L'ARBRE À DRABBLES EST TERMINÉ !
Ne postez plus de nouveaux drabbles ! (edit 14 juin)
ou l'arbre enfin lancé grâce à
azalee_calypso et
cassidy_b ! :)
...Le dernier datait déjà de janvier !?
Ouf, ça me fait réaliser à quel point le boulot a été impitoyable depuis. ;;^^
N'hésitez pas à faire un peu de publicité si ça vous dit. :)
Qu'est-ce que 'drabble tree' ou un
(
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Elle en est maintenant certaine. Quand Magnéto est avec elle, il a quelqu'un d'autre en tête. Ce soir, elle envahit son lit avec une nouvelle apparence.
« Pou-pou-pidou ? »
Il la regarde à peine.
« Arrête ça.
-Tu es plutôt Jackie Kennedy ? »
Elle se change tandis qu'elle parle.
«Je préfère quand tu es toi-même, tu le sais.
-Tu es sûr que tu ne veux pas autre chose ? »
Cette fois, c'est la forme de Charles qu'elle appelle. Il se fige, puis l'attrape et l'embrasse jusqu'à lui arracher un cri.
« Sors de ce lit ! »
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Ce lit, c’est Ulysse qui l’a fait de ses propres mains. Il a tranché l’olivier qui s’élevait dans la cour du palais, puis a construit la chambre nuptiale toute entière autour de la souche. Pierre après pierre, bûche après bûche, il en a été le seul architecte.
Alors, quel désespoir, lorsque Pénélope lui demande d’apporter le meuble dans la grande-salle ! Il faudrait trancher l’arbre au dessus des racines. Quel gâchis…
Rapidement, son épouse le rassure : ce n’était qu’un test, pour s’assurer qu’il était bien lui-même, et pas un vil imposteur.
Elle a tant souffert, en son absence...
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les derniers événements.
"Et la Sorcière Rouge a maudit les mutants ; on n'est plus que deux cents mutants, environ..."
Ils n'étaient pas beaucoup plus nombreux quand Doug est mort.
"Et Magneto est dans notre camp et Jean Grey est morte et... je veux dire, à nouveau."
"Et je suis revenu. Rien ne change jamais vraiment, alors ?" suggère Doug, plaisantant à moitié.
Sam sourit nerveusement. "Kitty serait mieux placée que moi, mais il faudra vraiment que quelqu'un te raconte pour Internet, et pour Windows, aussi."
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Kurogane attrape ses poignets avant que les griffes ne lui lacèrent le visage, l'empêche de fuir encore, gronde directement à son oreille pour que l'idiot soit obligé de l'écouter :
- On est des adultes, oui ou merde ? On peut régler ça comme des grands si t'arrêtes seulement de -
L'instant d'après, c'est lui qui est en position d'infériorité, pressé contre le matelas, avec autour du cou les doigts du vampire qui feule :
- Je vais devoir t'apprendre à faire ce que je te demande, on dirait.
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