[repost] FMA - Ed - G | Ces yeux d'or
Titre : Ces yeux d'or
Auteur : ylg
Base : FullMetal Alchemist
Personnages/Couples : Edward Elric, narrateur non identifié
Genre : description/un poil de fetish
Gradation : G / K
Disclaimer : propriété d'Arakawa Hiromu, je ne cherche pas à me faire de sous avec.
Notes : J'ai aimé le fandom à ses débuts, quand les gens pouvaient envisager et justifier pléthore de couples différents et pas juste du Roy/Ed, encore du Roy/Ed et que du Roy/Ed. Le manque de variété dans ce fandom depuis une couple d'années a fini par m'écoeurer définitivement de ce couple-là. Pensez qu'avec des justifications différentes ça aurait pu déboucher sur du Roy/Kimblee, Archer/Kimblee, Tucker/Ed, Greed/1st anime!Envy, Bradley/Hohenheim ou peut-être même encore autre chose... *soupir* Ah, c'était le bon temps !
Nombre de mots : 350
*
La première chose qui l’a frappé, quand il a croisé son regard, c’est la couleur de ses yeux. Or. Irréel, impossible. Attirant irrésistiblement le regard ; et de fait, leurs regards se sont croisés, et il y a plongé aussitôt. Le reste de son visage, impossible de s’y arrêter, face à l’appel de ces yeux d’or.
Noyé dans leur couleur, il essaya bien de se raisonner : non, ils ne sont pas vraiment dorés, ils sont bruns, brun très, très clair, avec des éclats dorés, et la lumière qui s’y reflète les fait paraître jaunes comme des yeux de chat. L’imagination fait le reste.
N’empêche, ce sont deux puits, même pas de lumière, juste de couleur ; leur teinte rare appelle l’œil et l’on s’y engouffre tout entier.
Il faut du temps pour s’arracher à la contemplation de ces seuls yeux. Tout ce qu’on peut y voir, c’est le camaïeu des couleurs chaudes et lumineuses de la prunelle - si on dit "irisé" pour un tel jeu de couleurs, ça n’est pas pour rien. Au milieu, la tache noire de la pupille, qui semble briller elle aussi. Et les cils qui battent, si on fixe trop longtemps.
Au début, il ne voit que ses yeux. Même pas son regard. On ne peut pas déchiffrer un regard en se fixant seulement sur les yeux. Il faut qu’il s’arrache à leur couleur, arrive à prendre du recul, pour en lire l’expression. Quand l’autre cesse d’être réduit à deux iris, qu’il arrive à englober le reste de son visage, il peut mettre des mots sur ce regard doré.
Il peut enfin, y lire quelque chose. La détermination qu’il y voit est fascinante, presque effrayante. Et il y a encore autre chose, mais il ne répètera pas quoi…
On dit des yeux qu’ils sont le miroir de l’âme ; si on peut y lire les sentiments, la personnalité, il ne faut pas s’en approcher de trop près : comme tous les miroirs, quand on a le nez dessus, on n’y voit plus rien, juste des jolies couleurs, et l’on s’y perd.
Auteur : ylg
Base : FullMetal Alchemist
Personnages/Couples : Edward Elric, narrateur non identifié
Genre : description/un poil de fetish
Gradation : G / K
Disclaimer : propriété d'Arakawa Hiromu, je ne cherche pas à me faire de sous avec.
Notes : J'ai aimé le fandom à ses débuts, quand les gens pouvaient envisager et justifier pléthore de couples différents et pas juste du Roy/Ed, encore du Roy/Ed et que du Roy/Ed. Le manque de variété dans ce fandom depuis une couple d'années a fini par m'écoeurer définitivement de ce couple-là. Pensez qu'avec des justifications différentes ça aurait pu déboucher sur du Roy/Kimblee, Archer/Kimblee, Tucker/Ed, Greed/1st anime!Envy, Bradley/Hohenheim ou peut-être même encore autre chose... *soupir* Ah, c'était le bon temps !
Nombre de mots : 350
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La première chose qui l’a frappé, quand il a croisé son regard, c’est la couleur de ses yeux. Or. Irréel, impossible. Attirant irrésistiblement le regard ; et de fait, leurs regards se sont croisés, et il y a plongé aussitôt. Le reste de son visage, impossible de s’y arrêter, face à l’appel de ces yeux d’or.
Noyé dans leur couleur, il essaya bien de se raisonner : non, ils ne sont pas vraiment dorés, ils sont bruns, brun très, très clair, avec des éclats dorés, et la lumière qui s’y reflète les fait paraître jaunes comme des yeux de chat. L’imagination fait le reste.
N’empêche, ce sont deux puits, même pas de lumière, juste de couleur ; leur teinte rare appelle l’œil et l’on s’y engouffre tout entier.
Il faut du temps pour s’arracher à la contemplation de ces seuls yeux. Tout ce qu’on peut y voir, c’est le camaïeu des couleurs chaudes et lumineuses de la prunelle - si on dit "irisé" pour un tel jeu de couleurs, ça n’est pas pour rien. Au milieu, la tache noire de la pupille, qui semble briller elle aussi. Et les cils qui battent, si on fixe trop longtemps.
Au début, il ne voit que ses yeux. Même pas son regard. On ne peut pas déchiffrer un regard en se fixant seulement sur les yeux. Il faut qu’il s’arrache à leur couleur, arrive à prendre du recul, pour en lire l’expression. Quand l’autre cesse d’être réduit à deux iris, qu’il arrive à englober le reste de son visage, il peut mettre des mots sur ce regard doré.
Il peut enfin, y lire quelque chose. La détermination qu’il y voit est fascinante, presque effrayante. Et il y a encore autre chose, mais il ne répètera pas quoi…
On dit des yeux qu’ils sont le miroir de l’âme ; si on peut y lire les sentiments, la personnalité, il ne faut pas s’en approcher de trop près : comme tous les miroirs, quand on a le nez dessus, on n’y voit plus rien, juste des jolies couleurs, et l’on s’y perd.