Je ne vous avais pas raconté ma lecture de ce livre, des
éditions Baleine : Plus morts que morts-vivants.
Une histoire de vampire. Encore une, direz-vous. Mais cette fois-ci, l'action se passe pendant la seconde guerre mondiale, dans un camp de concentration. Là, le héros s'aperçoit que son ami, lui-même déporté, est un vampire.
Le livre est assez court, bien écrit et bien mené. Je n'aime pas lire de livres sur cette période, réellement horrible, mais l'horreur est là déplacée, car elle porte sur un élément qui pourrait être assimilé comme du fantastique, mais qui ne l'est pas vraiment dans ce récit. Cependant, il ne faudrait pas prendre ce livre à la légère en pensant que ce "déplacement" dans l'horreur minimise les atrocités bien réelles de la guerre. C'est d'ailleurs là tout l'intérêt de ce livre, bien écrit, sans trop en faire, tout en restant crédible.
Court, mais à ne pas manquer, car il fait parti de ces livres qu'il élargit les frontières trop bien connues du genre.