[pimp] Monte Cristo - Haydée/Le Comte - PG | Conte de fées
Titre : Conte de fées
Auteur : ylg
Base : Le Comte de Monte Cristo
Personnages/Couple : Haydée/Le Comte
Genre : plutôt gen
Gradation : PG / K+
Disclaimer : propriété d’Alexandre Dumas ; je ne cherche pas à me faire de sous avec.
Prompt : "depuis toujours" pour sheepNimrauko (post noël ’07)
Nombre de mots : 165
*
Une princesse est destinée à épouser un Prince, c’est ce que sa mère et ses suivantes répétaient à Haydée depuis sa plus tendre enfance. Elle s’en est fait une idée un peu fantaisiste, étant enfant. En grandissant, elle a compris son erreur et a commencé à craindre le mariage politique avec un voisin qui ne lui plairait pas ; la réalité fut pire encore. La fille du Pacha de Janina, vendue comme esclave ! Ça semblait impossible.
Pourtant, les contes de Vassiliki et des esclaves de naguère avaient leur part de vérité : Haydée eut de la chance dans son malheur. L’homme qui l’acheta, s’il garda dans sa main sa liberté, ne la traita pas moins avec les égards dus à son rang. Dans sa maison, elle était servante et princesse à la fois. Elle lui en était reconnaissante : elle ne voulait plus vivre dans le monde extérieur, juste rester auprès de lui. Le voilà donc, le prince qu’elle attendait depuis toujours !
Auteur : ylg
Base : Le Comte de Monte Cristo
Personnages/Couple : Haydée/Le Comte
Genre : plutôt gen
Gradation : PG / K+
Disclaimer : propriété d’Alexandre Dumas ; je ne cherche pas à me faire de sous avec.
Prompt : "depuis toujours" pour sheepNimrauko (post noël ’07)
Nombre de mots : 165
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Une princesse est destinée à épouser un Prince, c’est ce que sa mère et ses suivantes répétaient à Haydée depuis sa plus tendre enfance. Elle s’en est fait une idée un peu fantaisiste, étant enfant. En grandissant, elle a compris son erreur et a commencé à craindre le mariage politique avec un voisin qui ne lui plairait pas ; la réalité fut pire encore. La fille du Pacha de Janina, vendue comme esclave ! Ça semblait impossible.
Pourtant, les contes de Vassiliki et des esclaves de naguère avaient leur part de vérité : Haydée eut de la chance dans son malheur. L’homme qui l’acheta, s’il garda dans sa main sa liberté, ne la traita pas moins avec les égards dus à son rang. Dans sa maison, elle était servante et princesse à la fois. Elle lui en était reconnaissante : elle ne voulait plus vivre dans le monde extérieur, juste rester auprès de lui. Le voilà donc, le prince qu’elle attendait depuis toujours !