Je sais, je sais!! Ça été long ! Mais vous n'avez qu'à vous blâmer! C'est vous qui m'avez invité partout à faire plein de trucs. Pendant ce temps là j'écris pas !! lol J'espère que vous aimerez. Et soyez indulgentes! Je rush, trop de monde ! Mais la je pense que je viens de me débarasser d'au moins deux personnes ! lollll nenon, y'a pas de bombe qui a tombé, ni d'accident d'avion..loll
Bonne Lecture ! et merci d'être aussi patientes avec moi :) Suki !!!
Chapitre 15
Après que Cath eu terminée son récit, que toutes les filles qui n’étaient pas déjà au courant aient criées au scandale et qu’encore une fois la rousse se soit fait bombardée par de nombreuses questions, les filles commencèrent tant bien que mal à se préparer. En fait, elles furent surtout coupées dans leur délire par la styliste qui venait les aider à s’habiller, se coiffer et se maquiller. Oui parce que Johnny-san avait pensé à tout. Même aux stylistes pour aider les invités à se préparer pour la soirée. Les filles avaient donc hérité d’une jeune styliste très gentille. Elle s’était donc mises à regarder chacune des filles et avait établie l’ordre dans lequel elle allait s’occuper de chacune. Bien sûr, Vicky passait en premier. La jeune fille s’attela donc au travail et entreprit de la coiffer. Elle avait prit la décision de remonter les cheveux de la mariée en un chignon complexe avec une panoplie de boucles qui descendaient de part et d’autre de sa tête. Alors que Vicky se faisait bichonner, les filles discutaient entre elles.
- C’est plate pareil que Chibi ne puisse pas être avec nous. Elle aurait trippée! Dit alors Cath qui était entrain de tenter d’arranger ses cheveux.
- C’est clair qu’elle aurait aimé ça être avec nous, mais c’est un malheureux hasard toute cette histoire, renchérit Clo.
- Ouais vraiment. J’aurais aimé qu’elle soit à mon mariage, mais bon, on ne pouvait pas prévoir quelque chose dans le genre!
- Pourquoi? Qu’est-ce qu’il s’est passé ? C’est qui Chibi? Demanda alors Uchi qui se sentait un peu exclu de la conversation puisqu’il n’y comprenait rien.
- Tu sais c’est qui Chibi! Je te l’ai déjà présenté! Dit alors Clo à son ami.
- Hein? Je me souviens pas…je l’ai déjà rencontré ?
- Oui…Elle habite à Tokyo aussi. C’est la copine de Jun. Tu t’en souviens pas?
- Ahhhh….oui! Ça me dit vaguement quelque chose. Si elle habite Tokyo, pourquoi elle n’est pas là?
- Parce qu’elle est au Canada en ce moment, répondit alors Véro.
- Hein? Qu’est-ce qu’elle fait au Canada pendant que vous êtes toutes ici? Demanda alors Uchi, plus qu’embêté par la situation.
- Concours de circonstance très malheureux! Lui répondit Clo.
- Chibi a du choisir entre mon mariage et celui de son père. Malheureusement, on a décidé de faire ça la même fin de semaine. Puisque c’est son père, elle a pas vraiment eu le choix. C’est triste, mais je pense qu’elle a fait le bon choix. Je pense que Jun aussi était content qu’elle fasse ce choix là. Je pense que son père lui en aurait voulu qu’elle décide autrement, expliqua Vicky.
- De toute façon, elle devrait être de retour avant que vous partiez toutes, donc on va sûrement être capable de la voir bientôt, dit Clo pour ne pas que ses amies désespèrent de voir Chibi et enfin le fameux Matsumoto Jun.
- Oui sûrement qu’elle va être de retour rapidement, sachant que vous êtes toutes ici, renchéri Vicky.
