Thème: lettre/ Bones/ Réflexions.
Disclaimer : Bones appartient à Kathy Reichs
Thème : lettre
Rating : PG
Personnages : Zack/ Hodgins et tout le reste de la bande.
Notes de l’auteur : UA post ep 09 saison 02, suite de l’ange auréolé de soleil
Hodgins venait enfin de s’endormir contre la promesse de Zack de rester à ses côtés. Le jeune homme prit place dans un confortable fauteuil ancien recouvert d’une tapisserie fleurie. Il devait sans doute couter très cher alors il fit attention et ne se laissa pas tomber comme dans son canapé. La lettre était toujours pliée dans sa poche là où il l’avait rangée quand Angela était venue les rejoindre pour leur dire de rentrer tout de suite chez eux, qu’elle fermerait avec Camille Saroyan. Le Docteur Brennan était déjà partie avec l’agent Booth. Jack s’était alors appuyé sur son bras sans en avoir réellement besoin et il ne s’était pas dérobé. Dans le taxi, il avait laissé Hodgins poser sa tête bouclée sur son épaule. Ils avaient dépassé le lac pour se rendre dans la grande maison, tous les deux.
Il sortit la lettre de sa poche en entendant la respiration enfin régulière de son ami. Oui, pour l’instant c’était encore juste un ami. Un ami qui voulait plus, qui voulait une vraie relation… non ce n’était pas le bon mot, ils avaient déjà une relation, ils étaient amis comme avec Angela. Il aimait penser aussi qu’il avait l’amitié du Docteur Brennan ou même celle de l’agent Booth, pour le Docteur Saroyan, il ne savait pas trop. Et ne pas trop savoir était quelque chose qu’il détestait. Zack Addy savait ou ne savait pas. Quand il ne savait pas il cherchait jusqu’à obtenir la réponse. Simple, limpide, parfaitement scientifique et logique.
La lettre n’était pas logique du tout, elle faisait appel à autre chose. Quelque chose qu’il ne maîtrisait pas. Ca parlait de sens et de sentiments, de chair et de sang, de passion et d’amour. Des matières où il n’avait jamais eu de résultats optimums, bien au contraire. Il déplia la lettre et la relut encore une fois. C’était beau, c’était fort, ça remuait des choses en lui. Ca faisait comme un pincement dans la poitrine et le ventre mais il ne savait pas quel nom mettre sur ces sensations. Etaient-elles assez fortes pour être de l’amour ? Etait-il gay ? Pourrait-il être amoureux d’Hodgins ? Beaucoup de questions sans réponses qui lui mettaient le cerveau en ébullition.
En tout cas, il décida de garder la lettre dans la pochette où il rangeait les autres. Toutes les lettres qui avaient forgé son destin depuis le petit mot envoyé par son institutrice quand il avait cinq ans pour que ses parents lui fassent passer des tests à la lettre du Docteur Brennan quand elle avait accepté de le prendre avec elle.
Toutes ces lettres !
Hodgins remua, se mit à trembler et à crier l’appelant à son secours. Il n’hésita pas, se leva, s’approcha du lit et posa la main sur le front fiévreux.
-Hodgins ?
-Pas mourir… pas ça… Zack ?
-Je suis là. Tu devrais prendre des calmants, si tu remues trop tu risques de rouvrir ta blessure.
-Aide-moi s’il te plait.
Il lui tendit un verre d’eau et des comprimés.
-Merci.
-C’est normal, tu es… mon ami.
-Merci pour l’hésitation, répondit Hodgins avant de rendormir.
Zack aussi était fatigué, il resta sur le lit et s’allongea sur la couette qui protégeait son… ami, la lettre toujours serrée contre lui.
Thème : lettre
Rating : PG
Personnages : Zack/ Hodgins et tout le reste de la bande.
Notes de l’auteur : UA post ep 09 saison 02, suite de l’ange auréolé de soleil
Hodgins venait enfin de s’endormir contre la promesse de Zack de rester à ses côtés. Le jeune homme prit place dans un confortable fauteuil ancien recouvert d’une tapisserie fleurie. Il devait sans doute couter très cher alors il fit attention et ne se laissa pas tomber comme dans son canapé. La lettre était toujours pliée dans sa poche là où il l’avait rangée quand Angela était venue les rejoindre pour leur dire de rentrer tout de suite chez eux, qu’elle fermerait avec Camille Saroyan. Le Docteur Brennan était déjà partie avec l’agent Booth. Jack s’était alors appuyé sur son bras sans en avoir réellement besoin et il ne s’était pas dérobé. Dans le taxi, il avait laissé Hodgins poser sa tête bouclée sur son épaule. Ils avaient dépassé le lac pour se rendre dans la grande maison, tous les deux.
Il sortit la lettre de sa poche en entendant la respiration enfin régulière de son ami. Oui, pour l’instant c’était encore juste un ami. Un ami qui voulait plus, qui voulait une vraie relation… non ce n’était pas le bon mot, ils avaient déjà une relation, ils étaient amis comme avec Angela. Il aimait penser aussi qu’il avait l’amitié du Docteur Brennan ou même celle de l’agent Booth, pour le Docteur Saroyan, il ne savait pas trop. Et ne pas trop savoir était quelque chose qu’il détestait. Zack Addy savait ou ne savait pas. Quand il ne savait pas il cherchait jusqu’à obtenir la réponse. Simple, limpide, parfaitement scientifique et logique.
La lettre n’était pas logique du tout, elle faisait appel à autre chose. Quelque chose qu’il ne maîtrisait pas. Ca parlait de sens et de sentiments, de chair et de sang, de passion et d’amour. Des matières où il n’avait jamais eu de résultats optimums, bien au contraire. Il déplia la lettre et la relut encore une fois. C’était beau, c’était fort, ça remuait des choses en lui. Ca faisait comme un pincement dans la poitrine et le ventre mais il ne savait pas quel nom mettre sur ces sensations. Etaient-elles assez fortes pour être de l’amour ? Etait-il gay ? Pourrait-il être amoureux d’Hodgins ? Beaucoup de questions sans réponses qui lui mettaient le cerveau en ébullition.
En tout cas, il décida de garder la lettre dans la pochette où il rangeait les autres. Toutes les lettres qui avaient forgé son destin depuis le petit mot envoyé par son institutrice quand il avait cinq ans pour que ses parents lui fassent passer des tests à la lettre du Docteur Brennan quand elle avait accepté de le prendre avec elle.
Toutes ces lettres !
Hodgins remua, se mit à trembler et à crier l’appelant à son secours. Il n’hésita pas, se leva, s’approcha du lit et posa la main sur le front fiévreux.
-Hodgins ?
-Pas mourir… pas ça… Zack ?
-Je suis là. Tu devrais prendre des calmants, si tu remues trop tu risques de rouvrir ta blessure.
-Aide-moi s’il te plait.
Il lui tendit un verre d’eau et des comprimés.
-Merci.
-C’est normal, tu es… mon ami.
-Merci pour l’hésitation, répondit Hodgins avant de rendormir.
Zack aussi était fatigué, il resta sur le lit et s’allongea sur la couette qui protégeait son… ami, la lettre toujours serrée contre lui.