Oui pour le coup, ça se lit en anglais les doigts dans le nez. Trop tard pour te proposer mon exemplaire, mais ça n'aura pas été faute de t'en avoir parlé à l'époque où je l'ai lu ! ^^ Cela dit, je n'avais quand même pas été enthousiasmée à ce point, un peu trop de facilités pour moi et je n'ai pas été me jeter sur la suite du coup.
Il faut reconnaitre que j'aime follement la facilité, quand elle sait me divertir ^^ Comme je le disais à Arakasi, ce bouquin est sans doute rempli de défauts, mais avec ses défauts eux-mêmes, il pourrait avoir été écrit juste pour me plaire.
Idem qu'arcadiane, j'ai trouvé le roman sympathique et marrant, mais avec une intrigue principale vraiment cousue de fil blanc et des personnages un brin caricaturaux. Ceci dit, j'ai lu le deuxième tome avec plaisir et le troisième est dans mes pense-bêtes.
Et puis, j'avoue que ça m'a fait énormément penser à une série de policiers que je lisais, ado (et aimais beaucoup d'ailleurs). Ca se passe à la même époque et l'héroïne - Miss Amelia Peabody - est une vielle fille de trente ans, têtue, grande-gueule, anti-conformiste et dotée d'une fâcheuse tendance à tabasser les gens à coups d'ombrelle. Au premier tome, elle rencontre un grand diable d'archéologue, aussi brillant que caractériel, ainsi que parfaitement inapte socialement parlant, et ils passent la majeure partie de leur temps à s'engueuler copieusement avant de finalement s'épouser. Même époque, même style d'écriture et d'humour, quasi-même persos… Je sais pas si c'est moi que me fait des idées, mais la coïncidente est quand même assez grosse.
Je ne prétends pas que ce bouquin ait de grandes qualités intrinsèques, hein, mais son style, son ambiance, ses personnages, son humour, me parlent beaucoup trop bien pour que je puisse accorder la moindre importance à ses défauts. Je les reconnais assez bien, mais ils n'empêchent pas que je me suis marrée d'un bout à l'autre... et que je suis juste assez amoureuse d'Alexia et de Lord Maccon pour ne plus avoir envie de les quitter. Et puis, une note de culpabilité intellectuelle reste un ingrédient de plaisir très sûr, pour moi ^^
L'exacte définition du guilty pleasure qui fait pour moi aussi une bonne partie du charme de ce bouquin qui s'avale comme un petit four : avant qu'on s'en rende compte, on l'a déjà avalé et le petit goût de trop peu se fait sentir ^^
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Cela dit, je n'avais quand même pas été enthousiasmée à ce point, un peu trop de facilités pour moi et je n'ai pas été me jeter sur la suite du coup.
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Et puis, j'avoue que ça m'a fait énormément penser à une série de policiers que je lisais, ado (et aimais beaucoup d'ailleurs). Ca se passe à la même époque et l'héroïne - Miss Amelia Peabody - est une vielle fille de trente ans, têtue, grande-gueule, anti-conformiste et dotée d'une fâcheuse tendance à tabasser les gens à coups d'ombrelle. Au premier tome, elle rencontre un grand diable d'archéologue, aussi brillant que caractériel, ainsi que parfaitement inapte socialement parlant, et ils passent la majeure partie de leur temps à s'engueuler copieusement avant de finalement s'épouser. Même époque, même style d'écriture et d'humour, quasi-même persos… Je sais pas si c'est moi que me fait des idées, mais la coïncidente est quand même assez grosse.
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Tu es la troisième personne que je connais, qui fait l'éloge de ce bouquin sur LJ...XD
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