Après la coiffure, ce fût au tour du maquillage. Vicky ne voulait pas un trop gros maquillage, puisque c’était rare qu’elle en mettait. La styliste avait donc prit en considération ce qu’elle voulait et lui fit un léger maquillage qui mettait l’accent sur ses yeux. Par la suite, elle fut fin prête à s’habillé. Les filles voulaient qu’elle attende un peu avant d’enfiler sa robe, mais elle était trop stressée et elle voulait être prête tout de suite, même s’il était un peu trop tôt. Les filles ne s’obstinèrent pas avec elle et obtempérèrent. À quoi bon s’obstiner avec une fille qui va se marier dans à peine quelques heures? Mary et Clo allèrent donc l’aider à enfiler sa robe dans sa chambre, pendant que d’autres filles passaient sous les mains expertes de la styliste. Après quelques minutes, Vicky sortit enfin de la pièce, fin prête. Toutes les filles la regardèrent et furent bouche bée devant sa beauté. Elle était magnifique. Sa robe lui allait à merveille. Les cheveux, le maquillage, la robe, les souliers, le tout combiné était parfait. Yamapi en resterait béat de la voir. La plupart des filles voyaient sa robe pour la première fois. Elles trouvaient que celle-ci était simple, mais avec des détails qui la rendait unique. Elle était de couleur blanche moirée. On avait l’impression qu’elle changeait de couleur quand celle-ci bougeait. Le tissu de la robe comportait des motifs floraux d’une teinte plus pâle que la robe, à peine visibles. Le bustier était cintré à la taille avec une bande de tissu qui faisait comme une ceinture et qui se transformait en une courte traîne à l’arrière. Sur le devant, au-dessus de la ceinture, la robe se séparait et s’ouvrait sur la poitrine, laissant apparaître un autre tissu un peu plus foncé qui s’ouvrait en col bateau, pour ensuite se transformer en deux bretelles. La robe descendait en s’évasant un peu, jusqu’au sol et comportait une traîne plus longue vers l’arrière. Toutes les filles étaient en acclamation devant la belle robe de Vicky. Celle-ci se faisait encensé pour son choix de robe et sa beauté. N’étant pas très habituée à être le centre d’attention, elle rougissait à mesure qu’elle entendait ses amies la féliciter. Une fois la surprise passée, toutes les filles continuèrent de se préparer. Par contre, Vicky tournait en rond de façon désespéré. Elle n’osait pas s’asseoir de peur de froisser sa belle robe et elle n’était pas capable de rester en place. Donc elle faisait les cent pas dans la pièce, tournant autour de ses amies qui se préparaient. Nadine n’y tenant plus de la voir tourner autour fini par lui dire de se calmer.
- Vicky, s’il te plait, assis-toi. Tu me donnes le tournis.
- Mais je ne veux pas m’asseoir ! Je ne veux pas froisser ma robe!
- C’est pour ça qu’on t’a dit qu’il était trop tôt pour mettre ta robe, dit alors Clo d’une façon fataliste.
- Je sais, je sais! Mais je suis stressée ! Est-ce que j’ai le droit d’être stressée! Je vais me marier dans à peine quelques heures !!! Oh mon dieu…
- Vicky, s’il te plait, calme toi. Tu vas faire une apoplexie avant d’avoir pu te marier! Lui dit calmement Aline en la prenant par les épaules. Viens, je vais t’aider à t’asseoir.
Elle prit alors une chaise droite et aida Vicky à s’asseoir dessus en dispersant sa robe de part et d’autre de la chaise.
- Je fais quoi maintenant que je suis assise? Demanda alors Vicky, bien droite sur sa chaise, se triturant les doigts, toujours aussi stressée.
- Des exercices de respirations…lui lança alors Cath.
Toutes les amies ainsi que Uchi et la styliste se mirent à rire et l’atmosphère aida Vicky à se calmer un peu. Juste un peu.
……………………………………
Définitivement, marcher dans la poussière avec des souliers propres et brillants n’étaient pas la meilleure idée. Maru regardait ses pieds qui se ternissaient de poussière et pestait contre le sable. Il fit une tentative de marcher sur la pointe des pieds en levant très haut ses jambes afin d’empêcher la poussière de coller à ses chaussures. Il entendit finalement une voix derrière lui.
