Un homme comme un autre
Titre :Un homme comme un autre
Persos : Syrielle, Liam
Rating : G
Note : Ecrit pour Kibss , dans le cadre du meme des corvées.
Un homme comme un autre
Avant Liam, Syrielle avait déjà vécu en couple. Elle avait déjà fait l’expérience de la vie à deux et savait donc combien il pouvait être difficile de faire participer aux corvées les hommes, surtout quand les dites corvées étaient de taille.
Le déménagement avait pris fin la veille. Le dernier carton avait été ouvert le matin même et restait maintenant à tout ranger, tout ordonner, tout organiser dans leur premier appartement. Un foulard noué sur ses cheveux pour les protéger, un large chiffon dans la main, Syrielle était parée pour le grand dépoussièrage. Une nouvelle maison ne pouvait être que parfaitement propre… au début tout du moins.
D’un air décidé, elle s’était alors assise sur le matelas posé à même le sol où Liam dormait encore et le réveilla d’un baiser sur sa joue piquante. Le jeune homme avait à peine ouvert les yeux qu’elle avait attaqué. Avec le ménage, il ne fallait pas perdre de temps.
En se redressant, le jeune homme avait alors assuré qu’il n’avait pas l’intention de se défiler. Qu’elle lui laisse le temps de se réveiller, de déjeuner et de s’habiller et il serait tout à fait d’attaque pour leur grande entreprise.
Syrielle était épatée. Le jeune homme s’était à peine étiré que déjà il s’était levé et avait regagné leur cuisine. Elle se demandait si elle n’était pas tombée sur la crème de la crème, l’homme parfait qui ne rechignait pas devant le ménage ?
Elle décida tout de même d’attendre un peu avant de se faire une opinion définitive. S’armant de son torchon, elle se rendit dans le salon et commença seule à dépoussièrer les étagères. Elle en avait terminé deux quand Liam sortit enfin de la cuisine. Sans se presser, il alla s’enfermer dans la salle de bain. Le temps qu’il se prépare, elle avait nettoyé un petit meuble et la moitié du buffet.
Syrielle se demande si finalement, il ne chercherait pas à gagner du temps… Mais quand il arrive enfin, il est armé d’un chiffon et d’un flacon de produit et elle décide de lui laisser une chance de faire ses preuves. Elle le laisse commencer.
Tandis qu’elle s’affaire sur le grand buffet, il commence à se plaindre. Il soupire, il grogne, il se plaint. Syrielle se contente de sourire.
Il n’arrête pas de répéter que c’est un travail pénible, qu’il y a vraiment beaucoup de poussière que ça va lui prendre un temps monstrueux, mais qu’il fera son travail à fond…
Il répète ce refrain pendant plus de dix minutes. La jeune femme commence à en avoir assez des hommes qui ont besoin que l’on reconnaisse continuellement qu’ils font du bon travail. Excédée, elle se tourne vers lui pour lui demander de se taire quand…
Elle le voit assis sur le sol, frottant mollement sur une étagère qu’elle a déjà nettoyée… Et il se plaint encore qu’il y a trop de travail !
Les poings posés sur ses hanches, elle le regarde d’un air sévère. Liam n’est pas l’homme parfait, c’était trop beau pour être vrai… Encore une chose à laquelle il faudrait qu’elle remédie…
Persos : Syrielle, Liam
Rating : G
Note : Ecrit pour Kibss , dans le cadre du meme des corvées.
Un homme comme un autre
Avant Liam, Syrielle avait déjà vécu en couple. Elle avait déjà fait l’expérience de la vie à deux et savait donc combien il pouvait être difficile de faire participer aux corvées les hommes, surtout quand les dites corvées étaient de taille.
Le déménagement avait pris fin la veille. Le dernier carton avait été ouvert le matin même et restait maintenant à tout ranger, tout ordonner, tout organiser dans leur premier appartement. Un foulard noué sur ses cheveux pour les protéger, un large chiffon dans la main, Syrielle était parée pour le grand dépoussièrage. Une nouvelle maison ne pouvait être que parfaitement propre… au début tout du moins.
D’un air décidé, elle s’était alors assise sur le matelas posé à même le sol où Liam dormait encore et le réveilla d’un baiser sur sa joue piquante. Le jeune homme avait à peine ouvert les yeux qu’elle avait attaqué. Avec le ménage, il ne fallait pas perdre de temps.
En se redressant, le jeune homme avait alors assuré qu’il n’avait pas l’intention de se défiler. Qu’elle lui laisse le temps de se réveiller, de déjeuner et de s’habiller et il serait tout à fait d’attaque pour leur grande entreprise.
Syrielle était épatée. Le jeune homme s’était à peine étiré que déjà il s’était levé et avait regagné leur cuisine. Elle se demandait si elle n’était pas tombée sur la crème de la crème, l’homme parfait qui ne rechignait pas devant le ménage ?
Elle décida tout de même d’attendre un peu avant de se faire une opinion définitive. S’armant de son torchon, elle se rendit dans le salon et commença seule à dépoussièrer les étagères. Elle en avait terminé deux quand Liam sortit enfin de la cuisine. Sans se presser, il alla s’enfermer dans la salle de bain. Le temps qu’il se prépare, elle avait nettoyé un petit meuble et la moitié du buffet.
Syrielle se demande si finalement, il ne chercherait pas à gagner du temps… Mais quand il arrive enfin, il est armé d’un chiffon et d’un flacon de produit et elle décide de lui laisser une chance de faire ses preuves. Elle le laisse commencer.
Tandis qu’elle s’affaire sur le grand buffet, il commence à se plaindre. Il soupire, il grogne, il se plaint. Syrielle se contente de sourire.
Il n’arrête pas de répéter que c’est un travail pénible, qu’il y a vraiment beaucoup de poussière que ça va lui prendre un temps monstrueux, mais qu’il fera son travail à fond…
Il répète ce refrain pendant plus de dix minutes. La jeune femme commence à en avoir assez des hommes qui ont besoin que l’on reconnaisse continuellement qu’ils font du bon travail. Excédée, elle se tourne vers lui pour lui demander de se taire quand…
Elle le voit assis sur le sol, frottant mollement sur une étagère qu’elle a déjà nettoyée… Et il se plaint encore qu’il y a trop de travail !
Les poings posés sur ses hanches, elle le regarde d’un air sévère. Liam n’est pas l’homme parfait, c’était trop beau pour être vrai… Encore une chose à laquelle il faudrait qu’elle remédie…