Titre : Complicité au paradis
Auteur :
luna38Demandé par
anna_tarawielRating : G
Personnages : Sara, Paul
Prompt : complicité, "corde au cou", boite à bijoux
Avertissements : Spoilier sur l'intégralité de la saison 3
Notes : Donc déjà, désolé pour l'enorme retard qu'a pris la publication de mes prompts. Ma connection internet que je devais avoir le 3 aout a grillé avec le routeur et l'ordinateur du foyer. Je viens juste de retrouver une borne d'accés. Ensuite, pour continuer dans mes malheur, la clé usb sur lequel j'avais copier mes prompts pour bosser sans connection en vacance a eu je sais pas trop quoi, elle n'a plus rien dessus. Du coup, j'ai fait le texte de mémoire et j'ai oublié "boite à bijou" dans les prompt. encore désolé Anna. Et pour la seconde fic, bah j'avais plus les prompts comme indiquer ci-dessus et mes souvenirr étaient trop vagues donc j'ai rien à publier pour le moment. Mais je vais me ratraper, je repars une semaine, avec cet fois mes prompts et je vous la publie en revenant (
clair_de_lune, tu n'a pas de chance). Sur ce, je vais vous laisser lire, j'ai finit avec mes problèmes personnel. Bonne lecture.
La première fois que Sara a croisé Paul Kellerman au paradis, elle avait levé ses sourcils bien haut.
- De toutes les personnes que j'ai croisé dans ma vie, vous êtes la dernière que je pensais retrouver ici.
- Parce que vous croyiez voir du monde, vous ?
- Rabat-joie.
Lorsqu'il sauta sur le nuage d'à coté, elle su que ce n'était pas leur dernière rencontre.
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Lorsqu'elle s'informa du devenir de Michael et qu'elle vit que Lincoln ne lui avait toujours pas avoué sa mort, elle ne sut pas trop si elle devait détester Linc' ou le remercier d'entretenir l'espoir de Michael. Paul était derrière elle et regardait par dessus son épaule.
- C'est vrai que Borrows n'est pas aussi altruiste que Scofield. Et avec un frère pareil, on pourrait probablement le lui reprocher. Mais il n'a pas eu une vie facile, on peut comprendre qu'il essaie de récupérer son fils. Il a peur.
- Vous avez peut-être raison, admit Sara. Mais, depuis quand vous vous intéressez au devenir des deux frères ?
- J'aime m'informer du destin des personnes que j'ai sauvé en témoignant contre ma vie. Histoire de voir si ça valait le coup. De toute façon, ici, on n'a rien d'autre à faire.
Cette fois, c'est Sara qui tourna les talons. Paul Kellerman voulait surement être gentil mais il s'était passé trop de choses pour qu'elle discute des états d'âmes de Lincoln devant les fenètres du paradis. Plus tard, peut-être. On verra.
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Lorsqu'elle assista à l'annonce de sa mort par Lincoln au parloir de Sona, elle se mit immédiatement du coté de Michael. Paul, éternel empêcheur de tourner en rond, défendit fortement Lincoln. La discution fut bien plus animé que les brefs échanges précédents.
- Michael a tout sacrifier pour sortir son frère du guêpier qu'on lui a tendu ! Comment Lincoln peut lui dire ça. C'est aussi son neveu. LJ compte autant que moi.
- Sauf que là, ce n'était pas planifier. Vous savez, les plans que Scofield adore tellement. Ils n'existent pas. C'est une situation différente, c'est normal que Borrows prenne des garantis.
- Des garantis ? Avec Michael ? Vous devriez arrêter de penser comme une de ces pourritures du gouvernement qui manipulent les gens, peut-être que vous ressemblerez légèrement à un humain.
- Et vous, vous devrez arrêter de penser avec votre coeur. Ca vous affaibli.
- Et alors, quel importance ? Je suis déjà morte de toute façon. Et en parti à cause de vous d'ailleurs.
Sara se demanda alors pourquoi elle discutait avec un type qui l'a torturé au fer à repasser. Elle tourna encore les talons sans dire au revoir.
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Lorsqu'elle vit tous les problèmes qu'avait Michael à s'évader de cette prison, elle espérait parfois qu'il vienne la rejoindre. Dans ces cas-là, elle retombait toujours sur Paul pour parler. Pourtant, elle avait chercher dans les alcôves du Paradis. Personne n'arrivait à lui enlever l'idée de la tête mieux que Paul. Un jour, elle s'interrogea à voix haute sur la question.
- C'est probablement parce qu'on est les seuls à avoir vécu tout ça de l'intérieur. Quoi que vous vous en disiez, on est proche tous les deux. On a vécu les même drame, et on en est mort tous les deux.
- Sauf que vous, vous étiez sur l'autre bord au début, ricana Sara.
- Je pense m'être déjà suffisamment repenti pour ce détail.
Sara le fixa, le regard plein de rencoeur.
- Certaines choses ne peuvent pas être effacé Paul.
- Je vous demande pas de vous marier avec moi, juste d'admettre que pour certains points, on se comprend mieux que n'importe qui d'autre.
- De toute façon, je vous laisserais pas me passer la corde au cou, vous serez capable de me pendre avec, railla Sara.
A ce moment, Sara s'interrogea sur la nature de leur relation. Amis ? Complice ?
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Lorsqu'elle vit Michael avec ce désir de vengeance aussi fort, elle trembla devant la fenêtre. Son père lui tenait la main mais c'est quand Paul arriva pour la serrer dans ses bras qu'elle se calma un peu.
- Scofield est intelligent. Il va se calmer un jour.
- Je veux juste qu'il retrouve une vie heureuse, fit Sara d'une voix rauque à cause de la panique.
- Il le fera. Après tout ça, il le ferra; Il a juste besoin de faire ton deuil. Après, il réalisera que tout ça, ça sert à rien. Il arrêtera et vivra sa vie.
- Mais est-ce qu'il y arrivera à temps ?
- J'en suis sûr.
Paul et Sara n'était pas amis, ils ne s'aimaient pas, ne travaillait pas ensemble et n'avez aucun lien de parenté. Il avait juste besoin l'un de l'autre parce qu'ils se rassuraient. C'est peut-être ça la véritable définition de complicité.