Cher Cédric,
J'ai cru comprendre que vous vous étiez plus ou moins fait harponner par un
décolleté entreprenant en quête d'un cavalier.
On serait embarrassé à moins, je vous l'accorde.
Alors me voilà, sur mon abraxan blanc, toute prête à vous sauver : j'ai terriblement besoin d'un cavalier bien élevé et dont je suis sûre qu'il ne profitera pas de ma candeur.
Accepteriez-vous d'être celui-là ?
Innocente,
Felisoph