Pour une raison ou une autre, elles n’ont pas dépassé une phrase - ou 3000 mots. Certaines en sont restées au stade d’idée. Si un jour je suis courageuse ou inspirée ou les deux... j’essayerai peut-être d’en faire quelque chose.
Idées qui n’iront sans doute nulle part
Ce que Terrence veut
Pas vraiment besoin d’explication, c’était supposé faire partie de la série des
Ce que... veut.
Cinq trucs que Lincoln n’a jamais dits à Veronica
Pas besoin d’explication non plus ;-)
Iceberg (A la surface)
Il y a longtemps,
cinnamonly m’a dit qu’elle trouvait Sara "lisse". J’ai envie eu d’écrire un petit truc apparence/réalité. Ce n’est pas allé plus loin que l’idée et le titre.
Philadelphes
Depuis Sweet Caroline (au moins), voire depuis John Doe, j’avais en tête d’écrire quelque chose sur Reynolds et Steadman. Peut-être quelque chose se déroulant à Philadelphie parce que parfois, je peux être vraiment très littérale dans mes titres *g* (philadelphe = qui aime son frère/sa soeur). Ca n’a pas dépassé le stade d’idée, mais comme je suis têtue, j’ai utilisé le terme comme sous-titre pour la conclusion d’
Equilibrium.
Sans titre / Ce qu’ils voient en Caroline
Un point de vue de Kellerman, Steadman, Kim et Michael sur Reynolds. J’ai oublié ce que j’avais en tête exactement.
Fanfics abandonnées
Les Chroniques de Marilyn
J’aurais voulu écrire une "vraie" chronique sur Michael, étant donné que
Elle sait ne répond pas au schéma des autres fics de cette série. Mais je n’ai pas dépassé le titre - Pyromane - et une phrase :
Charles a raison, elle n’aurait jamais imaginé qu’il était du genre pyromane. Et pourtant.
J’avais également en tête une chronique sur Pope. Même chose : le titre - Allergique - et une phrase :
Il éternue à chaque fois qu’il la voit : ça lui fend vraiment le coeur.
Evidemment
Premier essai de (court) crossover avec Le Caméléon. Parker et Abruzzi. J’ai écrit environ 150 mots et... c’est tout.
« Dis-moi que c’est du sang de boeuf, » demande-t-elle en regardant le sang brunir et cailler sur ses chaussures et sur l’ourlet de son pantalon en lin blanc.
Il regarde les marques brun-rouge et sourit.
« C’est du sang de boeuf. »
Origami Boys
Deuxième essai de crossover avec Le Caméléon. Si vous vous souvenez du pilote de cette série, Jarod a également donné dans l’origami (soit dit en passant, si quelqu’un me dégotte un Onyssius dans la mythologie grecque...). Michael et Jarod papotant, pré-série pour Prison Break, au moment où Michael prépare son plan.
J’ai écrit environ 700 mots avant de me rendre compte de deux trucs. D’une part, je n’avais pas d’histoire, ce qui est gênant. D’autre part, j’avais en tête de faire discuter un type ouvert comme une huître (Michael) avec un type que j’ai envie de faire taire (Jarod - je ne supporte pas Jarod). Sans surprise aucune, ça n’a pas marché.
La personne habituelle, c’est Ainsley : vingt-cinq ans à ce qu’elle affirme, sans doute moins en réalité sous son maquillage ; sourire avenant et regard intéressé mais non insistant ; pantalon noir strict et blouse blanche décolletée ; loquace juste comme il faut et discrète juste quand il faut.
Ce soir, c’est... « Jarod. » ... bien plus masculin qu’Ainsley, plus âgé, aussi souriant, aussi intéressé (mais sans doute pas pour les mêmes raisons), aussi noir et blanc (mais boutonné jusqu’au col) et, semble-t-il, aussi au courant de ses préférences qu’Ainsley. « Scotch pur malt ou club soda ?
Textes pour lesquels il faudrait que je me remue et fasse quelque chose parce que franchement...
Trois situations ambiguës
Trois situations pas très nettes entre Lincoln et Sara. C’était une provocfic - si je puis dire - pour répondre aux ignominieuses accusations selon lesquelles je serais une shippeuse Lincoln/Sara non avouée *g*
Environ 500 mots écrits et des idées pour seulement deux situations. En dépit des derniers développements dans la série, je n’ai pas tout à fait renoncé à celle-ci. C’est à ça que servent les univers alternatifs.
