Serre-moi fort, Marcus

Aug 31, 2007 21:48

Titre : Serre-moi fort, Marcus
Entraîneur :
enoa2.
Joueurs : Olivier Dubois/Marcus Flint
Catégorie : Exhibition, défi Mai : Le joueur de la Française des Jeux
Rating : PG-13, pour le manque de vocabulaire de Flint
Note de l'entraîneur : YATTA! J'y suis arrivée! 2 heures avant la dead line, yek yek... Le titre est à prendre au second degré, je n'avais pas de meilleure idée. J'avoue aussi avoir détourné allègrement les conditions météo et les évènements arrivés pendant la finale de la coupe de Quidditch dans le troisième tome, mais on dira que c'est pour la bonne cause!

Serre-moi fort,  Marcus

Tous les élèves de Poudlard s’accordaient à dire que la septième année était incontestablement capitale pour leur avenir. Bien sûr, la plupart ne faisaient que répéter les sermons incessants de leurs professeurs, rares étaient les étudiants qui se souciaient réellement de considérations si tragiquement terre-à-terre. Néanmoins, malgré les multiples distractions qui régnaient au sein du château, un mot demeurait invariablement présent dans tous les esprits : ASPICS.

Seule une espèce particulière faisait exception à la règle, une espèce qui connaissait à peine la signification exacte de l’acronyme barbare : ces quelques illuminés qui subsistaient, ces naïfs qui aspiraient à la gloire, cette poignée de passionnés qui s’entraînerait jusqu’à la mort si cette méthode était garante de victoire et d’accomplissement des rêves.

Cette espèce était communément appelée « capitaine ».

Ils étaient au nombre de quatre au sein de l’école, mais deux d’entre eux étaient étonnamment acharnés, au point même d’en effrayer parfois leurs congénères (pourtant accoutumés à ce tempérament excessif propre à leur condition), et immanquablement l’intégralité de leurs condisciples. Ces deux là s’étaient même forgés une réputation assez mitigée, à force d’affrontements incessants. Certains les admiraient pour leur persévérance et leur loyauté envers leur maison, les autres observaient d’un œil profondément critique ces deux grands enfants se chamailler jusqu’à en tomber de fatigue - ce qui, avec l’expérience, constituait des périodes de plus en plus longues et éprouvantes.

Car oui, dans le monde du Quidditch comme ailleurs, la victoire impliquait au préalable une compétition des plus rudes. « A vaincre sans péril, on triomphe sans gloire ». Cela, les capitaines l’avaient saisi dès les premiers instants, dès le premier match. Et mieux que quiconque, Olivier Dubois et Marcus Flint en comprenaient tous les tenants et les aboutissants.

Ils étaient ennemis, profondément. Bien au-delà du jeu, cette notion était présente au sein même de leurs entrailles, ancrée dans leurs esprits dans sa manière la plus absolue, gravée au burin dans chaque fibre de leur corps. A l’origine, c’était une question d’honneur. A présent, leur haine réciproque avait de loin dépassé le concept d’orgueil. L’éternelle rivalité Gryffondor/Serpentard… une lutte perpétuelle, qui semblait destinée à ne jamais connaître de trêve.

Jamais, ô grand jamais, et encore moins en ce jour de match, les deux capitaines se seraient doutés que le sport qu’ils idolâtraient tous les deux, et qui fut tant de fois le théâtre de leurs querelles enflammées, mettrait à mal leurs convictions les plus profondes…

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Tout autour de lui, les joueurs virevoltaient dans des tourbillons rouges ou verts, tâches de couleurs floues sous la pluie battante qui lui obscurcissait la vue. Le vent l’assaillait sans répit, et conserver sa position lui coûtait beaucoup d’efforts. Il n’avait pas la moindre idée de ce qui se passait sur le terrain, et cette constatation mettait sa fierté de capitaine sérieusement à mal. Tout ce qu’il savait de par son poste de gardien, c’était que pas le moindre souaffle n’avait percé les défenses de ses coéquipiers, et il s’enorgueillissait particulièrement de leurs progrès. Flint ne leur volerait pas la victoire, pas cette fois !

