[repost] Monte Cristo - Haydée/Le Comte - PG | Fleur de Grèce
Titre : Fleur de Grèce
Auteur : ylg
Base : Le Comte de Monte-Cristo
Personnages/Couple : Haydée, Edmond ; mention de Valentine
Genre : jaloux
Gradation : PG / K+
Disclaimer : propriété d'Alexandre Dumas, je ne cherche pas à me faire de sous avec.
Avertissements : possible squick dans leur relation
Prompt : sur Haydée, pour rapunzelita (novembre 06)
Nombre de mots : près de 200
*
« Tu as mis quelque chose de "spécial" dans ce thé, Haydée ?
- Oui, mon maître.
- En quel honneur ?
- Je n’aime pas te voir regarder cette Valentine, » avoue la belle esclave sans hésiter, sans manifester le moindre trouble : à ses yeux, c’est une raison parfaitement valable.
« Je sais que tu t’occupes d’elle comme un père de sa fille, reprend-elle, mais pendant que tu la veilles, tu m’oublies.
- Belle enfant, jamais !
- Tu me servis de père à moi aussi, quand tu me pris sous ta protection, et je ne suis qu’à toi. Tu es libre de me laisser, bien sûr, mais je suis jalouse de te voir te choisir une nouvelle fille.
- Haydée, Haydée, aucune enfant ne prendra jamais ta place, voyons. Tu le sais.
- Oui. Je le crois désormais : ton regard s’adoucit. Quand tu seras enfin vengé, maître de ma vie et de mon cœur, m’aimeras-tu comme une femme et plus comme ta fille ?
- Si tu continues à charmer mes tisanes, douce fleur de Grèce, sans nul doute… et tout porte à croire que ce jour ne tardera plus désormais. »
Auteur : ylg
Base : Le Comte de Monte-Cristo
Personnages/Couple : Haydée, Edmond ; mention de Valentine
Genre : jaloux
Gradation : PG / K+
Disclaimer : propriété d'Alexandre Dumas, je ne cherche pas à me faire de sous avec.
Avertissements : possible squick dans leur relation
Prompt : sur Haydée, pour rapunzelita (novembre 06)
Nombre de mots : près de 200
*
« Tu as mis quelque chose de "spécial" dans ce thé, Haydée ?
- Oui, mon maître.
- En quel honneur ?
- Je n’aime pas te voir regarder cette Valentine, » avoue la belle esclave sans hésiter, sans manifester le moindre trouble : à ses yeux, c’est une raison parfaitement valable.
« Je sais que tu t’occupes d’elle comme un père de sa fille, reprend-elle, mais pendant que tu la veilles, tu m’oublies.
- Belle enfant, jamais !
- Tu me servis de père à moi aussi, quand tu me pris sous ta protection, et je ne suis qu’à toi. Tu es libre de me laisser, bien sûr, mais je suis jalouse de te voir te choisir une nouvelle fille.
- Haydée, Haydée, aucune enfant ne prendra jamais ta place, voyons. Tu le sais.
- Oui. Je le crois désormais : ton regard s’adoucit. Quand tu seras enfin vengé, maître de ma vie et de mon cœur, m’aimeras-tu comme une femme et plus comme ta fille ?
- Si tu continues à charmer mes tisanes, douce fleur de Grèce, sans nul doute… et tout porte à croire que ce jour ne tardera plus désormais. »