Arbre à drabbles surprise~ (1er au 13 juin)
L'ARBRE À DRABBLES EST TERMINÉ !
Ne postez plus de nouveaux drabbles ! (edit 14 juin)
ou l'arbre enfin lancé grâce à azalee_calypso et cassidy_b ! :)
...Le dernier datait déjà de janvier !?
Ouf, ça me fait réaliser à quel point le boulot a été impitoyable depuis. ;;^^
N'hésitez pas à faire un peu de publicité si ça vous dit. :)
Qu'est-ce que 'drabble tree' ou un ( Read more... )
Ne postez plus de nouveaux drabbles ! (edit 14 juin)
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Qu'est-ce que 'drabble tree' ou un ( Read more... )
D'après ses sourcils froncés et ses bras croisés, Satoshi ne semble pas dupe - ou bien il est juste outré. Peut-être même frustré, voire nerveux, disent ses joues rouges.
- Quoi, tu vas me faire poireauter combien de temps pour avoir une réponse ? s'offusque-t-il.
- Hmm, peut-être quelques jours ?
J'ai bien attendu des années, se retient-il d'ajouter.
Mais quand Satoshi, impatient, fait mine de l'embrasser une deuxième fois, Shigeru craque, éclate de rire, et le lui rend.
Ce serait trop cruel, et puis surtout... ça fait des années qu'il attend ça.
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Survivre dans cet enfer a été difficile, douloureux. Charles le lit dans sa tête, un soir, après une discussion, après que son ami soit devenu sombre. Les siens lui manquent. Des gens lui ont tout volé jusqu'à son enfance.
Tendre la main, voilà son envie, tendre la main et proposer encore une fois de jouer aux échecs. Rien ne sera résolu après cela, Xavier veut faire comprendre quelque chose à Erik, quelque chose que les mots peuvent décrire mais mal parfois. Au diable les mots, vive les actes, l’amitié dans le regard qui vaut mieux qu’un banal « je suis ton ami » pour « tu n’es plus seul, c’est fini… »
Je t’aime, Xavier osera encore moins le dire…
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Dire quelque chose est difficile, la douleur est encore là. Pas aussi forte, mais persistante. Devant lui, Nightcrawler fait ce qu'il peut, panse ce qui n'a pas encore fini de guérir, le force à prendre des antidouleurs (cela ne sers à rien, il n'arrive même pas à le murmurer. Les yeux penchés sur lui, le corps près de lui et les mains qui le touchent le lui interdissent). Concentré, son ami n'est que silence, jusqu'à ce que celui-ci se brise.
« Parfois, j’aimerais que toi aussi, tu aies le pouvoir de te téléporter... »
Tristesse dans la voix. Comme le « tu es donc si seul ?», d’autrefois.
« Je t’aie toi… »
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A chaque instant, il craint de trahir sa véritable identité. Un geste caractéristique, quelques mots pourraient suffire à griller sa couverture.
Iris le soupçonne, il en est certain. Lorsqu'il esquive d'une manière trop agile, qu'il les perd trop souvent, qu'il oublie de se montrer faible, il sent son regard se poser sur lui.
Quant à Satoshi, il s'avère plus facile à berner. Cela ne veut pas dire que c'en est plus facile, car parfois, le remord l'assaille, en puissantes vagues.
Il ne peut pourtant pas faire autrement. Il n'a pas le choix.
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et oh mais de rien. ♥
Suite de celui de Cass~
- Je n'ai pas le choix, murmure-t-il. Je ne fais pas ça de gaieté de coeur, croyez-moi. On s'est vraiment bien amusés, tous les trois ; il faut simplement revenir à la réalité, un jour ou l'autre.
Du dos de la main, il repousse quelques mèches rebelles, caresse le front de Satoshi ; du bout des doigts, il trace le dessin des cils d'Iris.
Dans quelques instants, il les amènera à son Seigneur, ainsi, bien sûr, que le fameux Pikachu. D'ici-là, il aimerait qu'ils continuent de dormir.
