[new fic] Spirou - Zorglub et Champignac - G | Cette fois c’est la guerre !
Titre : Cette fois c’est la guerre !
Auteur : ylg
Base : Spirou et Fantasio
Personnages/Couple : Zorglub et Champignac
Genre : humour
Gradation : G / K
Disclaimer : propriété d’André Franquin, Henri Gillain et Greg ; je ne cherche pas à me faire de sous avec.
Thème : « ennemi intime » pour 6variations
Notes : pour ma 6ème et dernière fic sur ce thème, j’ai longuement hésité entre Borg-Lefranc et Olrik-et-Blake-et/ou-Mortimer, sans arriver à me décider, et j’ai préféré partir dans une autre direction, finalement.
Nombre de mots : 333
**
« Cette fois, Zorglub, tu vas trop loin, » tonna Champignac, poussé à bout par les exactions de son vieux collègue. Pour se heurter à un mur :
« Meuh non. Il n’y a pas de trop qui compte pour Zorglub. Zorglub ne connaît aucune limite ! brava le savant fou mis en tort.
- Et moi je vais t’en imposer. Il est grand temps que cela cesse. »
Le Comte retroussa ses manches, bien décidé à en découdre. Zorglub croisa les bras, l’attendant de pied ferme et le toisant de haut :
« Tu n’as pas à me donner de leçons, toi qui passes ta vie dans tes petits champignons. De vilaines moisissures partout ! »
Piqué, Champignac rétorqua vertement,
« Mes champignons sont très intéressants et très utiles et tu n’as pas de leçon à me donner sur la manière dont j’utilise mon laboratoire, d’abord ! »
Assuré de son bon droit, il ajouta, d’un ton définitif mais toujours civil malgré sa colère,
« Maintenant, Zorglub, tu vas me faire le plaisir de remettre tout ce bazar que tu as causé en ordre ! c’est vraiment inadmissible. »
Les vieux s’amis s’affrontèrent du regard. Finalement, comme toujours ou presque, ce fut Zorglub qui dut rendre les armes et se ranger aux exigences de Champignac.
Pourtant, quand deux heures plus tard, Champignac revint inspecter l’avancée des grosses œuvres, ce fut pour trouver Zorglub jusqu’au cou dans une nouvelle invention délirante, aggravant encore son cas au lieu de le réparer.
« Zorglub ! Ah, mais ! cette fois c’est la guerre. »
Le grand Zorglub ne l’entendit pas de cette oreille. Il n’allait pas se laisser gouverner comme un petit enfant quand il travaillait pour le bien des habitants ci-présents et qu’en plus, il était en train de se plier aux injonctions données :
« Quoi encore ? Je t’obéis : tu voulais que je trie toutes mes chaussettes qui soi-disant traînent dans ta partie du château, alors j’invente une trieuse. Chaussettes propres/sales, couleurs, motifs, paires… Alors ne te plains pas et admire, nom de nom ! »
Auteur : ylg
Base : Spirou et Fantasio
Personnages/Couple : Zorglub et Champignac
Genre : humour
Gradation : G / K
Disclaimer : propriété d’André Franquin, Henri Gillain et Greg ; je ne cherche pas à me faire de sous avec.
Thème : « ennemi intime » pour 6variations
Notes : pour ma 6ème et dernière fic sur ce thème, j’ai longuement hésité entre Borg-Lefranc et Olrik-et-Blake-et/ou-Mortimer, sans arriver à me décider, et j’ai préféré partir dans une autre direction, finalement.
Nombre de mots : 333
**
« Cette fois, Zorglub, tu vas trop loin, » tonna Champignac, poussé à bout par les exactions de son vieux collègue. Pour se heurter à un mur :
« Meuh non. Il n’y a pas de trop qui compte pour Zorglub. Zorglub ne connaît aucune limite ! brava le savant fou mis en tort.
- Et moi je vais t’en imposer. Il est grand temps que cela cesse. »
Le Comte retroussa ses manches, bien décidé à en découdre. Zorglub croisa les bras, l’attendant de pied ferme et le toisant de haut :
« Tu n’as pas à me donner de leçons, toi qui passes ta vie dans tes petits champignons. De vilaines moisissures partout ! »
Piqué, Champignac rétorqua vertement,
« Mes champignons sont très intéressants et très utiles et tu n’as pas de leçon à me donner sur la manière dont j’utilise mon laboratoire, d’abord ! »
Assuré de son bon droit, il ajouta, d’un ton définitif mais toujours civil malgré sa colère,
« Maintenant, Zorglub, tu vas me faire le plaisir de remettre tout ce bazar que tu as causé en ordre ! c’est vraiment inadmissible. »
Les vieux s’amis s’affrontèrent du regard. Finalement, comme toujours ou presque, ce fut Zorglub qui dut rendre les armes et se ranger aux exigences de Champignac.
Pourtant, quand deux heures plus tard, Champignac revint inspecter l’avancée des grosses œuvres, ce fut pour trouver Zorglub jusqu’au cou dans une nouvelle invention délirante, aggravant encore son cas au lieu de le réparer.
« Zorglub ! Ah, mais ! cette fois c’est la guerre. »
Le grand Zorglub ne l’entendit pas de cette oreille. Il n’allait pas se laisser gouverner comme un petit enfant quand il travaillait pour le bien des habitants ci-présents et qu’en plus, il était en train de se plier aux injonctions données :
« Quoi encore ? Je t’obéis : tu voulais que je trie toutes mes chaussettes qui soi-disant traînent dans ta partie du château, alors j’invente une trieuse. Chaussettes propres/sales, couleurs, motifs, paires… Alors ne te plains pas et admire, nom de nom ! »