There are some words you don't really want to write.
Tout a commencé avec un film. Once.
C'est l'histoire d'un guitariste irlandais, roux (et beau), fauché, qui rencontre une femme plutôt mignonne, et gentille.
Un film dont je suis tombée amoureuse. Dont je parle à tout le monde.
Un film musical, dont les chansons tournent en boucle chez moi depuis que j'ai vu le film (et même avant).
Tomber amoureuse, comme ça. Je dois avouer, à ma plus grande honte, que ce n'est pas la première fois. Je galvaude ces mots. Parce que je n'y crois plus, au fond...
Toujours est-il que juste après, j'ai twitté (c'est mal je sais). « OK. Mon homme parfait est guitariste, auteur - compositeur - interprète, c'est décidé. Et s'il peut être blond, c'est mieux. » Et pour le guitariste, c'est une certitude. Une constante dont je ne veux pas me débarrasser. Parce que tous ceux dont je suis tombée amoureuse et/ou avec qui je suis sortie ont, de près ou de loin, été guitaristes. Même ceux par lesquels j'ai été attirée, amicalement. [Là, je peux au moins citer J.] Alors non, je ne laisserai pas la guitare sortir de ma vie. Parce que je suis amoureuse de la guitare. Que j'en ai 7 à la maison. Et si mon futur mari est parfait mais qu'il ne joue pas de la guitare, je lui ferai apprendre.
Bref, ce n'est pas là le propos.
Tout a donc commencé avec Once.
Non, ça a commencé plus tôt. Ces battements de cœur affolants. Quand j'ai commencé à trier nos e-mails.
Non, encore plus tôt. Quand j'ai commencé à les recevoir, à sentir mon cœur accélérer quand je voyais qu'il répondait.
Oui, c'est ça. Ça a vraiment commencé à ce moment-là.
Même si, dès que je l'ai eu en professeur, ça a commencé. Un peu. Pas assez.
Maintenant, c'est trop. Trop de sentir mon cœur s'affoler à cause de lui, trop. Trop pour moi. Trop de rêver de lui.
Tout s'est emballé avec Once.
Non, je ne suis pas amoureuse, pas de lui. Pas de lui. Je ne veux pas, je ne peux pas.
J'ai peur. Je ne sais pas si quelqu'un peut comprendre à quel point j'ai peur. J'ai peur, et je ne peux rien dire, à personne, parce qu'Elle* ne comprendrait pas, parce qu'Elle_ me croirait folle. Et parce qu'elle, elle qui pourrait me dire, elle qui a cette force vitale et cette inclinaison à comprendre et réconforter les autres, elle est amoureuse. Et elle ne veut pas ça pour moi. Elle m'a dit de faire attention.
Je ne peux pas faire attention.
J'ai peur qu'il ait compris.
J'ai peur, vous savez.
J'aime sa voix.
Et pas que ça. J'aime tout chez lui.
Merde.
Mais je ne suis pas amoureuse, parce que je ne crois plus en l'amour.
Il est juste exactement mon idéal masculin. Plus que M. IP, plus que tous. C'est lui.
C'est l'histoire d'un guitariste irlandais, roux (et beau), fauché, qui rencontre une femme plutôt mignonne, et gentille.
Un film dont je suis tombée amoureuse. Dont je parle à tout le monde.
Un film musical, dont les chansons tournent en boucle chez moi depuis que j'ai vu le film (et même avant).
Tomber amoureuse, comme ça. Je dois avouer, à ma plus grande honte, que ce n'est pas la première fois. Je galvaude ces mots. Parce que je n'y crois plus, au fond...
Toujours est-il que juste après, j'ai twitté (c'est mal je sais). « OK. Mon homme parfait est guitariste, auteur - compositeur - interprète, c'est décidé. Et s'il peut être blond, c'est mieux. » Et pour le guitariste, c'est une certitude. Une constante dont je ne veux pas me débarrasser. Parce que tous ceux dont je suis tombée amoureuse et/ou avec qui je suis sortie ont, de près ou de loin, été guitaristes. Même ceux par lesquels j'ai été attirée, amicalement. [Là, je peux au moins citer J.] Alors non, je ne laisserai pas la guitare sortir de ma vie. Parce que je suis amoureuse de la guitare. Que j'en ai 7 à la maison. Et si mon futur mari est parfait mais qu'il ne joue pas de la guitare, je lui ferai apprendre.
Bref, ce n'est pas là le propos.
Tout a donc commencé avec Once.
Non, ça a commencé plus tôt. Ces battements de cœur affolants. Quand j'ai commencé à trier nos e-mails.
Non, encore plus tôt. Quand j'ai commencé à les recevoir, à sentir mon cœur accélérer quand je voyais qu'il répondait.
Oui, c'est ça. Ça a vraiment commencé à ce moment-là.
Même si, dès que je l'ai eu en professeur, ça a commencé. Un peu. Pas assez.
Maintenant, c'est trop. Trop de sentir mon cœur s'affoler à cause de lui, trop. Trop pour moi. Trop de rêver de lui.
Tout s'est emballé avec Once.
Non, je ne suis pas amoureuse, pas de lui. Pas de lui. Je ne veux pas, je ne peux pas.
J'ai peur. Je ne sais pas si quelqu'un peut comprendre à quel point j'ai peur. J'ai peur, et je ne peux rien dire, à personne, parce qu'Elle* ne comprendrait pas, parce qu'Elle_ me croirait folle. Et parce qu'elle, elle qui pourrait me dire, elle qui a cette force vitale et cette inclinaison à comprendre et réconforter les autres, elle est amoureuse. Et elle ne veut pas ça pour moi. Elle m'a dit de faire attention.
Je ne peux pas faire attention.
J'ai peur qu'il ait compris.
J'ai peur, vous savez.
J'aime sa voix.
Et pas que ça. J'aime tout chez lui.
Merde.
Mais je ne suis pas amoureuse, parce que je ne crois plus en l'amour.
Il est juste exactement mon idéal masculin. Plus que M. IP, plus que tous. C'est lui.