Progression - Jour 1 à 4
Un bon démarrage :D
J'ai écrit dès les deux premiers jours le Défi Sex Is Not The Ennemy (original) et ma fic pour harlequin_folie (DCU, Bruce/Dick).
En terme de mots, ça ne fait pas beaucoup encore, mais j'ai quelques mots d'avance.
Maintenant je m'occupe exclusivement de mon originale L'Autre côté des ombres. La deuxième partie est officiellement terminée, j'attaque la troisième.
« Ça n’a pas beaucoup changé… commenta Coré doucement.
- J’ai remplacé le canapé-lit, il devrait être plus confortable que l’ancien. »
Les mains dans les poches, Owin regarda autour de lui. Non, il n’avait pas changé la décoration. Deux ou trois jours plus tôt, il avait eu la soudaine envie de repeindre. Il commençait seulement à se sentir chez lui.
« Le seuil t’appartient », remarqua Coré.
Elle se rapprocha de la toute petite cheminée, plus décorative qu’autre chose. Elle devait être pleine de nids d’oiseaux. Owin la ferait ramoner à l’automne suivant, après avoir vérifié que ça ne dérangeait rien ou personne d’important.
« Le foyer aussi. Tu es chez toi, ‘win.
- Je sais. Ça va venir. Je vais repeindre les murs. »
Elle lui décocha un sourire approbateur puis retira son bonnet et ses gants, défit son écharpe et s’extirpa de son manteau, révélant une robe grise par-dessus ses collants verts. Owin croisa les bras pour s’empêcher de commenter.
« Je voulais te demander, lui dit-elle, dos tourné, accrochant manteau et accessoires derrière la porte d’entrée. Ça s’est bien passé, avec le fantôme d’oncle Anatole ?
- Pas de difficulté, une fois que j’ai fait ce qu’il voulait. »
Coré sourit d’un air absent. À la jointure de son cou et de son épaule, on apercevait une partie de ses cicatrices, la patte d’un loup-garou qui avait failli lui arracher un sein.
« Il a toujours été têtu.
- Tu n’es pas là pour récupérer la boutique, j’espère, maintenant que j’ai fait tout le boulot ? »
Elle leva les yeux au ciel.
« Même si je voulais, Grand-mère ne l’autoriserait certainement pas. Tu imagines la crise qu’elle piquerait ? »
Ils échangèrent un regard et un ricanement solidaire, puis Owin croisa les bras, reprenant son sérieux.
« C’est elle qui t’envoie ? »
3290 / 25000 words. 13% done!
J'ai écrit dès les deux premiers jours le Défi Sex Is Not The Ennemy (original) et ma fic pour harlequin_folie (DCU, Bruce/Dick).
En terme de mots, ça ne fait pas beaucoup encore, mais j'ai quelques mots d'avance.
Maintenant je m'occupe exclusivement de mon originale L'Autre côté des ombres. La deuxième partie est officiellement terminée, j'attaque la troisième.
« Ça n’a pas beaucoup changé… commenta Coré doucement.
- J’ai remplacé le canapé-lit, il devrait être plus confortable que l’ancien. »
Les mains dans les poches, Owin regarda autour de lui. Non, il n’avait pas changé la décoration. Deux ou trois jours plus tôt, il avait eu la soudaine envie de repeindre. Il commençait seulement à se sentir chez lui.
« Le seuil t’appartient », remarqua Coré.
Elle se rapprocha de la toute petite cheminée, plus décorative qu’autre chose. Elle devait être pleine de nids d’oiseaux. Owin la ferait ramoner à l’automne suivant, après avoir vérifié que ça ne dérangeait rien ou personne d’important.
« Le foyer aussi. Tu es chez toi, ‘win.
- Je sais. Ça va venir. Je vais repeindre les murs. »
Elle lui décocha un sourire approbateur puis retira son bonnet et ses gants, défit son écharpe et s’extirpa de son manteau, révélant une robe grise par-dessus ses collants verts. Owin croisa les bras pour s’empêcher de commenter.
« Je voulais te demander, lui dit-elle, dos tourné, accrochant manteau et accessoires derrière la porte d’entrée. Ça s’est bien passé, avec le fantôme d’oncle Anatole ?
- Pas de difficulté, une fois que j’ai fait ce qu’il voulait. »
Coré sourit d’un air absent. À la jointure de son cou et de son épaule, on apercevait une partie de ses cicatrices, la patte d’un loup-garou qui avait failli lui arracher un sein.
« Il a toujours été têtu.
- Tu n’es pas là pour récupérer la boutique, j’espère, maintenant que j’ai fait tout le boulot ? »
Elle leva les yeux au ciel.
« Même si je voulais, Grand-mère ne l’autoriserait certainement pas. Tu imagines la crise qu’elle piquerait ? »
Ils échangèrent un regard et un ricanement solidaire, puis Owin croisa les bras, reprenant son sérieux.
« C’est elle qui t’envoie ? »
3290 / 25000 words. 13% done!