Ils ne peuvent pas entendre son murmure final :
- Il est temps que le rêve se termine.
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Sors de mon cerveau, j'aimerais réussir à te surprendre-en-bien, parfois XDD Sauf que non, et rebecca_kalista peut le confirmer, Dent n'avait pas envie qu'ils continuent de dormir. Paaaaas du tout =D
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Il a toujours une allure fière. Xavier n’a pas peur, même s’il est seul avec lui, si Erik a son casque qui le protège de ses intrusions mentales. Ses jambes, Charles ne les a plus.
« Je pense, mon ami, qu’ils auront davantage envie de nous détruire si des mutants profitent de leur position pour leur faire du mal. C’est presque de la légitime défense. Exagéré, extrême et dommageable pour les deux camps, mais néanmoins compréhensible. Nécessaire pour certaines personnes. C’est le cas aussi avec quelques exemples de mutant que je connais bien.»
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Une coquille vide rejoint les autres. Dent recommence à battre les œufs en neige. Autour, le tintement des couverts pendant qu’Iris et Satoshi préparent la table. Comme d’habitude.
Pourtant, c’est leur dernier repas ensemble.
Dent a initialement voulu marquer l’occasion, organiser un menu festif, inoubliable. Mais sans prétexte, Iris se serait certainement méfiée ; alors, tout se passe normalement (c’en est presque décevant, comme un anniversaire oublié), et rien ne distingue ce déjeuner des précédents. Iris et Satoshi se régalent, évoquent l’entraînement de l’après-midi, et se disputent amicalement en riant.
Ils ne réalisent même pas que leurs desserts contiennent des somnifères.
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Étudiant, il se levait, préparait du café et explorait toute la nuit ces mutations génétiques qui définissent sa vie.
Professeur, il hésite à bouger. Il ne veut pas réveiller Erik, étendu contre lui. Il résiste au désir d'accéder à son esprit pour savoir à quoi son ami rêve ou cauchemarde. Malgré ses dons, il ne peut pas toujours être avec lui. Ils ont chacun des démons qu'il leur faut combattre seuls.
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Ils ont chacun des démons qu'il faut combattre seuls. Ceux d’Erik sont tenaces et pernicieux. Ils se glissent dans chaque recoin de son âme. Shaw a fait du bon travail avec lui, l’a bien dressé à se souvenir de sa douleur. Au final, les bons souvenirs, il les a tous oubliés. Jusqu’à ce qu’il rencontre Charles, mais surtout Charles. Un jour, ils sont deux et Xavier utilise son pouvoir. Un souvenir remonte en lui. Avec sa mère, des bougies, des rires.
« Je croyais l’avoir oublié. »
C’est la seule phrase qu’il trouve à dire. Il oublie d’avoir mal. La présence de Charles, le souvenir de sa mère lui font trop de bien pour ça.
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A ses côtés, la fée pose une main sur son bras.
« C’est vrai que vous allez mieux, renchérit-elle. Vous n’éprouvez plus le besoin de compter vos mots. Malgré tout, il vous faut suivre une psychothérapie. Vous ne pouvez pas rester dans cet état. »
Il se tourne vers elle, moqueur.
« En avez-vous fait une, Holly ? demande-t-il. Après que vous ayez contracté… » Son sourire se transforme en rictus. « …Le syndrome de Stockholm. »
Blessée, elle s’écarte.
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Il n'avait suffit qu’une rencontre, qu'une simple rencontre pour ébranler ses croyances, sa foi, son existence.
Elle peut comprendre. Cependant, est-ce une raison pour l'appeler sorcière, pour l'accuser de le manipuler, de presque le trahir ? Est-ce une raison pour l’insulter, pour dire des choses aussi cruelles d’un air presque blasé ?
Alors, sa réaction fut rapide. Elle fit ses valises, partant, oui, partant. Sans revenir, malgré les doutes, malgré le cri.
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Ils n'arrêtent pas de rompre et de se remettre ensemble, ces deux-là, mais c'est vrai que la première séparation est dure !
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