- Maru ! Veux-tu bien me dire ce que tu essais de faire? S’objecta Ryo.
- J’essaie de pas salir mes souliers…
- Tu les nettoieras rendu à la chapelle. Arrête ça! T’as l’air niaiseux plus que d’autre chose…
- Ok, ok…
Les gars marchaient tous vers la chapelle d’un pas, nerveux pour les uns, insouciant pour les autres. Il était convenu que les gars devaient se rendre à la chapelle un peu après que les filles s’y rendre. De cette façon, Vicky aurait le temps de se cacher dans la pièce près de l’entrée de la chapelle, qui servait justement à accueillir la mariée et ses demoiselles d’honneur. Nos hommes marchaient donc vers la chapelle, à l’heure convenue. C’était une magnifique journée pour se marier. Le soleil brillait de milles feux dans un ciel sans nuage. Une légère brise venait rafraîchir les gens qui étaient habillés chics pour l’occasion ce qui faisait que personne ne suffoquait dans leurs beaux vestons et belles robes.
Rapidement les j-boys arrivèrent enfin à la chapelle où ils étaient patiemment attendus par plusieurs filles qui avaient particulièrement hâtes de les voir. Maru leva les yeux sur le bâtiment religieux et siffla sur un ton admiratif. La chapelle était faite toute de bois, tel que tous les autres bâtiments du domaine. Le toit était fait de tuile d’argile, tel que le bar. Son faîte s’élevait très haut dans le ciel et à son sommet se dressait une arche avec, en son centre, une cloche prête à sonner avec entrain le début d’une nouvelle union. Le bois avait été teint d’une couleur sombre, donnant du prestige au bâtiment. Le perron était fait de béton et pouvait accueillir plusieurs personnes. En ce moment, il était justement particulièrement plein. Tous les invités du mariage y étaient rassemblés, se saluant et se faisant des honneurs, attendant d’entrer dans la chapelle et d’y prendre place pour la cérémonie.
Les gars arrivèrent donc dans la cohue et passèrent presque inaperçus. Si ce n’avait été de Clo qui jetait un œil à toutes les trois secondes en direction des chalets pour enfin apercevoir son copain, les filles les auraient peut-être manqués. D’ailleurs, lorsque les yeux de Clo se posèrent sur son copain qui était en admiration sur la chapelle, elle fut tout autant en admiration que lui. Ses yeux ouverts au maximum, elle déglutie difficilement. Aline, voyant son malaise, risqua un œil dans la direction que celle-ci regardait et vit ce qui la troublait tant. Elle aussi elle fut subjuguée par la beauté du Kanjani. Maru avait vêtu pour l’occasion une veste sans manche ajustée et un pantalon d’un gris très foncé presque noir. En dessous de sa veste, il portait une chemise blanche et une cravate noir. Son habillement était simple, un peu décontract, mais lui donnait une classe incroyable. Clo qui n’avait pas vu encore comment allait être habillé Maru en resta bouche bée. En effet, il était allé acheter lui-même ses vêtements pour le mariage et n’avait pas voulu les montrer à sa copine avant le temps. Maintenant qu’elle le voyait, Clo ne pouvait s’empêcher d’être complètement sous le charme. Ses cheveux étaient magnifiquement coiffés. Ils lui tombaient en belles vagues fines sur les épaules et avaient été ramenés derrière l’oreille du côté droit. Clo reprit finalement contrôle de son corps et avança de quelques pas vers son copain. Celui-ci cessa enfin sa contemplation du bâtiment et baissa finalement les yeux. Ceux-ci croisèrent immédiatement ceux de sa belle et un immense sourire se peignit sur son visage.
- Bonjour ma belle. Tu es magnifique.
Il s’approcha et vint déposer un baiser sur le front de sa copine et la serra doucement contre lui, passant ses mains sur ses épaules dénudées. Il continua sur sa lancée :
- Tu n’es pas avec Vicky?
Clo, toujours le nez dans les cheveux de son homme, secoua la tête.
