Sur parchemin soigné entouré d'un ruban de velours vert

Sep 07, 2012 22:03

Cher Cédric,

J'ai cru comprendre que vous vous étiez plus ou moins fait harponner par un décolleté entreprenant en quête d'un cavalier.
On serait embarrassé à moins, je vous l'accorde.
Alors me voilà, sur mon abraxan blanc, toute prête à vous sauver : j'ai terriblement besoin d'un cavalier bien élevé et dont je suis sûre qu'il ne profitera pas de ma candeur.
Accepteriez-vous d'être celui-là ?

Innocente,

Felisoph

lettre ouverte, cedric

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