(no subject)
Thème : Libération (et, d'un côté, si on va chercher loin, Retour sur investissement)
Auteur : Myself_or_not
Fandom : Original
Mots : 239
Parce que j'ai hâte d'être à demain midi :D
Des journées oppressantes où l’on se dit qu’il faut effectivement travailler au lieu de s’amuser et où tout se bloque à l’intérieur, à tel point que l’on finit par ne plus rien faire. On ne met plus à profit notre temps, car il faut réviser, ou plutôt apprendre, et donc on ne peut plus faire autre chose. Mais comme généralement on n’arrive pas à réviser, on finit évidemment par ne plus rien faire, par rester amorphe devant un écran quel qu’il soit, à traîner, on s’endort, on décale notre rythme de sommeil et au final on attaque le jour J avec moins de quatre heures de sommeil dans le corps.
Le jour J, on est stressés mais dès que l’épreuve insurmontable est enfin surmontée c’est les vacances et on arrive enfin à nous servir de notre temps de façon utile. A peu près. La libération se fait brutale, mais c’est comme si tout s’éclairait autour. On respire, on rit, nerveusement peut-être mais c’est comme ça et puis tout est lumière et couleurs, tout est beau parce qu’on n’a plus rien d’autre à penser qu’aux deux mois qui arrivent.
Mais là sur le moment le stress commence un peu à monter, et tout nous oppresse tout autour à tel point qu’on finit par crier sur tout le monde et à essayer de réviser la trentaine de textes la veille de l’examen oral, et, euh. C’est mon cas, là, en fait.
Auteur : Myself_or_not
Fandom : Original
Mots : 239
Parce que j'ai hâte d'être à demain midi :D
Des journées oppressantes où l’on se dit qu’il faut effectivement travailler au lieu de s’amuser et où tout se bloque à l’intérieur, à tel point que l’on finit par ne plus rien faire. On ne met plus à profit notre temps, car il faut réviser, ou plutôt apprendre, et donc on ne peut plus faire autre chose. Mais comme généralement on n’arrive pas à réviser, on finit évidemment par ne plus rien faire, par rester amorphe devant un écran quel qu’il soit, à traîner, on s’endort, on décale notre rythme de sommeil et au final on attaque le jour J avec moins de quatre heures de sommeil dans le corps.
Le jour J, on est stressés mais dès que l’épreuve insurmontable est enfin surmontée c’est les vacances et on arrive enfin à nous servir de notre temps de façon utile. A peu près. La libération se fait brutale, mais c’est comme si tout s’éclairait autour. On respire, on rit, nerveusement peut-être mais c’est comme ça et puis tout est lumière et couleurs, tout est beau parce qu’on n’a plus rien d’autre à penser qu’aux deux mois qui arrivent.
Mais là sur le moment le stress commence un peu à monter, et tout nous oppresse tout autour à tel point qu’on finit par crier sur tout le monde et à essayer de réviser la trentaine de textes la veille de l’examen oral, et, euh. C’est mon cas, là, en fait.