[repost] Bleach - Hanatarou/Rikichi- PG | Un peu de courage…
Titre : Un peu de courage et un peu de tendresse
Auteur : ylg
Base : Bleach
Personnages/Couple : Rikichi/Hanatarō
Genre : choupi/un peu dorky
Gradation : PG / K+
Disclaimer : propriété de Kubo Tite, je ne cherche pas à me faire de sous avec.
Notes : peut se prendre comme parallèle à ma fic plus longue « Pourquoi ne pas suivre les papillons ? »
Thèmes : " tendre" et "premier baiser", pour 31_jours (4 avril 07)
Prompt : couple sur la demande de flo_nelja
Nombre de mots : 400 et des poussières
**
L’embrasser ? Ils en ont de bonnes ! Ça n’est pas qu’ils soient timides, l’un et l’autre, mais… bon, si, d’accord, ils le sont. Ils peuvent déployer des trésors de bravoure quand il le faut, mais, prendre la main du garçon qu’on aime, lui dire des mots d’amour, de vrais mots d’amour et pas juste des demi-déclarations, et l’embrasser, aucun des deux n’ose. Et les taquineries des collègues les coincent encore plus au lieu de les encourager.
Mais ils sont bien décidés à le faire… un jour.
En attendant, Hanatarō est encore en retard à leur rendez-vous, une corvée surprise lui est tombée dessus à l’improviste et il n’a pas pu dire non. Il court aussi vite qu’il peut, pour ne pas faire attendre Rikichi-san plus longtemps, et dans la dernière ligne droite, trébuche sur une dalle bancale et tombe. Sous les yeux de Rikichi-san qui s’affole, se précipite vers lui, le relève et s’inquiète.
Il s’est juste égratigné une main en voulant amortir sa chute. À côté de ça, il a aussi les joues toutes rouges d’avoir couru, et cuisant d’humiliation ; plus de honte quant à sa maladresse que de véritable mal.
Rikichi-san lui tient le poignet et examine sa blessure, qu’un petit Quatrième Division blasé a déjà classée comme « trois fois rien » : quelques stries rouges, qui brûlent mais la douleur passera vite, la peau est à vif mais l’abrasion n’a pas suffi à la faire saigner pour de bon, et la plaie est propre, ni graviers incrustés ni saletés - les dallages ici sont très soigneusement balayés.
Hanatarō bafouille une excuse, pour son retard, pour sa maladresse, pour tout et pour rien. Et s’empresse de rassurer Rikichi-san. Vraiment, ça picote juste un peu, mais ce n’est pas grave du tout, il suffira de souffler un peu dessus pour faire passer la douleur - même si ça n’est pas forcément très hygiénique, mais pour l’instant, la prophylaxie est le cadet de ses soucis. Les doigts de Rikichi-san sont toujours enroulés autour de son poignet, et ses lèvres sont tout près de sa main, et, oui, tout doucement, il dépose un baiser léger au creux de sa paume.
Ils relèvent les yeux, leurs regards se croisent, et, et… finalement, ça n’était pas si difficile, de s’embrasser, en fait. Pas difficile, et agréable. Si personne n’a la mauvaise idée d’être témoin de la scène et d’applaudir bruyamment pour les féliciter d’avoir enfin osé, les faisant mourir de honte sur place, ils recommenceront tout de suite…
Auteur : ylg
Base : Bleach
Personnages/Couple : Rikichi/Hanatarō
Genre : choupi/un peu dorky
Gradation : PG / K+
Disclaimer : propriété de Kubo Tite, je ne cherche pas à me faire de sous avec.
Notes : peut se prendre comme parallèle à ma fic plus longue « Pourquoi ne pas suivre les papillons ? »
Thèmes : " tendre" et "premier baiser", pour 31_jours (4 avril 07)
Prompt : couple sur la demande de flo_nelja
Nombre de mots : 400 et des poussières
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L’embrasser ? Ils en ont de bonnes ! Ça n’est pas qu’ils soient timides, l’un et l’autre, mais… bon, si, d’accord, ils le sont. Ils peuvent déployer des trésors de bravoure quand il le faut, mais, prendre la main du garçon qu’on aime, lui dire des mots d’amour, de vrais mots d’amour et pas juste des demi-déclarations, et l’embrasser, aucun des deux n’ose. Et les taquineries des collègues les coincent encore plus au lieu de les encourager.
Mais ils sont bien décidés à le faire… un jour.
En attendant, Hanatarō est encore en retard à leur rendez-vous, une corvée surprise lui est tombée dessus à l’improviste et il n’a pas pu dire non. Il court aussi vite qu’il peut, pour ne pas faire attendre Rikichi-san plus longtemps, et dans la dernière ligne droite, trébuche sur une dalle bancale et tombe. Sous les yeux de Rikichi-san qui s’affole, se précipite vers lui, le relève et s’inquiète.
Il s’est juste égratigné une main en voulant amortir sa chute. À côté de ça, il a aussi les joues toutes rouges d’avoir couru, et cuisant d’humiliation ; plus de honte quant à sa maladresse que de véritable mal.
Rikichi-san lui tient le poignet et examine sa blessure, qu’un petit Quatrième Division blasé a déjà classée comme « trois fois rien » : quelques stries rouges, qui brûlent mais la douleur passera vite, la peau est à vif mais l’abrasion n’a pas suffi à la faire saigner pour de bon, et la plaie est propre, ni graviers incrustés ni saletés - les dallages ici sont très soigneusement balayés.
Hanatarō bafouille une excuse, pour son retard, pour sa maladresse, pour tout et pour rien. Et s’empresse de rassurer Rikichi-san. Vraiment, ça picote juste un peu, mais ce n’est pas grave du tout, il suffira de souffler un peu dessus pour faire passer la douleur - même si ça n’est pas forcément très hygiénique, mais pour l’instant, la prophylaxie est le cadet de ses soucis. Les doigts de Rikichi-san sont toujours enroulés autour de son poignet, et ses lèvres sont tout près de sa main, et, oui, tout doucement, il dépose un baiser léger au creux de sa paume.
Ils relèvent les yeux, leurs regards se croisent, et, et… finalement, ça n’était pas si difficile, de s’embrasser, en fait. Pas difficile, et agréable. Si personne n’a la mauvaise idée d’être témoin de la scène et d’applaudir bruyamment pour les féliciter d’avoir enfin osé, les faisant mourir de honte sur place, ils recommenceront tout de suite…