- Pourquoi t’es pas avec elle? Elle doit sûrement être méga stressée et doit avoir besoin de toi.
Clo hocha la tête, mais passa tout de même une main dans le dos de son homme et le pressa légèrement. En fait, elle ne voulait pas l’avouer, mais elle était restée à l’extérieur parce qu’elle avait voulu voir Maru avant d’entrer à l’intérieur. Elle s’ennuyait de lui et avait voulu se blottir dans ses bras avant d’aller s’acquitter de sa tâche de demoiselle d’honneur qui la stressait particulièrement. Elle resta encore quelques instants de plus blottie dans les bras de l’homme de sa vie et finalement s’éloigna à contrecoeur. Elle fit un magnifique sourire à Maru et dit :
- On se voit plus tard alors.
Maru ne put qu’hocher la tête que sa belle s’était déjà retournée et accourait à l’intérieur de la chapelle pour retrouver Vicky qui devait être sur le bord de la crise de nerf. Maru resta sur place, ne comprenant pas ce qui venait de se passer et regarda Clo s’éloigner. Il la trouvait définitivement belle. Elle portait une jolie robe noire qui s’attachait dans le cou et qui était cintrée à la taille. Elle partait ensuite en s’évasant et arrêtait un peu en bas des genoux. Elle portait de jolies petites sandales à talon qui, il le savait, devait la faire sacrer à chaque pas qu’elle faisait. Ses cheveux avaient été coiffés par la styliste en de grosses boucles qui cascadait sur ses épaules. Jamais il n’avait vu une telle coiffure sur Clo et il se disait qu’elle devrait le faire plus souvent parce que ça lui allait bien. Rapidement, il ne l’eut plus devant les yeux, celle-ci ayant disparu par la porte de la chapelle. Il retourna alors son attention sur l’assistance qui attendait d’entrer dans le lieu de culte et repéra rapidement Ohkura qui se trouvait un peu plus loin dans son complet noir cintré. Son veston était attaché par ses trois boutons à l’avant, sur une chemise blanche qui elle était légèrement ouverte sur son torse, laissant paraître sa peau basanée qui contrastait avec le blanc de la chemise. Maru s’approcha de son ami et lui mit une main sur l’épaule. Ohkura se retourna vers Maru et lui fit un grand sourire.
- Qu’est-ce qu’on fait maintenant ? demanda alors Ohkura à son ami.
- On attend.
- On attend quoi ?
- Que le monde entre à l’intérieur.
- Ah…
- Yamapi, Ryo, Akanishi et Toma sont à l’intérieur?
- Ouais. Ça l’air qu’il faut qu’ils soient à l’entrée lorsque les portes vont ouvrir étant donné qu’ils sont les garçons d’honneur.
- Ahh…
- Ouais…
Par la suite, ils attendirent en silence, n’ayant rien de plus palpitant à se dire. Ohkura pour sa part scrutait la foule. Observait tous les gens qui étaient présents pour le mariage de Yamashita et Vicky. Il se dit que c’était un beau mélange de toute sorte de culture et de nationalité. Il ne pouvait pas avoir plus hétéroclite comme invités. Des occidentaux et des japonais pour la plupart, mais il avait bien cru voir au moins deux coréens parmi la foule. Il se sentait heureux de faire partie de cette fête. Alors qu’il regardait la foule, il vit Yasuda, Subaru, Yoko et Hina s’approcher d’eux.
…………………..
Dans un autre coin de la foule, se tenait Jo qui avait la garde de Mahito, puisque Mary avait du entrer à l’intérieur de la chapelle étant une demoiselle d’honneur de Vicky et que Massu n’était pas arrivé encore. Il y avait avec elle Cath, Meryem, Véro, Vane, Charline et Aline qui discutaient ensembles. Les jeunes filles se tenaient droites dans leurs belles robes et tentaient de ne pas pester contre le fait qu’elles devaient se tenir debout dans leurs sandales peu confortables pour plusieurs. Cath n’y tenant plus fini par envier Charline.
- Tu me fais chier.
