Psst, ylg
J'approuve ! Sauf que :
1) Je suis épuisée
2) Je n’ai pas lu/vu Saiyuki depuis au moins trois ans (ça fait viiiieux)
Le paysage n’était qu’une interminable succession de dunes dans lesquelles la jeep se frayait tant bien que mal un chemin, menaçant à chaque seconde de finir ensablée. Le soleil et la chaleur sapait les forces de ses occupants, mais malgré cette torpeur et donc ce calme bienvenus, Sanzô se sentait particulièrement frustré. Le stock de cigarettes du groupe approchait dangereusement de zéro, et aucune ville - ou même un simple bazar perdu au milieu de nulle part - ne faisait mine d’apparaître à l’horizon.
Attaquer un moine en manque de nicotine n’est pas une stratégie judicieuse quand on est un yokai (ou n’importe qui, d’ailleurs). Dommage qu’ils n’apprennent jamais. Avant même que ses compagnons n’aient eu le temps de sortir leurs armes et de s’extirper du véhicule, Sanzô avait déjà éradiqué la dizaine de démons qui venaient de surgir en embuscade. Assurément la meilleure manière de passer ses nerfs. Hakkai attendit que les échos des coups de feu se soient éteints pour soupirer.
« Eh bien…
- Une vraie boucherie, » renchérit Gojyo.
Gokû fit un large sourire et se tourna vers ses compagnons pour annoncer fièrement : « La boucherie Sanzô ! »
Sa réplique fut reçue par trois regards vides.
« Bah oui ! expliqua-t-il. Parce que ce sont des yokais et ils tombent en poussière au lieu de faire des cadavres ! Sanzô, comme sans os ! Vous comprenez ? Rhâââ, allez, admettez que c’est drôle ! »
Hakkai lâcha un petit rire poli et embarrassé. Gojyo resta coi deux bonnes minutes avant d’exploser de rire et de se moquer de Gokû et de son humour lamentable, entraînant une réplique vexée de l’intéressé. Sanzô ferma les yeux, sourcils crispés, l’incessante querelle entre Gojyo et Gokû une nouvelle fois en toile de fond. Il inspira à fond et lança une brève prière pour qu’ils atteignent un ravitaillement avant que sa prochaine ‘‘boucherie’’ n’ait lieu cette fois dans la jeep.
Je relierai en rentrant de weekend *is shot*
1) Je suis épuisée
2) Je n’ai pas lu/vu Saiyuki depuis au moins trois ans (ça fait viiiieux)
Le paysage n’était qu’une interminable succession de dunes dans lesquelles la jeep se frayait tant bien que mal un chemin, menaçant à chaque seconde de finir ensablée. Le soleil et la chaleur sapait les forces de ses occupants, mais malgré cette torpeur et donc ce calme bienvenus, Sanzô se sentait particulièrement frustré. Le stock de cigarettes du groupe approchait dangereusement de zéro, et aucune ville - ou même un simple bazar perdu au milieu de nulle part - ne faisait mine d’apparaître à l’horizon.
Attaquer un moine en manque de nicotine n’est pas une stratégie judicieuse quand on est un yokai (ou n’importe qui, d’ailleurs). Dommage qu’ils n’apprennent jamais. Avant même que ses compagnons n’aient eu le temps de sortir leurs armes et de s’extirper du véhicule, Sanzô avait déjà éradiqué la dizaine de démons qui venaient de surgir en embuscade. Assurément la meilleure manière de passer ses nerfs. Hakkai attendit que les échos des coups de feu se soient éteints pour soupirer.
« Eh bien…
- Une vraie boucherie, » renchérit Gojyo.
Gokû fit un large sourire et se tourna vers ses compagnons pour annoncer fièrement : « La boucherie Sanzô ! »
Sa réplique fut reçue par trois regards vides.
« Bah oui ! expliqua-t-il. Parce que ce sont des yokais et ils tombent en poussière au lieu de faire des cadavres ! Sanzô, comme sans os ! Vous comprenez ? Rhâââ, allez, admettez que c’est drôle ! »
Hakkai lâcha un petit rire poli et embarrassé. Gojyo resta coi deux bonnes minutes avant d’exploser de rire et de se moquer de Gokû et de son humour lamentable, entraînant une réplique vexée de l’intéressé. Sanzô ferma les yeux, sourcils crispés, l’incessante querelle entre Gojyo et Gokû une nouvelle fois en toile de fond. Il inspira à fond et lança une brève prière pour qu’ils atteignent un ravitaillement avant que sa prochaine ‘‘boucherie’’ n’ait lieu cette fois dans la jeep.
Je relierai en rentrant de weekend *is shot*