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Marcus était nerveux. Il était bon sur un balai, voire même très bon, il le savait. Mais ces conditions de vol abominables ébranlaient quelque peu sa confiance en lui-même. Gryffondor menait, il ne pouvait laisser cette situation s’éterniser. Un sifflement plus strident que les autres l’avertit qu’un cognard arrivait droit sur lui, et il l’esquiva à la toute dernière seconde. Les obstacles étaient décidément très difficiles à localiser, dans cette atmosphère de fin du monde. Il lui venait même à l’esprit d’espérer que ce jour ne marquerait pas la sienne…

oOoOoOo

Aujourd’hui, des gens étaient venus le voir jouer. Des recruteurs. Pour le tout dernier match. Bien sûr, ils ne venaient pas expressément pour lui. C’était une sorte de coutume, pour les clubs, de venir observer la promotion sortante chaque année, et tenter de repérer des graines de champion. Il avait toutes ses chances, c’était clair et limpide, pour lui. La pluie était aujourd’hui à la fois une malédiction et une opportunité à saisir : s’il parvenait à être brillant dans ces conditions, son avenir était tout tracé. Encore fallait-il qu’il puisse voir les balles arriver vers ses anneaux…

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Foutus Gryffons. S’ils l’emportaient, il pouvait dire adieu à toute crédibilité, et Rogue en ferait une crise cardiaque… Quoique, plus sûrement un meurtre, en fait. Et Marcus tenait beaucoup à rester en vie, au moins le temps de détruire définitivement tout éventuel avenir glorieux au Grand Débile. Seulement après, il pourrait mourir en paix.

« Hé merde !, jura-t-il soudain. »

L’univers gris et flou dans lequel les joueurs évoluaient était propice aux songes, et tout à ses ruminations intérieures, il réagit un quart de seconde trop tard quand le souaffle s’aventura de son côté, souaffle récupéré alors par l’équipe adverse. Se flagellant mentalement pour son manque d’assiduité, vraiment peu bienvenu en un moment aussi crucial, il s’empressa de poursuivre le joueur en possession de la balle, et d’un coup d’épaule aussi bien placé qu’interdit, récupéra l’objet. D’un bref regard, il mesura la situation. Il était près des buts, si près… Un sourire carnassier plaqué sur les lèvres, il propulsa son balai en direction des trois anneaux qui se profilaient quelques mètres à peine face à lui.

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« Oh, non. Pas lui. » fut la seule pensée cohérente qu’Olivier eut le temps de formuler, avant de voir la grosse balle ronde se rapprocher aussi rapidement qu’inexorablement de lui. Les tirs de Flint avaient la réputation d’être dévastateurs, et à juste titre. Il en gardait d’ailleurs un souvenir particulièrement cuisant, de ses jeunes années au sein de l’équipe. Et en l’occurrence, celui-ci n’avait rien à envier à ses prédécesseurs… Sans plus attendre, il agit.

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« Quel… J’y crois pas. Quel con ! »

Dubois avait contré. Lui, Grand Débile, l’idiot décérébré qui passait la moitié de son temps à angoisser pour les matchs et l’autre, à se pâmer auprès de ces dames, avait contré. Il ne restait plus qu’à prier que depuis les tribunes et à travers les flots, personne n’aie vu cette tentative avortée. Ou sa réputation ne s’en remettrait pas. Ne pas parvenir à marquer contre Dubois et par ce temps, c’était de loin son plus grand échec à ses yeux. Bon d’accord, l’un de ses plus grands échecs. Il ne pousserait pas la mauvaise foi jusqu’à prétendre que ça n’était jamais arrivé par le passé, néanmoins, cela restait rarissime. Mais cet instant de faiblesse ne devait pas miner le reste de son jeu… il l’aurait, ce n’était qu’une question de temps.

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Olivier était profondément satisfait de lui-même. Comme à chaque fois qu’il parvenait à rattraper le souaffle avant qu’il ne franchisse ses précieux anneaux, en fait. Mais en un tout petit peu mieux quand même. C’était un tir de Flint, donc par principe, une mini victoire sur lui. Un rien fallait pour remotiver certaines personnes… Absolument ravi, il se redressa légèrement, et s’agrippa plus fermement encore à son balai, avec une nouvelle détermination à toute épreuve.

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Le déluge s’était intensifié. A ce stade, Marcus devait avouer qu’il n’y voyait strictement rien, hormis peut-être, quelques éclairs rouges ou verts, lorsqu’un joueur passait à proximité de lui. Frustré, il s’en remit totalement à son ouïe, faute de mieux. Hélas, le résultat n’était pas bien plus concluant, le bruit de la pluie couvrant absolument tout le reste. Ce temps d’apocalypse nécessitait un jeu court pour ne pas perdre la balle, aussi il entreprit de se rapprocher du nœud de l’action, prêt à toute éventualité.

Sur la droite, il entraperçut un coéquipier fuser, balle en main. Il se prit à espérer et lança son balai sur ses traces, préparé à prendre la relève en cas de maladresse. S’il ne le distinguait déjà plus, il pouvait deviner que Pucey s’était dirigé en toute logique vers les buts, et se fia à sa mémoire pour s’orienter vers les anneaux invisibles. Il s’approchait de son objectif, quand soudain…

Un choc sourd, une plainte. Une forme indistincte qui chute dans le vide. Une étrange oppression sur l’estomac, alors qu’il reste immobile, pétrifié.

