L'ARBRE À DRABBLES EST TERMINÉ !
Ne postez plus de nouveaux drabbles ! (edit 14 juin)
ou l'arbre enfin lancé grâce à
azalee_calypso et
cassidy_b ! :)
...Le dernier datait déjà de janvier !?
Ouf, ça me fait réaliser à quel point le boulot a été impitoyable depuis. ;;^^
N'hésitez pas à faire un peu de publicité si ça vous dit. :)
Qu'est-ce que 'drabble tree' ou un
(
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Au fond, c’est la même chose pour lui.
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Emma accourt à chaque fois, dans ces moments-là. Elle est toujours présente pour la réconforter, pour lui rappeler qu’elle n’est pas seule et que quelqu’un veile sur elle.
Angelica se laisse aller à la douceur d’être bercée sur le lit par une femme qui l’apaise, en qui elle a confiance, qu’elle aime plus que tout.
Peu à peu, les attentions de son professeur particulier vont de plus en plus loin. C’est d’abord une main passée dans le dos, qui descend davantage, puis un baiser qui rate de peu la joue, pour se poser aux commissures des lèvres…
Elle la séduit.
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« Alors, comme ça, tu te demandes ce que je faisais avec Shaw ? »
Mystique a l'habitude des télépathes, mais elle la met tout de même mal à l'aise.
« C'est simple. Je m'ennuyais tellement avant de le rencontrer. »
L'alcool brûle la gorge de Mystique, mais elle se contrôle pour le cacher.
Emma la regarde, imperturbable.
-Tu me trouves immorale ? Une chance que tu ne puisses pas lire les pensées des gens, trésor. »
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Ah ben merci, j'ai envie de lire du slash entre elles deux, maintenant... xD
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Ce soir est bien. Pas de combat autre que ceux des entraînements, une soirée calme, quelques dessins de fait qui seront envoyés à sa famille. Pas de stress. Une bonne douche. Piotr est heureux, chantonne. De plus en plus fort.
« Ils sauront bientôt que nos balles/Sont pour nos propres généraux / C’est la lutte finale/Groupons-nous, et demain /L’Internationale/Sera le genre humaiiinn. »
Il aurait du éviter de chanter ça en anglais.
« La révolution n’est pas encore fini, camarade ? » Lui demande un Logan taquin en ouvrant la porte. Le russe rougit.
«Je rigolais. ».
Oh.
« Kurt veut t’inscrire à une comédie musicale. Là, je ne plaisante pas. »
Qu… quoi ?!
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Mais ces mots ne sortirent pas.
Parce qu’Anthony ne savait pas ce qu’était l’amour.
On ne lui avait jamais appris.
Il n’était rien qu’une poupée, il n’avait pas de sentiments. Il ne savait pas ce que c’était non plus. Ni peur, ni haine. Alors l’amour…
Mis à part ce qu’il avait pu observer depuis son infiltration parmi les humains, il n’en savait pas plus. Il ne l’avait pas encore ressentit par lui-même.
Pourtant, quand sa main se glissa dans la chevelure rousse de Gabrielle, quelque chose de différent anima son cœur artificiel.
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Son cœur artificiel ne semble pas dégoûter l’épouvantail ; lui qui est en foin, et maintenant intelligent, connaît bien la surestimation que l’on accorde à la matière dont sont faites les choses plutôt qu’à leur fonction.
Le cœur de l’homme de fer est rouge sous le métal blanc, l’homme de paille s’en émeut.
Un jour, bravant sa retenue, il pose sa main sur la partie chaude de l’armure. Et le bûcheron, emporté par son cœur, enlace cet ami au rembourrage si tendre.
« D’ici qu’ils nous pondent une petite paille de fer… », s’amuse et s’inquiète Dorothy.
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Raven n'est pas plus assurée. Elle sait que quelque chose ne colle pas et elle ne comprend pas pourquoi son frère, pourtant si clairvoyant, fait comme si de rien n'était.
Ils passent des heures ensemble. À les voir s'écarter pour se parler, elle se sent, soudain, plus exclue qu'elle ne l'a jamais été.
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Allongé de tout son long sur le tapis de laine vierge, il contemple le chaos qui l'entoure. La chambre d'hôtel est méconnaissable. Il ne veut pas penser à ce que ça va coûter, ni à comment il va pouvoir expliquer ça. La table basse cassée, les verres brisés, le seau à champagne renversé, les glaçons qui fondent sur la moquette...
Erik, allongé sur le ventre, nu, le nez enfoui dans son bras replié, le regarde d'un air malicieux.
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Erik, allongé sur le ventre, nu, le nez enfoui dans son bras replié, les regarde d'un air malicieux.
Charles a encore la plupart de ses vêtements sur lui, mais on sent déjà un certain débraillement dans sa tenue, notamment parce que son col est défait et sa cravate, ôtée. Quant à Angel...
"Vous avez de la chance de ne pas être mes clients, prévient-elle avant de commencer. parce que normalement, je fais également payer la prestation."
Elle savoure la vision du visage du jeune professeur, qui a le rouge aux joues, et continue.
"Et en plus, vous êtes deux."
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Milo le regarde d’un air malicieux, réponse à la réprobation de leur collègue. Cela fait maintenant trois mois que la guerre est finie et qu’ensemble les deux anciens ennemis font la tournée des bars… d’un certain type de bar.
Duo inattendu qui n’est pour plaire à tout le monde, les deux vétérans se montrant souvent à Rodorio accompagnés d’éphèbes de la ville, dans des attitudes explicites.
Si la majorité des chevaliers d’or ne s’en préoccupe pas, Shaka ne peut s’empêcher de les considérer avec une moue de dédain.
Leur vice n’est pas condamné par sa religion, mais leurs activités troublent étrangement sa sérénité ; les visites des chevaliers de bronze le plongent dans le tourment.
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Erik, allongé sur le ventre, nu, le nez enfoui dans son bras replié, le regarde d'un air malicieux. Allongé lui aussi, sur le côté et tout aussi nu, Xavier lui demande s’il a bien dormi.
« Il aurait déjà fallu que je dorme, voyons. Et que tu ne sois pas tout le temps dans ma tête. » Il n’y a rien de méchant dans le ton, bien au contraire. Faisant mine d’être vexé, Xavier taquine :
« Ose dire que tu n’as pas aimé notre nuit, ose. »
Il ne le nie pas, ni ne l’approuve, puisqu’un imprévu interrompt leur discussion en apparaissant juste devant eux, en riant. Kurt aime vraiment trop son pouvoir.
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Mais ce point de contrôle entre rage et sérénité, cet état où les lois de la physique cèdent et le poids s'efface, n'est pas facile à atteindre.
Il réside quelque part entre une pièce éclairée par une menorah et un bureau à Auschwitz.
Entre une volée de marches au pied d'un mémorial et une plage à Cuba.
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Ce fut sans doute pour ça que lorsqu’une détonation retentit, qu’un autre corps tombe, il se précipite. Sans hésitation, il prend Charles dans ses bras, sors la balle, continue de serrer.
Non, pas toi.
Il le pense sans le dire.
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