Arbre à drabbles surprise~ (1er au 13 juin)
L'ARBRE À DRABBLES EST TERMINÉ !
Ne postez plus de nouveaux drabbles ! (edit 14 juin)
ou l'arbre enfin lancé grâce à azalee_calypso et cassidy_b ! :)
...Le dernier datait déjà de janvier !?
Ouf, ça me fait réaliser à quel point le boulot a été impitoyable depuis. ;;^^
N'hésitez pas à faire un peu de publicité si ça vous dit. :)
Qu'est-ce que 'drabble tree' ou un ( Read more... )
Ne postez plus de nouveaux drabbles ! (edit 14 juin)
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Il le laisse se battre seul parce qu'il aime contempler le spectacle de l'éclat argenté des lames qui volent. Il aime le voir, son petit assassin, son acrobate, le voir esquiver, sauter, frapper. Il aime voir bouger ce minuscule corps de fauve, rapide, souple, précis. Il aime sa danse mortelle. Singulièrement belle.
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Elle le regarde comme si elle n'arrivait pas à croire qu'il lui demande une chose pareille.
« Vous n'avez qu'à essayer avec votre ami qui prend son pied en attachant les gens. Il doit aimer les nouvelles expériences. »
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Les nouvelles expériences, la recherche de la transgression, c’est exactement ce qu’ils veulent. Melkor a totalement séduit son serviteur, qui est désormais à sa merci.
Ils s’aventurent de plus en plus loin dans leurs jeux pervers. La noirceur est désormais leur domaine. Le Maiar déchu, sombre ennemi du monde, commence sa conquête de tous en mettant son vassal à genoux. Pas qu’il s’en plaigne.
Sauron au beau visage ne manque pas de créativité. Entre deux ébats, ils discutent de la gestion de leurs terres, immenses. C’est à la fois son amant et son conseiller, son favori et son bras droit.
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« Bien sûr que oui, mais le diable n’y est pour rien, lui réplique l’ingénieur. D’ailleurs, votre poêle aussi fonctionne grâce au charbon. »
Ce n’est pas pareil, s’insurge le prêtre.
« Si vous le dites… », affirme-t-il en haussant les épaules.
Plus le temps passe, et plus les débats philosophiques s’éloignent du seul thème de la technologie. Ce qui intéresse le plus David, c’est l’évocation du célibat des prêtres.
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L'évocation du célibat des prêtres (ou plutôt est-ce que le serment tient toujours après l’abandon de la prêtrise) rend Kurt perplexe. En général, leurs débats plus intéressants. Surtout qu'évoquer sa période prêtre le refroidit toujours. Sauf avec de rares personnes. Logan en fait partie.
« Pourquoi me parler de ça ? »
Je fais référence à toutes les fois où tu as été manipulé moi ?
Est trop violent. Du reste, pour parler de ce sujet-là, il faut plus de quatre heures. Sans pause.
« Du calme Elf, je disais juste que heureusement tu n’as jamais été un vrai prêtre. »
« … Pourquoi ? »
« Devine, et je paye les bières. »
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Martin l'amenait subtilement, en homme habitué à guider une conversation à sa guise. Si subtilement que d'abord Emile ne le remarqua pas.
Puis il le remarqua, et se demanda où son ami voulait en venir. Cherchait-il à lui faire avouer qu'il avait des regrets ? Qu'il rêvait encore, parfois, aux cheveux d'or d'Eugénie, à ce bonheur qu'il avait abandonné pour suivre sa vocation ?
Quel intérêt pouvait-il y trouver ?
Il lui semblait (mais pourquoi ?) qu'il voulait juste l'entendre avouer, à demi-mot, qu'au fond il se sentait seul...
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Lui, il n’est qu’un joueur de luth, un dieu efféminé qui rêve désespérément d’elle, sans penser que sa flamme pourrait être payée de retour.
Et pourtant, contre toute attente, Kâli l’a choisi.
Depuis ce jour merveilleux, il redouble d’efforts pour lui plaire. Le luth, dont elle aime tant le son, il en joue sans cesse.
Elle l’envoûte de ses quatre mains ornées de bagues, de ses sombres lèvres satinées. Il est prêt à tout pour maintenir leur passion intacte.
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Il est prêt à tout pour maintenir leur passion intacte. Elle l’envoûte de ses sombres lèvres satinées, de son cou blanc, de ses paroles, de ses mains, de son parfum. Il y a une alchimie qui s’opère entre eux, scellant quelque chose que nul ne pourrait comprendre. Ses mains à lui touchent son corps à elle, redessinant les courbes du corps dans la lumière tamisée de la chambre. Pas de bruits inutiles, pas de déclarations futiles et mielleuses. Juste elle et lui. Finalement, il approche sa bouche et lentement, mors le cou. Jamais aucune chair lui a paru aussi délicieuse.
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- N’est-ce pas ? Il est produit par une amie à moi, qui vit à Johto. Les conditions climatiques là-bas sont excellentes.
Cynthia prend une deuxième cuiller et la place devant les lèvres d’Aurore, un sourire peint sur son visage. Aurore soupire. Elle contracte brusquement ses abdominaux pour se projeter en avant, essayer d’attraper la bouchée qui lui est offerte - et constater que Cynthia-en-maillot-de-bain possède une vitesse de base bien plus élevée qu’Aurore-attachée-au-lit.
La femme se lèche les babines, et plonge sur elle pour lui voler un baiser sucré.
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Atteindre son ami qui s’est caché sous le lit est extrêmement facile. De toute manière, après avoir cherché du côté des fondations de la maison, puis du sofa dans le salon, c’est le seul endroit qui reste. En fouillant sous les draps, il le trouve rapidement.
En fait, ils n’ont jamais eu beaucoup d’imagination pour les cachettes possibles. C’est surtout l’excitation du moment de la découverte elle-même qui prime sur tout le reste.
Si le jeu de cache-cache devient palpitant lorsqu’ils y jouent, seuls dans cette grande demeure, c’est en raison de ses implications sexuelles.
« Je t’ai trouvé… »
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