un homme et son chat - original - câlin
titre: un homme et son chat
thème: câlin
fandom: aucun
rating: G
nombre de mots: 227
disclaimer: tout à moi... ou presque
C’était un matin comme les autres. Le jingle stupide de la radio, les infos, toujours la même chose. Il ouvre un œil. Se roule sous les draps. La nuit a encore été mauvaise, une traversée peuplée de cauchemars et d’insomnies. Il ouvre un œil. Cherche ses lunettes sur la table de nuit. Il faut se lever. Prendre une douche. Boire un café, et fumer une première cigarette en regardant la nuit par la fenêtre. Trop tôt pour voir le soleil se lever.
- Miaou…
Il sourit, entend le léger bruit que fait le petit corps qui saute sur le lit. Le chat s’approche de lui en ronronnant. Il sent bientôt la truffe humide contre son menton. Il sourit, avant de gratter l’animal entre les oreilles.
- T’as faim, constate-t-il.
Il repousse le chat avant de se lever. Un léger vertige manque de lui faire perdre l’équilibre. Il va dans la cuisine, poursuivi par une petite bête miaulante. Il sort la boîte de Whiskas du frigo, nourrit l’animal, et se prépare un café. Il est seul. Toujours.
Mais avant de partir travailler, plus loin dans la banlieue, il prend le chat dans ses bras. La bestiole se laisse faire, et pétrit même le col de son pull-over en ronronnant.
- Elle m’a peut-être quitté, murmure-t-il au chat, mais toi, au moins, tu es là. Je peux toujours te faire des câlins.
thème: câlin
fandom: aucun
rating: G
nombre de mots: 227
disclaimer: tout à moi... ou presque
C’était un matin comme les autres. Le jingle stupide de la radio, les infos, toujours la même chose. Il ouvre un œil. Se roule sous les draps. La nuit a encore été mauvaise, une traversée peuplée de cauchemars et d’insomnies. Il ouvre un œil. Cherche ses lunettes sur la table de nuit. Il faut se lever. Prendre une douche. Boire un café, et fumer une première cigarette en regardant la nuit par la fenêtre. Trop tôt pour voir le soleil se lever.
- Miaou…
Il sourit, entend le léger bruit que fait le petit corps qui saute sur le lit. Le chat s’approche de lui en ronronnant. Il sent bientôt la truffe humide contre son menton. Il sourit, avant de gratter l’animal entre les oreilles.
- T’as faim, constate-t-il.
Il repousse le chat avant de se lever. Un léger vertige manque de lui faire perdre l’équilibre. Il va dans la cuisine, poursuivi par une petite bête miaulante. Il sort la boîte de Whiskas du frigo, nourrit l’animal, et se prépare un café. Il est seul. Toujours.
Mais avant de partir travailler, plus loin dans la banlieue, il prend le chat dans ses bras. La bestiole se laisse faire, et pétrit même le col de son pull-over en ronronnant.
- Elle m’a peut-être quitté, murmure-t-il au chat, mais toi, au moins, tu es là. Je peux toujours te faire des câlins.