L'ARBRE À DRABBLES EST TERMINÉ !
Ne postez plus de nouveaux drabbles ! (edit 14 juin)
ou l'arbre enfin lancé grâce à
azalee_calypso et
cassidy_b ! :)
...Le dernier datait déjà de janvier !?
Ouf, ça me fait réaliser à quel point le boulot a été impitoyable depuis. ;;^^
N'hésitez pas à faire un peu de publicité si ça vous dit. :)
Qu'est-ce que 'drabble tree' ou un
(
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raehujhsqmljklmqnlmanzjdnmqk mais pourquoi moe!satoshi fait tellement mal T0T pourquoi j'aime tant ça ??!
... have some faking!Dent.
Modifier quoi que ce soit doit se faire très tôt, dès les premiers jours, tant qu'ils apprennent encore à le "connaître" et emmagasinent toute information nouvelle comme faisant partie de "lui". La façade doit être cohérente dès le début, tout détail ajouté plus tard sera analysé par rapport à cette première image qu'il leur a construite de "lui".
Il calcule.
Une personnalité exubérante sera la plus simple à présenter ; il n'aura pas à s'inquiéter de surjouer s'il les habitue dès le début à l'exagération. Des idiosyncrasies étranges étofferont son personnage sans effort, dissimuleront le fait qu'il n'est qu'une coquille vide.
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Une poupée, une marionnette. Un golem.
Son créateur peut faire ce qu’il veut de lui, il n’est là que pour lui obéir. Il peut adopter n’importe quelle personnalité, pour peu que Joachim l’insuffle en lui. Il n’est là que pour ça. Jouer la comédie. Être quelqu’un d’autre.
Quelqu’un d’autre…
Encore faudrait-il qu’il soit déjà quelqu’un.
Quelques sursauts de « conscience » le prennent parfois. Il se questionne. Qui est-il ? A-t-il une personnalité propre cachée derrière celle qu’on lui invente ? Anthony ne sait pas.
Même son nom est fictif.
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Le corps d’Asenath lui est étranger. Tout a complètement changé. Ephraïm s’étonne surtout de ses nouvelles courbes, qu’il aimait regarder auparavant et qui constituent désormais une véritable partie de lui.
La nuit de noces, il découvre un nouvel avantage à cette enveloppe corporelle - à part la jeunesse. Le plaisir qu’une femme ressent est bien plus puissant que celui d’un homme.
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-Ah, tu vois? affirme ce dernier en se tournant vers son épouse qui est, quant à elle, totalement furieuse.
-Et comment il le sait? réplique la déesse, sans même daigner lui adresser la parole en face.
-J’ai été tour à tour un homme, puis une femme, avant de me retransformer. »
Non, Héra n’est vraiment pas contente, d’autant plus qu’elle vient de perdre ce stupide pari contre son mari.
En punition, il deviendra aveugle, tiens. Ça lui apprendra, voilà !
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D'ailleurs je me demande si c'est bien vrai... Bon le problème c'est que je le saurai jamais.
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Ce visage d'aristocrate, ce regard arrogant, ces mains qui n'ont jamais travaillé...
Ca n'est pas moi.
Peu importe la rééducation, peu importe le temps, peu importe la reconnaissance que je te dois, peu importe tes « il n'y avait pas d'autres moyens ! », tes « n'est-ce pas ce que tu voulais ? », peu importe sa beauté, peu importe tes gémissements de plaisir quand je glisse ses mains sur toi.
Ca n'est pas moi.
Ce corps ne sera jamais moi.
Je suis vraiment mort ce soir là. Tué par lui, contre toi.
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Son nom est fictif. Il ressemble à un diminutif. "Seb". Mais son vrai prénom n'est pas "Sébastien". Il n'a pas de vrai prénom. SeB est un acronyme pour Second Brain. Un acronyme peut-il être un nom ? Qu'est-ce qu'un nom ? Une recherche internet lui apprend que "Ce que nous nommons rose, sous un autre nom, sentirait aussi bon." Il médite cette phrase.