« Je ne vois vraiment pas de quoi. » Au moment même où elle finit de parler, elle se rend compte de ce que sa remarque peut avoir de dépréciateur, mais Lincoln ne bronche pas. Pas même un merci beaucoup ironique et c’est pile ce qui attire son attention. « Lincoln... ? » Elle le regarde par-dessus son épaule. « Il aurait eu des raisons dans le passé d’être jaloux ?
Vingt mots pour Sucre
Ils sont commencés depuis plus d’un an et il m’en manque quatre sur les vingt. Là, ce n’est même plus de la paresse, il faudrait inventer un nouveau terme.
05. direction : Avant qu’il ait pu décider s’il doit aller à droite ou à gauche, le bleu le pousse en avant. C’est caractéristique de la façon dont les choses se passent avec Michael : quand Sucre pense avoir compris, les choses prennent une direction complètement différente.
No Man’s Land
Edit 25/05/2008 - Celle-ci a été écrite en anglais :
No Man's Land.
Michael/Lincoln (
niennanou et
alohomoraa adorent quand je dis ça *ironie*).
Environ 950 mots mais, si ça va quelque part, ça sera sans doute sous forme de deux ficlets parce que j’ai écrit quelques paragraphes avec deux atmosphères différentes. Ou alors il faudrait que je me lance dans quelque chose de long et compliqué et... voilà, quoi :-p
Il y a un no man’s land, une zone soigneusement délimitée qu’ils ne sont ni l’un ni l’autre supposés franchir. L’accord tacite étant que si l’un d’eux déroge, l’autre est autorisé à faire de même dans des proportions égales. Oeil pour oeil, dent pour dent, en somme.
Prequel à Clair-obscur ou point de vue de Michael
Pas le début d’un mot écrit, c’est juste une idée qui revient de temps en temps. La faute de
virginiegalaad qui m’avait demandé si, dans
Clair-obscur, la relation Lincoln/Veronica était menée en parallèle à la relation Michael/Lincoln : quid du point de vue de Michael sur Veronica, Lisa, voire, dans un autre ordre d’idée, sur LJ ?
Intégrité structurelle
C’était au départ le début d’Equilibrium. Sauf que je perdais complètement de vue le prompt et le but de la fanfic et que ça devenait beaucoup trop long. J’ai essayé de réutiliser le texte pour le transformer en histoire (non slash ;-)) sur la jeunesse de Michael et Lincoln, mais comme je ne savais vraiment pas où j’allais, je me suis arrêtée en cours de route. Un peu perdue *g*
Environ 3500 mots écrits, donc ce serait quand même bien que je me secoue pour essayer d’en faire quelque chose de lisible.
Ironique que quelqu’un d’aussi instable soit un pilier, n’est-ce pas ? Mais il s’est construit grâce, pour, autour, malgré, en opposition à Lincoln. Lincoln est son pilier, son pivot, sa pierre de touche et son (anti) référence.
Quand Lincoln lui fait part de ses doutes, Michael hausse les épaules et les ignore. Il prétend que les fondations sont plus solides qu’il n’y paraît : l’édifice peut bien parfois vaciller, avoir du jeu, mais il ne se craquelle pas et reste debout. Les métaphores architecturales agacent Lincoln. Il a juste envie de rétorquer que l’édifice relève du château de sable et qu’il ne survivra peut-être pas à la prochaine bourrasque.
Vous revoir - sous-titre à définir
Edit 25/05/2008 - Le début a été posté sous forme de ficlet indépendante :
Vous revoir - Circonvolutions.
Michael/Sara.
alohomoraa m’avait mis en tête d’écrire ce qu’il se passait juste après
Writer’s Cut. Ne m’obligez pas à expliciter, que voulez-vous qu’il se passe juste après
Writer’s Cut ! C’était supposé être relativement complaisant et PWPien : j’ai environ 800 mots et, bien sûr, pas l’ombre d’un PWP. Ceci étant dit, même chose que pour les Trois situations ambiguës : je n’ai pas tout à fait renoncé à en venir à bout.
Le truc à propos de la mémoire sensorielle ? Elle vous joue les pires tours. Par exemple, il ne lui faut pas grand-chose, il semblerait qu’un effluve délicat lui suffise, pour ressortir, déconditionner, déballer, décompresser des souvenirs soigneusement catalogués, les extraire de cette circonvolution de cerveau et vous les balancer dessus. Sans avertissement, sans ménagement, sans mansuétude.
Voilà. Donc, j’ai passé une heure cette après-midi à écrire ça au lieu de me mettre à ma fic pour l’échange...