[repost] Count Cain - Alexis/Augusta - PG | Arsenic et dentelles fraîches
Titre : Arsenic et dentelles fraîches
Auteur : ylg
Base : Count Cain/God child
Personnages/Couple : Alexis Hargreaves, Alexis/Augusta
Genre : pervers ?
Gradation : PG / K+
Disclaimer : les persos sont la propriété de Yuki Kaori et le titre est plus ou moins emprunté à Joseph Kesselring ; je ne cherche à me faire de sous avec aucun.
Prompt : Alexis/Augusta, "chemise de nuit" pour preskunange (Noël 06/nouvel an 07)
Continuité : pré-série
Nombre de mots : 200
*
Un gentleman ne pénètre pas la chambre d’une dame passé le coucher du soleil, exceptée celle de son épouse. Mais Alexis, affolé par ses sentiments, ne pense plus mériter le titre de gentleman, et de toute façon Augusta n’est pas « une dame », c’est sa sœur. Même s’ils ont passé depuis longtemps l’âge où ils pouvaient jouer en toute innocence et n’offusquer personne.
Elle ne rend pas compte, la diablesse : avec sa gentillesse et ses petites manières charmantes, dès qu’elle parle à son cher petit frère, la grâce qu’elle met dans chaque mouvement, la musique de chacun de ses mots. Elle le rend fou.
Jamais il n’aurait dû venir la voir ce soir, si tard, alors que sa camériste s’est déjà retirée et que personne ne pourra être témoin de ce qui arrivera.
Elle est encore plus belle, ainsi. Sans poudre de riz, les joues délicatement rosées, fraîches de vie, les yeux brillants à la lueur de sa chandelle. Pourquoi faut-il que cette chemise de nuit blanche, immaculée, vaporeuse et toute ornée de dentelle, lui fasse tant penser à une robe de mariée et lui donne tant envie de l’arracher ?
Auteur : ylg
Base : Count Cain/God child
Personnages/Couple : Alexis Hargreaves, Alexis/Augusta
Genre : pervers ?
Gradation : PG / K+
Disclaimer : les persos sont la propriété de Yuki Kaori et le titre est plus ou moins emprunté à Joseph Kesselring ; je ne cherche à me faire de sous avec aucun.
Prompt : Alexis/Augusta, "chemise de nuit" pour preskunange (Noël 06/nouvel an 07)
Continuité : pré-série
Nombre de mots : 200
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Un gentleman ne pénètre pas la chambre d’une dame passé le coucher du soleil, exceptée celle de son épouse. Mais Alexis, affolé par ses sentiments, ne pense plus mériter le titre de gentleman, et de toute façon Augusta n’est pas « une dame », c’est sa sœur. Même s’ils ont passé depuis longtemps l’âge où ils pouvaient jouer en toute innocence et n’offusquer personne.
Elle ne rend pas compte, la diablesse : avec sa gentillesse et ses petites manières charmantes, dès qu’elle parle à son cher petit frère, la grâce qu’elle met dans chaque mouvement, la musique de chacun de ses mots. Elle le rend fou.
Jamais il n’aurait dû venir la voir ce soir, si tard, alors que sa camériste s’est déjà retirée et que personne ne pourra être témoin de ce qui arrivera.
Elle est encore plus belle, ainsi. Sans poudre de riz, les joues délicatement rosées, fraîches de vie, les yeux brillants à la lueur de sa chandelle. Pourquoi faut-il que cette chemise de nuit blanche, immaculée, vaporeuse et toute ornée de dentelle, lui fasse tant penser à une robe de mariée et lui donne tant envie de l’arracher ?