouvelle maison qui se révèle être hantée. La créature qu’elle abrite va s’efforcer de le rendre fou et de le pousser à commettre l’irréparable… Le style est simple, un peu familier, et le roman un peu court, mais l’histoire était sympa à lire. Je me suis vraiment demandée s’il allait s’en sortir.

La Dernière tentation du Christ de Nikos Kazantzaki : ‘Religion ou spiritualité’
[En lire plus]Le titre ne colle pas à l’œuvre puisqu’elle n’est pas centrée sur la fin et la dernière tentation en question, traitée seulement à la fin du tome, mais elle reprend dès le début avec le lancement difficile de Jésus dans sa mission. Ici, Jésus est dépeint de manière très humaine. Je ne sais pas jusqu’à quel degré il respecte le canon de la Bible, mais ce n’est assurément pas total : il y a moins d’apôtres que dans la croyance, la mère de Jésus ne prend pas du tout part aux pérégrinations de son fils… Le style était un peu lourd. J’ai surtout aimé la relation entre Jésus et Judas, qui prend un sacré tournant dans la dernière partie comme Jésus lui confie la tâche de le dénoncer afin de réaliser la volonté de Dieu (l’auteur utilise ici la version de l’Evangile de Judas). Quelques points m’ont laissée un peu perplexe, en particulier l’attitude de Jésus après son retour du désert (mais mes connaissances quant au contenu de la Bible sont assez lacunaires) et la dernière tentation qui prend la forme d’une illusion alors qu’il est déjà sur la croix et pas avant (l’intérêt m’a échappée). Sinon, c’était globalement sympa à découvrir, je suis curieuse de voir l’adaptation télévisée qu’il y a eu.

Les Etoiles de Noss Head T1 de Sophie Jomain : ‘Romance’
[En lire plus]Romance fantastique (sans être vraiment de l’urban fantasy) d’une autrice dont j’ai beaucoup aimé une autre série. Sa plume est toujours aussi agréable et le cadre donne vraiment à rêver (Ecosse). Cependant, le récit est très orienté romance, avec ses tropes et clichés que je n’affectionne pas vraiment (le ‘grand Amour’ / les âmes-sœurs, le gars super beau et très doué dans plein de trucs…). Il y a peu de ‘plot’ hors relation entre les deux protagonistes principaux, or je m’attendais à ce qu’il y ait plus d’enjeux en parallèle (d’où ma lecture). Je pense qu’il peut satisfaire les amoureux du genre mais ce n’est vraiment pas pour moi.

Lai de Lanval de Marie de France : ‘Un livre du Moyen-Âge’
[En lire plus]Pas du tout mon genre de lecture, entre le style trop rapide et la romance bancale, mais c’était sympa à découvrir.

Vertus du polyamour d’Yves-Alexandre Thalmann : ‘Sciences humaines’
[En lire plus]Un essai sur le polyamour, ses différentes formes, ce qui le distingue du monoamour plébiscité par la société actuelle et des réponses aux reproches qui lui sont faits. Le discours était clair et simple, argumenté, et va même jusqu’à faire le lien entre non-possessivité et liberté d’être soi-même. C’était intéressant. Par contre, on sent le jugement à l’égard du monoamour, presque comme une forme un peu anormale de l’amour, même si l’auteur répète à plusieurs reprises que chacun est libre d’aller vers ce à quoi il aspire, ce que je regrette un peu. De plus, certains exemples utilisés pour illustrer ses propos ne m’ont pas semblé si pertinents et quelques passages m’ont parus un peu redondants en eux, mais c’est un ouvrage relativement court donc cela ne m’a que peu, voire pas vraiment, pesé sur la lecture.

Que je n’ai pas aimé

Le vampire de John Polidori : ‘Un livre du 19e siècle’
[En lire plus]Nouvelle qui popularisa la figure du vampire tel que nous l’imaginons aujourd’hui, auparavant attribuée à Lord Byron. Sa lecture m’a laissée indifférente, le style était lourd avec très peu de dialogues et l’histoire en soi n’est pas transcendante. Par contre, la préface sur différentes versions du mythe des vampires à travers quelques cultures était intéressante.

Acadie de Dave Hutchinson : ‘Littérature d'Europe’
[En lire plus]Auteur britannique. L’univers se révèle intéressant une fois compris mais il est difficile de s’y plonger car on nage un moment dans le cambouis avant que cela s’éclaircisse. Le fil du récit est très désorganisé et m’a donné une impression générale de ‘fouillis’ avec des flash-backs qui viennent comme ça (j’ai mis un peu de temps avant de me rendre compte que c’en était, ça m’a laissée perplexe). L’histoire en elle-même est plutôt sympa, même si le twist à la fin passe moyen, mais c’est surtout sa rédaction trop décousue qui me chiffonne.

De la Terre à la Lune de Jules Verne : ‘Un grand classique’
[En lire plus]Un roman d’anticipation (pour l’époque) pas si long, mais qui me l’a semblé à la lecture car le récit s’appesantit sur chaque détail du projet (le choix du canon dans sa conception, du boulet avec sa taille…), ce qui conduit régulièrement à du bavardage historique, ‘scientifique’ et technique, ce qui alourdit considérablement le texte. Au fur et à mesure, avec l’abondance de ces détails, j’ai eu une perte d’intérêt pour le texte jusqu’à l’apparition d’Ardan qui veut être du voyage (dans la seconde moitié du texte). Cela dit, on avait quand même des lourdeurs de ci, de là, le roman est assez inégal.

Bienvenue en Enfer T1 d’Eve Langlais : ‘Un livre en rapport avec le feu’
[En lire plus]Un des protagonistes principaux est un démon du feu, et la thématique de la mise à mort sur le bûcher a son importance dans le récit. La base de l’histoire était sympa, avec le cadre Enfers/démons, la poursuite d’âmes damnées en fuite et une sorcière avec un certain passif, le tout avec un côté humoristique. Cependant, l’humour en question est très souvent orienté érotique avec la romance bancale qui s’ensuit, et pas mal de points ont été bâclés. Il faut dire que c’était court et en même temps, heureusement.

Le pèlerin amoureux de William Shakespeare : ‘Un livre du 16e siècle’
[En lire plus]Série de poèmes portant sur l’amour, la beauté et la séduction. Autant le style lyrique était agréable, autant le contenu m’a laissée, au mieux, indifférente, et le côté assez découpé n’a pas aidé.

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