Les brindilles d’un balai dorénavant dépourvu de maître vinrent lui fouetter le visage, le griffant profondément dans sa chair.

Et subitement, il réalisa.

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En d’autres circonstances, sa tête l’aurait fait atrocement souffrir. Après tout, il avait été percuté de plein fouet, c’était même une chance qu’il ne se soit pas évanoui. Ou pas, finalement. Cela lui aurait au moins épargné l’effrayante vision du sol se rapprochant à une vitesse folle. Tout entier concentré sur l’abominable perspective de son imminente désintégration cérébrale, plus aucun neurone de son esprit n’était disponible pour la douleur.

Dans ces moments-là, on aimerait penser à autre chose. N’importe quoi, pourvu que nos derniers instants ne soient pas constitués d’une terreur absolue. Sauf qu’Olivier ne parvenait pas à fixer son attention sur quoi que ce soit d’autre. Et la terreur était là, omniprésente.

oOoOoOo

Marcus avait bandé ses muscles en un instant. Son cerveau avait déjà occulté la couleur de la forme qui avait été précipitée dans le vide, et d’ailleurs, le jeune homme n’avait pas un instant songé à s’en soucier. Il inclina vivement le manche de son Nimbus à la verticale, et entama une périlleuse descente en piqué. La vitesse de son balai couplée à sa position parfaitement rectiligne lui conférait une excellente pénétration dans l’air, mais c’était sans compter sur son temps de réaction, qui lui avait fait prendre un retard considérable au vu de la situation présente, ainsi que sur les remous causés par le vent qui le faisaient sans cesse dévier de sa trajectoire. Le Nimbus accélérait de plus en plus, sans qu’aucune silhouette humaine ne se distingue dans le champ de vision du Serpentard…

oOoOoOo

Son corps était balloté en tout sens. Tantôt sur le dos, tantôt sur le ventre, les courants d’air ne cessaient d’agiter ses membres tels les organes flasques d’un pantin désarticulé, effrayante prise de conscience d’une absence totale de contrôle. Tant bien que mal, il essayait de stabiliser sa position, comme si cela empêcherait l’irrémédiable, comme si freiner sa chute en annulerait les inéluctables effets. Incroyable la pression que pouvait exercer le gaz qui nous permet de vivre sur une cage thoracique, au point d’en couper le souffle. Alors, imperceptiblement, sans même s’en rendre vraiment compte… il cessa de lutter.

Il ne fit pas de prière mentale. Encore moins de vains adieux à sa mère et ses amis. Après tout, il n’était pas du genre sentimental. Il savoura simplement l’idée qu’il passait ses dernières secondes de vie dans un stade, dans les airs.

Il ferma simplement les yeux, et se prépara au choc.

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Là, quelques mètres plus bas, une vague tâche rouge. Rouge. Le cerveau de Marcus refusa encore de faire les connexions. Tout ce qu’il savait, c’était qu’il approchait de son but. La tâche s’élargissait de plus en plus, pour révéler une large cape virevoltant au gré du vent. Avec effroi, le jeune homme constata soudain que, s’il était effectivement à portée de main du Gryffondor, il ne se trouvait également qu’à quelques poignées de centimètres à peine de la pelouse du terrain. Il lui fallait faire un choix, et vite. Redresser immédiatement le manche de son balai et s’en sortir indemne, ou prendre le risque de rattraper l’autre garçon, avec tous les dangers que cela comportait.

Alors, il décida de tenter le tout pour le tout. Lancé de toute la puissance de sa monture, l’une de ses mains lâcha prise, et vint se tendre devant lui, prête à saisir le corps qui s’apprêtait à s’écraser au sol.

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Une barre de fer sembla subitement lui comprimer le ventre. Surpris, il lui fallut un instant avant de réaliser qu’il n’était plus soumis aux caprices de l’air. Certes, il persistait à chuter, mais moins brusquement, lui semblait-il. Il n’eut pas le temps de poursuivre son questionnement, qu’une brusque embardée vint couper court à tout raisonnement mental, freinant promptement son infernale descente, suivie de peu par la désagréable sensation d’avoir percuté indirectement quelque chose. La barre de fer se relâcha instantanément, et il s’écrasa lourdement contre la terre détrempée.

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Il l’avait eu. À la toute dernière seconde. Il avait saisi fermement le joueur par la taille, et sans même prendre le temps d’assurer sa prise, il avait tiré de sa main libre sur le manche de frêne de toutes ses forces. Le drame avait été évité.

Jusqu’à ce qu’il sente l’arrière du balai percuter violemment le sol. C’était là le second risque des freinages d’urgence : s’il étaient effectués trop tard, gare au retour de manivelle.

L’intensité du choc le catapulta littéralement à bas du Nimbus, et l’envoya dans un long vol plané s’écraser quelques mètres plus loin. Il rebondit une ou deux fois avant de s’immobiliser, étendu sur le dos.

