Title: Impunity
Author:
clair-de-luneCharacters: Michael/Lincoln
Genre: Slash
Rating: PG-13
Warning: Incest
Timeline: 2.02
Word count: ~ 410
Disclaimer: Not mine. Just borrowing them for a while.
Summary: Lincoln stands in front of him, just a bit too close, but not close enough for questions or comments.
Notes: Just a little something written along with
They Dance - nothing related, but there’s sort of an ongoing theme. Thanks to
recycledfaery for the beta.
He leans into the warehouse wall as Lincoln stands in front of him, almost against him, close enough for him to feel the heat radiating from his brother’s body and seeping into him, the familiar scent of Linc’s skin and sweat filling his nostrils. He closes his eyes for a couple of seconds, breathes deeply, and he knows that Lincoln is grinning.
Lincoln stands in front of him, just a bit too close, but not close enough for questions or comments. Anyway... anyway this is Sucre, Abruzzi and C-Note sitting a few feet away at the other end of the warehouse. T-Bag and his sick mind would have found a reason to comment. But Sucre, Abruzzi and C-Note? They just pretend not to see, hear or be remotely moved by this so purely and perfectly fraternal display of affection.
The feeling of impunity sends a shiver down Michael’s spine and he looks up to see Lincoln winking at him, offering him the hint of an accomplice smile. Then his brother bends forward to murmur something in his ear. Behind Lincoln’s shoulder, Michael can see the three other men chatting and arguing; they’re not paying attention to Lincoln and him. He gasps when he realizes that Linc’s intent is definitely not to tell him something: he gets closer and licks the shell of his ear then blows lightly, the air hot and moist on his skin.
Michael plasters his shoulders against the dirty wall, claws at it so as not to grab his brother by the collar of his absurdly unbuttoned shirt, make him spin against the wall and kiss him in front of the three guys in a way that would have nothing to do with purely and perfectly fraternal, in a way that would without a doubt feed T-Bag’s fantasies. As retaliation, he just pushes a thigh between Lincoln’s, presses lightly and he can feel...
Right. Totally fair.
There’s another puff of air on his ear, still hot and moist but harsh and uncontrolled this time around. While Sucre strongly suggests that they come and eat something while there is something to eat, Linc puts a big brother’s hand on the nape of his neck, commending and playful, and whispers with a lover’s voice in his ear, low and rough, “I’m gonna do indescribable things to you, Mike.”
He steps back and watches him, his eyes a bit too black and a bit too shiny. Michael smiles at him.
-END-
9 Feb. 2008
Titre : Impunité
Auteur :
clair-de-lunePersonnages : Michael/Lincoln
Timeline : 2.02
Rating : PG-13/R
Avertissement : Inceste
Nombre de mots : ~ 445
Disclaimer : Ils ne sont pas à moi. Je les emprunte un instant et les rends dans quelques lignes.
Résumé : Lincoln se tient juste en face de lui, un tout petit peu trop près de lui, mais pas assez près pour que cela suscite des commentaires.
Notes: Juste un petit truc écrit en même temps que
They Dance - pas vraiment de rapport, mais il y a en quelque sorte un thème commun entre les deux. Et je vais traduire They Dance. Peut-être. Je vais essayer, en tout cas.
Il est adossé au mur du hangar et Lincoln se tient juste en face de lui, presque contre lui, assez proche pour qu’il sente la chaleur de son corps l’irradier à travers leurs vêtements, et l’odeur familière de sa peau et de sa transpiration monter à ses narines. Il ferme les yeux pendant une seconde ou deux, inspire à fond, et il sait que Lincoln sourit.
Lincoln se tient juste en face de lui, un tout petit peu trop près de lui, mais pas assez près pour que cela suscite des commentaires. Et de toute façon... de toute façon, c’est Sucre, Abruzzi et C-Note qui se trouvent à quelques mètres de là de l’autre côté du hangar. T-Bag et son esprit mal tourné, oui, trouveraient là matière à commenter. Mais Sucre, Abruzzi et C-Note ? Sucre, Abruzzi et C-Note affectent de ne rien voir, rien entendre, de ne pas être plus ou moins touchés par cette démonstration d’affection si parfaitement et purement fraternelle.
Le sentiment d’impunité fait courir un frisson d’excitation le long de sa colonne vertébrale. Quand il relève peu la tête, Linc lui adresse un fantôme de clin d’oeil, une ombre de sourire complice, puis il se penche pour lui murmurer quelque chose à l’oreille. Par-dessus son épaule, il voit Sucre, Abruzzi et C-Note en train de discuter ; les trois hommes ne leur prêtent aucune attention. Il prend une inspiration brève et rapide quand il réalise que Linc ne compte pas lui dire quelque chose : il fait courir le plat de sa langue contre le bord de son oreille puis souffle, l’air chaud et mouillé, sur sa peau.
Michael plaque ses épaules contre le mur sale, y enfonce les ongles, pour ne pas attraper son frère par le col de sa chemise ridiculement déboutonnée, le faire pivoter sur lui-même contre la paroi et l’embrasser devant les trois types d’une façon qui n’aurait rien de parfaitement et purement fraternel, d’une façon qui alimenterait sans le moindre doute les fantasmes de T-Bag. Il se contente, en guise de représailles, de pousser un peu sa cuisse entre celles de son frère, et il sent...
Bien. On ne peut plus mérité.
Il y a un nouveau souffle contre son oreille, toujours chaud et mouillé, mais cette fois précipité et incontrôlé. Tandis que Sucre leur conseille de venir manger tant qu’il reste quelque chose, Linc pose une main de grand frère sur sa nuque, autoritaire et joueuse, et murmure d’une voix d’amant dans son oreille, basse et rocailleuse, « Je vais te faire des choses indescriptibles, Mike. »
Linc recule de deux pas et le regarde, ses yeux un tout petit peu trop brillants. Michael lui sourit.
-FIN-
9 février 2008