- Hein? Moi ça? Répliqua Charline, ne comprenant pas pourquoi Cath venait de lui lancer cette phrase tout à coup.
- T’as l’air trop bien en jeans. C’est comme ça que j’aurais dû m’habiller.
Charline eut un grand sourire, fière d’elle.
- Ahhh ! On peut pas toutes être aussi brillante que moi! De toute façon, moi et les robes…ça fait deux! J’aime beaucoup mieux être en jeans. Beaucoup plus confortable.
- Mouais…mais tes souliers n’ont pas l’air plus confortables que les miennes en fait, fit remarquer Aline qui était perchée sur de hautes échasses pour se donner un peu de hauteur.
- Hmm…en effet. J’avais pas vraiment le choix non plus de me donner un peu de grandeur de plus, répondit alors Charline avec un sourire gêné.
Les filles se mirent à rire. Malgré ses jeans bleus foncés de style skinny, Charline était joliment vêtu. Elle arborait un magnifique chemisier en soie qui tombait sur ses hanches. Les couleurs de celui-ci tournaient autour du blanc ivoire, bleu acier et noir et avait de motifs complexes. Les manches étaient courtes et le col coupé carré. Un long collier à breloques blanches dont elle avait fait deux tours pendait à son cou de façon stylisée. Ses cheveux courts noirs contrastaient avec ses longues boucles d’oreilles toutes aussi blanches et stylées que son collier. Pour compléter le tout, elle arborait un large bracelet blanc à son poignet et de fins escarpins blancs aux pieds munis de hauts talons. Charline avait son style bien à elle et l’arborait fièrement.
- Papa !!!! s’écria tout à coup Mahito.
Les filles se tournèrent toutes vers où Mahito regardait et aperçurent finalement Masuda qui était suivi par d’autre jeunes hommes. Lorsque les filles virent les quatre Johnny’s s’approcher, certaines d’entre elles en eurent le souffle coupé. Ce n’était pas les premiers Johnny’s qu’elles voyaient, mais encore une fois, c’était plus qu’irréel de les voir en chaire et en os et non au travers d’un écran d’ordinateur. Par contre, il y en a une qui oublia momentanément qu’ils étaient bel et bien réels et qui se mit à émettre un bruit aigue.
- Ihhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh
Les filles se tournèrent toutes vers Meryem de qui sortait ce bruit strident. Les quatre garçons la dévisageaient tout autant. Finalement, voyant qu’elle ne semblait pas être sur le point d’arrêter, Cath lui asséna un violent coup de coude sur le bras afin qu’elle cesse. Par chance, le geste eut l’effet escompté. Par contre, son air ébahi ne s’atténua pas pour autant.
- Il est encore plus beau en vrai, tu trouves pas ? dit-elle à Cath, en ne détournant pas le regard qui était rivé sur la personne dont elle parlait.
- Justement, il est en vrai. Il entend ce que tu dis tu sais.
Meryem haussa des épaules et continua de fixer l’homme qui se tenait devant elle. Koyama était vêtu d’un simple costume trois pièces noir, mais Meryem trouvait qu’il avait la classe plus que quiconque. Pour sa part, le jeune homme regardait d’un œil curieux la jeune canadienne qui le dévisageait. Il n’avait jamais pensé avoir des fans en dehors de l’Asie. Il avait déjà entendu parler qu’avec Internet, leur performance se rendait maintenant partout dans le monde, mais il n’avait jamais espérer rencontrer une étrangère, fan de lui, en chaire et en os. Pas le moins de monde gêné, il s’approcha d’un pas décidé vers la jeune fille et se présenta.
- Bonjour. Je suis Koyama. Et tu es ?
- M-Meryem…
- Enchanté de te rencontrer !
Koyama s’inclina légèrement vers la jeune fille et se releva en lui faisant un magnifique sourire. Il n’en fallu pas plus à Meryem et elle lui sauta au cou sans plus de gêne ni de retenue. Tous ceux présents regardèrent la scène, ébahis. Les canadiennes eurent tout à coup un goût intense de se cacher sous une table et les J-boys une certaine peur d’avoir affaire à une stalkeuse cachée dans le corps d’une étrangère. Finalement, personne n’eut le temps de bouger, puisque Koyama repoussa légèrement Meryem et lui dit gentiment en lui prenant la main :
- Viens, on va faire plus ample connaissance.
