[repost] FMA - Farman, Havoc/Fury - PG | En secret
Titre : En secret
Auteur : ylg
Base : FullMetal Alchemist
Personnages/Couple : Watteau Farman ; Jean Havoc/Cain Fury
Genre : choupi ?
Gradation : PG / K+
Disclaimer : propriété d’Arakawa Hiromu, de Square Enix et du studio Bones ; je ne cherche pas à me faire de sous avec.
Thème : " en cachette" pour 31_jours (12 octobre 06)
Nombre de mots : 175
*
Ils s’embrassaient. Farman cligna des yeux. Sur le toit du quartier général, comme des collégiens. Vraiment. Havoc était assis dos à la rambarde, et Fury à califourchon sur ses genoux. Niché au creux des bras simplement refermés sur lui, s’appuyant sur son torse. Yeux fermés, tous les deux. Ils se contentaient de s’embrasser, comme des collégiens.
À ce qu’il semblait, ils auraient pu passer des heures comme ça, dans les bras l’un de l’autre, à simplement s’embrasser, jouer uniquement des lèvres et de la langue, innocemment, sans avoir l’air d’aller jamais plus loin.
Mais ils n’avaient pas des heures devant eux, seulement le temps supposé nécessaire pour une pause-cigarette, une pause-café, quelques minutes volées à leur service.
Ça aurait pu être suffisant pour un coup rapide dans les toilettes. Au lieu de cela, ils se cachaient sur le toit pour s’embrasser, comme des collégiens.
C’est pour ça, parce que ça semblait tellement innocent, qu’il garda secret ce qu’il avait surpris.
Auteur : ylg
Base : FullMetal Alchemist
Personnages/Couple : Watteau Farman ; Jean Havoc/Cain Fury
Genre : choupi ?
Gradation : PG / K+
Disclaimer : propriété d’Arakawa Hiromu, de Square Enix et du studio Bones ; je ne cherche pas à me faire de sous avec.
Thème : " en cachette" pour 31_jours (12 octobre 06)
Nombre de mots : 175
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Ils s’embrassaient. Farman cligna des yeux. Sur le toit du quartier général, comme des collégiens. Vraiment. Havoc était assis dos à la rambarde, et Fury à califourchon sur ses genoux. Niché au creux des bras simplement refermés sur lui, s’appuyant sur son torse. Yeux fermés, tous les deux. Ils se contentaient de s’embrasser, comme des collégiens.
À ce qu’il semblait, ils auraient pu passer des heures comme ça, dans les bras l’un de l’autre, à simplement s’embrasser, jouer uniquement des lèvres et de la langue, innocemment, sans avoir l’air d’aller jamais plus loin.
Mais ils n’avaient pas des heures devant eux, seulement le temps supposé nécessaire pour une pause-cigarette, une pause-café, quelques minutes volées à leur service.
Ça aurait pu être suffisant pour un coup rapide dans les toilettes. Au lieu de cela, ils se cachaient sur le toit pour s’embrasser, comme des collégiens.
C’est pour ça, parce que ça semblait tellement innocent, qu’il garda secret ce qu’il avait surpris.