La créature mythologique du jour : le redcap
Le Bonnet Rouge (qu'on appelle en anglais Redcap, Powrie ou Dunter) est une espèce de goblin écossais maléfique. Ils vivent dans les château à la lisière de l'Ecosse et de l'Angleterre, et sont connus pour avoir pendant longtemps tué les envahisseurs anglais, et, depuis la pénurie provoquée par des années de paix guerre froide, les touristes. Ils utilisent leur sang pour teindre leur bonnet, et doivent le renouveler souvent, car avoir un bonnet décoré de sang séché est contraire au sens de la mode de tout Bonnet Rouge qui se respecte. Les femmes, qui ont pourtant naturellement les cheveux rouge sang, sont encore plus intraitables à ce sujet que les hommes.
Ce qu'on sait moins est que lors du fameux traité entre les Français et les Ecossais connu sous le nom de "Crevez, chiens d'anglais, crevez" [date illisible], certains Bonnets Rouges se sont réfugiés en France où ils sont connus pour avoir joué un rôle important pendant la révolution de 1789.
Les Bonnets Rouges à travers les âges
Les Bonnets Rouges français, sous le nom de Sans-Culottes (sans doute parce qu'ils portaient le kilt de façon traditionnelle, encore que les sources soient contestées), entreprirent de teindre leurs bonnets avec le sang des aristocrates, avec l'aide de leurs traditionnelles piques. Il est bien connu que de 1789 à 1795 il y eut plusieurs centaines d'exécutions par jour, mais on sait moins qu'il s'agissait de renouveler la demande constante de teinture des Bonnets Rouges revendicateurs. A la même époque, ils firent tuer tous les prêtres, ceux-ci étant les seuls à connaître un verset de la Bible capable de les chasser.
On peut penser que ces Bonnets Rouges allèrent encore plus loin dans l'horreur que leurs collègues anglais, puisqu'ils arrachèrent la peau de leur victimes pour en faire des tuniques. Les faits sont irréfutables, puisque cela a été raconté de première main par un aristocrate à qui c'est arrivé, invoqué par sa fille de Duchesse de M. et le réputé pour son honnêteté archevêque de P.
Non seulement ils eurent assez de tuniques pour eux tous, mais on raconte que c'est à cette époque qu'avec les mêmes restes humains ils inventèrent le parachute (du de l'espagnol para : pour ; et du français chut : que tu la fermes) et qu'ils se jetaient du haut des montgolfières pour attaquer les aristocrates à coup de piques améliorées avec des lames de guillotine miniatures
Leurs crimes, depuis sont repassés dans l'ombre, mais on notera que certains châteaux que nous ne citerons pas sont particulièrement connus pour causer la mort des visiteurs au sang noble. Personne n'est à l'abri : un jeune homme se vantant de ses origines entièrement roturières alla s'y promener pour montrer son courage, et fut retrouvé mort. On dit qu'il était, par les femmes, descendant de Gengis Khan sans le savoir.
La photo en bas à droite représente une image exclusive d'un groupe d'assassins Bonnets Rouges chargés par le gouvernement, dans le plus grand secret, de tuer la Reine d'Angleterre. Le photographe, depuis, est décédé dans des circonstances mystérieuses.
Ce qu'on sait moins est que lors du fameux traité entre les Français et les Ecossais connu sous le nom de "Crevez, chiens d'anglais, crevez" [date illisible], certains Bonnets Rouges se sont réfugiés en France où ils sont connus pour avoir joué un rôle important pendant la révolution de 1789.
Les Bonnets Rouges à travers les âges
Les Bonnets Rouges français, sous le nom de Sans-Culottes (sans doute parce qu'ils portaient le kilt de façon traditionnelle, encore que les sources soient contestées), entreprirent de teindre leurs bonnets avec le sang des aristocrates, avec l'aide de leurs traditionnelles piques. Il est bien connu que de 1789 à 1795 il y eut plusieurs centaines d'exécutions par jour, mais on sait moins qu'il s'agissait de renouveler la demande constante de teinture des Bonnets Rouges revendicateurs. A la même époque, ils firent tuer tous les prêtres, ceux-ci étant les seuls à connaître un verset de la Bible capable de les chasser.
On peut penser que ces Bonnets Rouges allèrent encore plus loin dans l'horreur que leurs collègues anglais, puisqu'ils arrachèrent la peau de leur victimes pour en faire des tuniques. Les faits sont irréfutables, puisque cela a été raconté de première main par un aristocrate à qui c'est arrivé, invoqué par sa fille de Duchesse de M. et le réputé pour son honnêteté archevêque de P.
Non seulement ils eurent assez de tuniques pour eux tous, mais on raconte que c'est à cette époque qu'avec les mêmes restes humains ils inventèrent le parachute (du de l'espagnol para : pour ; et du français chut : que tu la fermes) et qu'ils se jetaient du haut des montgolfières pour attaquer les aristocrates à coup de piques améliorées avec des lames de guillotine miniatures
Leurs crimes, depuis sont repassés dans l'ombre, mais on notera que certains châteaux que nous ne citerons pas sont particulièrement connus pour causer la mort des visiteurs au sang noble. Personne n'est à l'abri : un jeune homme se vantant de ses origines entièrement roturières alla s'y promener pour montrer son courage, et fut retrouvé mort. On dit qu'il était, par les femmes, descendant de Gengis Khan sans le savoir.
La photo en bas à droite représente une image exclusive d'un groupe d'assassins Bonnets Rouges chargés par le gouvernement, dans le plus grand secret, de tuer la Reine d'Angleterre. Le photographe, depuis, est décédé dans des circonstances mystérieuses.