[repost] Névé - Névé/Alexandre - PG | Fumée et souvenirs
Titre : Fumée et souvenirs
Auteur : ylg
Base : Névé
Personnages/Couple : Névé, Alexandre
Genre : gen
Gradation : PG / K+
Disclaimer : propriété de Dieter et Lepage, je ne cherche pas à me faire de sous avec.
Prompt : Névé et Alexandre, "cigarette" pour modocanis (Noël 06/nouvel an 07)
Continuité : post tome 5 - mais dites-moi, je suis curieuse : est-ce que ça existe seulement encore, les gens qui s'intéressent à cette série pour les 4 premiers tomes ?
Nombre de mots : 180
*
On a beau répéter que la cigarette, c’est mauvais pour le souffle, et que pour la montagne, vraiment, c’est une encore plus mauvaise idée, Névé n’est pas près de pouvoir s’en passer. Il n’y peut rien, il aime le goût et l’odeur du tabac, il aime la fumée qui fait comme une brume autour de lui, quand le brouillard de la montagne lui manque trop.
Et puis, ça permet de socialiser, mine de rien, poison ou pas, autour d’un verre ou d’un café ou simplement une pause dehors loin de l’agitation des autres.
C’est d'ailleurs grâce à ça qu’ils ont commencé à parler, parler de choses anodines d’abord, importantes ensuite, lui et Alexandre. Il garde le souvenir de cette terrasse de café où ils s’étaient accordés sur ce poème de Verlaine, comme ça…
Enfin, c’est du passé, tout ça. Mieux vaudrait ne plus y penser désormais, se morigène-t-il en jetant son mégot à l’entrée de l’aéroport. L’Afrique et l’oubli l’attendent.
Auteur : ylg
Base : Névé
Personnages/Couple : Névé, Alexandre
Genre : gen
Gradation : PG / K+
Disclaimer : propriété de Dieter et Lepage, je ne cherche pas à me faire de sous avec.
Prompt : Névé et Alexandre, "cigarette" pour modocanis (Noël 06/nouvel an 07)
Continuité : post tome 5 - mais dites-moi, je suis curieuse : est-ce que ça existe seulement encore, les gens qui s'intéressent à cette série pour les 4 premiers tomes ?
Nombre de mots : 180
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On a beau répéter que la cigarette, c’est mauvais pour le souffle, et que pour la montagne, vraiment, c’est une encore plus mauvaise idée, Névé n’est pas près de pouvoir s’en passer. Il n’y peut rien, il aime le goût et l’odeur du tabac, il aime la fumée qui fait comme une brume autour de lui, quand le brouillard de la montagne lui manque trop.
Et puis, ça permet de socialiser, mine de rien, poison ou pas, autour d’un verre ou d’un café ou simplement une pause dehors loin de l’agitation des autres.
C’est d'ailleurs grâce à ça qu’ils ont commencé à parler, parler de choses anodines d’abord, importantes ensuite, lui et Alexandre. Il garde le souvenir de cette terrasse de café où ils s’étaient accordés sur ce poème de Verlaine, comme ça…
Enfin, c’est du passé, tout ça. Mieux vaudrait ne plus y penser désormais, se morigène-t-il en jetant son mégot à l’entrée de l’aéroport. L’Afrique et l’oubli l’attendent.