Depuis des jours Bêta cherchait pourquoi SeB fonctionnait en dessous de ses capacités. Il fut partagé entre inquiétude et fierté quand il réalisa que son programme utilisait de façon autonome une partie de sa puissance de calcul pour s'interroger sur son identité.
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Vide, la nacelle paraissait plus spacieuse, certes.
Cependant, ils pourraient tout de même regarder à l’extérieur simultanément. Iris perd partiellement son enthousiasme en constatant qu’elle est la seule à s’émerveiller du paysage qu’ils surplombent du haut de la grande roue.
Dent reste assis, silencieux, le regard bas, fuyant. Il est si calme, depuis que le nouvel ami de Satoshi a proposé qu’il fasse l’attraction seul avec lui…
C’est étrange, elle pensait que Dent se montrerait rationnel et tiendrait tête à l’inquiétude inexplicable qu’elle comptait exprimer - son intuition la pousse à se méfier de ce N.
Mais lui aussi semble préoccupé.
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Le Prince Ali n’existe pas, n’a jamais existé. Pour l’ancien voleur, ce n’est pas évident de se mettre dans la peau d’un puissant, même si c’est assez amusant. Malgré tout, il lui faut rester sur ses gardes. Une gaffe est vite arrivée…
A chaque instant, il craint de trahir sa véritable identité. Un geste caractéristique, quelques mots pourraient suffire à griller sa couverture.
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Ce n'est pas son ancien ami qui hurle cette fois.
C'est lui.
Sa main touche sa cuisse insensible.
Ses lèvres restent closes et le resteront. Pierre après pierre, il construit autour de cette blessure une barrière que le son ne devra plus jamais franchir.
Pour continuer à avancer.
Pour survivre.
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Survivre dans cet enfer a été difficile, douloureux. Charles le lit dans sa tête, un soir, après une discussion, après que son ami soit devenu sombre. Les siens lui manquent. Des gens lui ont tout volé jusqu'à son enfance.
Tendre la main, voilà son envie, tendre la main et proposer encore une fois de jouer aux échecs. Rien ne sera résolu après cela, Xavier veut faire comprendre quelque chose à Erik, quelque chose que les mots peuvent décrire mais mal parfois. Au diable les mots, vive les actes, l’amitié dans le regard qui vaut mieux qu’un banal « je suis ton ami » pour « tu n’es plus seul, c’est fini… »
Je t’aime, Xavier osera encore moins le dire…
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Dire quelque chose est difficile, la douleur est encore là. Pas aussi forte, mais persistante. Devant lui, Nightcrawler fait ce qu'il peut, panse ce qui n'a pas encore fini de guérir, le force à prendre des antidouleurs (cela ne sers à rien, il n'arrive même pas à le murmurer. Les yeux penchés sur lui, le corps près de lui et les mains qui le touchent le lui interdissent). Concentré, son ami n'est que silence, jusqu'à ce que celui-ci se brise.
« Parfois, j’aimerais que toi aussi, tu aies le pouvoir de te téléporter... »
Tristesse dans la voix. Comme le « tu es donc si seul ?», d’autrefois.
« Je t’aie toi… »
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A chaque instant, il craint de trahir sa véritable identité. Un geste caractéristique, quelques mots pourraient suffire à griller sa couverture.
Iris le soupçonne, il en est certain. Lorsqu'il esquive d'une manière trop agile, qu'il les perd trop souvent, qu'il oublie de se montrer faible, il sent son regard se poser sur lui.
Quant à Satoshi, il s'avère plus facile à berner. Cela ne veut pas dire que c'en est plus facile, car parfois, le remord l'assaille, en puissantes vagues.
Il ne peut pourtant pas faire autrement. Il n'a pas le choix.
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