La douleur le lancinait. Il avait l’impression qu’on lui avait arraché l’épaule, et que la souffrance prenait peu à peu possession de tout son corps. Il paniqua, et tenta de se relever pour mesurer l’étendue des dégâts. Ses yeux se voilèrent, tandis qu’il s’effondrait à genoux dans la boue.

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Olivier inspirait de longues bouffées d’air frais. Peu lui importait la pluie qui continuait de ruisseler sur son visage, ni le sifflement de l’arbitre qui venait d’interrompre le match, ni la clameur qui s’élevait des tribunes. Trempé, allongé de tout son long, le visage vers le ciel, il profitait simplement du bonheur de respirer. Il ne savait pas qui, il ne savait pas comment. Il avait juste été sauvé, in extremis.

Il se tourna sur le côté, pour s’enquérir de l’état de son mystérieux héros. A quelques mètres de lui, une silhouette verte à l’épaule visiblement déboîtée semblait peiner à se redresser. Puis, elle tourna la tête dans sa direction.

A cet instant, Olivier saisit pleinement l’ampleur de la chance qu’il avait eue.

oOoOoOo

« Hé meeerde. »

Ce ne fut que quand Marcus Flint vit le visage de son compagnon d’infortune qu’il réalisa l’étendue de sa bêtise. Rouge. Gryffondor. Buts… Olivier Dubois, bien évidemment.

« Hé merde, répéta-t-il d’un ton abattu. »

Une heure plus tard...

Marcus se tenait droit comme un piquet, attendant la sentence. Le visage fermé et les yeux baissés, il percevait par intermittence une sensation mouillée se répandre sur son front, sans qu’il n’ose lever la main pour s’essuyer.

Le professeur Rogue s’époumonait sur lui depuis vingt bonnes minutes, courbé en avant et postillonnant copieusement sur son malheureux élève.

« C’est intolérable ! Non mais, à quoi pensiez-vous, par Salazar ? Aider un Gryffondor ! Aider l’un de ces demeurés téméraires en pleine finale, au risque de vous blesser et d’amputer notre équipe de l’un de ses membres ! De quoi ai-je l’air, si l’un de mes étudiants se met à agir aussi bêtement, en une parfaite petite copie de ces arriérés ?

Que diable, votre attitude nous a coûté ce match, et les Gryffondor nous ont volé la coupe, par VOTRE FAUTE ! Où est donc passé votre caractère et votre fierté de Serpentard, pouvez-vous me le dire ? Qu’avez-vous fait de votre orgueil ?

Vous le paierez cher, Flint, soyez-en certain. Je vous le ferai payer très cher… »

Et cela continuait, encore et encore. Peu importait au directeur de maison l’état de son poursuiveur, et peu lui importait Dumbledore qui souriait paisiblement (niaisement, selon lui) à côté de l’entrée, en attendant qu’il en finisse.

Rogue allait embrayer sur une énième menace quand un discret toussotement l’interrompit dans son élan.

« Oui ?, fit-il, soupçonneux.

-         Je crois que monsieur Flint est attendu, Severus. Je suggère que nous ne le retenions pas plus longtemps.

-         Mais… que… Je ne crois pas que…

-         Allez-y, mon cher Marcus. Vous avez de la visite. »

Dumbledore agita la main pour le pousser vers la sortie, paré de son visage le plus bienveillant.

Deux personnes l’attendaient effectivement devant la salle de potions. Un homme et une femme, à l’allure officielle.

L’homme lui tendit une main franche, et après avoir esquissé un sourire enjôleur, il attaqua : « Impressionnant, vraiment très impressionnant, cette descente en piqué. Remarquable esprit du sport, également. Permettez-moi de me présenter, Caïus O’Maley, je représente le club des Montrose Magpies. Dites-moi, auriez-vous quelque chose de prévu, pour l’année à venir ? »

Finalement, l’un dans l’autre, aider un Gryffondor n’était peut-être pas une si mauvaise idée que ça…

oOoOoOo

Pfiou... bon, la mise en page n'est pas terrible, mais sincèrement, je suis trop fatiguée pour me battre avec LJ ce soir. Un jour, il faudra que j'apprenne comment on fait pour conserver la mise en page Word et ne pas devoir systématiquement repasser derrière, si toutefois c'est possible.

J'espère que cette petite chose vous a plu, et surtout, que Marcus ne vous a pas semblé trop OOC. Je me suis auto-rassurée en me répétant qu'il avait agit par impulsion, sans réfléchir vraiment à ses convictions anti-Gryffondor, j'espère que c'est bien passé dans le texte!

Et puis... z'avez vu, z'avez vu? *toute fière* J'ai écrit plus du point de vue de Flint que de celui de Dubois. ça veut dire que je me soigne, non?

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