Meryem hocha la tête, sous le charme puissant d’un Koyama qui en avait vu d’autres et ils se dirigèrent tous les deux vers les marches de béton pour s’y asseoir tranquillement, un peu à l’écart des autres, pour pouvoir discuter. Les témoins de la scène fixaient toujours les deux et n’en revenaient tout simplement pas de la vitesse à laquelle toute l’histoire s’était déroulée. Ce fût Cath qui, fidèle à son habitude, brisa le silence :
- Woaw ! Elle est rapide !
Ça ne prit que deux secondes avant qu’elle n’ait le juste retour de ses paroles.
- Regarde qui parle…répliqua alors Véro.
Cath ouvrit la bouche pour répliquer, mais n’en eut pas le temps, puisque Shige prenait la parole.
- Je suis d’accord. C’est rapide…Il m’impressionnera toujours…
- Moi aussi…comment il fait? Pourquoi je suis pas capable de faire ça moi? se plaignit alors Tegoshi.
- T’es trop tendre moi je dis, lui répondit Shige.
- Tu penses? Demanda alors le plus jeune, définitivement en quête d’une réponse.
Shige hocha la tête sincèrement et mit une main sur l’épaule de son ami en guise de réconfort. Massu qui avait Mahito dans ses bras y alla de son réconfort aussi envers son meilleur ami.
- Mais oui, ne t’inquiète pas. Tu trouveras aussi! Savais-tu que la moyenne d’âge des gens qui se marient au Japon est de vingt-sept ans. Donc t’as encore du temps. Et que l’âge moyen pour le premier rapport sexuel est de dix-huit ans? Donc t’es pas si en retard…
Toutes les filles eurent les yeux grands ouverts devant les affirmations si directes de Massu. Tegoshi vira au rouge vif et ouvra la bouche en grand. Mais aucun son ne sorti. Il était trop sous le choc pour répliquer quoi que se soit. Il n’osa même pas tourner son regard vers les jeunes filles qui, il s’en doutait, devaient sûrement le dévisager. Avec un ami comme Massu, il n’avait définitivement pas besoin d’ennemis. Son meilleur ami avait le don de le mettre dans l’embarras sans le vouloir. Tout à coup, comme pour ajouter au malaise, Mahito parla.
- Papa. Quoi sexuel?
Masuda ouvrit de grands yeux et regarda son fils d’un air hagard. Il venait tout juste de s’apercevoir de la gaffe qu’il venait de faire et de ce qu’il avait dit devant son fils. Alors que son cerveau tournait à cent milles à l’heure pour trouver une réponse à son fils, Shige sauva la mise.
- Rien qui ne doit t’être révélé maintenant. Viens-tu avec moi? On va aller voir s’il ni aurait pas de jolis papillons à attraper. J’en ai vu quelques uns tout à l’heure.
- OUI !!!!!!!!
Mahito se tortilla pour sortir des bras de son père et celui-ci n’eut d’autre choix que de le déposer par terre. Aussitôt fait, Mahito prit la main que lui tendait Shige et parti de ses petits pas au côté du membre de NEWS. N’y tenant plus, Aline se mit à rire, rapidement suivit par Cath, Charline, Jo et les deux gars restants. Et c’est à ce moment que Cath s’aperçu de quelque chose. En regardant partout autour d’elle, elle demanda aux autres :
- Elle est où Véro ?
Fin chapitre 15
J'avais comme un peu oublié les photos....gomen !!
donc voici ce que porte Charline.
Voici ce que Clo porte.
Voici ce que Koyama porte
Voici ce que Ohkura porte. (sans le chat mort lol)
Voici la robe de Vicky :)
Et ce que Maru porte. (je sais, je sais, c'est Taeyang...user de votre imagination lol)