arbre à drabbles 27 mars au 2 avril
Peu de drabbles cette fois-ci. Mais sept est un bon chiffre.
N'empêche, pauvre Walter qui commencera par être connu de vous comme un gaffeur avec des problèmes avec son pa... créateur
Et dans le drabble où il apparaît, Alfred devait terminer sa phrase par "enculé", mais j'avais pas assez de place ^^"
Originale - Eliezer - PG
La réserve est un amalgame de souvenirs épars qui se promènent de temps à autre dans sa tête, sans qu’Eliezer puisse faire quelque chose pour les saisir pleinement, à leur juste valeur. Une danse qu’il fait rapidement avant qu’elle s’arrête, une chanson qu’il murmure, l’éclat d’un vêtement, d’un regard, d’un sourire, les odeurs, les paroles, les prières. Il a grandit dans une sorte de coton, replié sur lui même, à l’abri. Une personne le hissant sur ses épaules, lui riant très fort. Puis arrive son départ forcé. Pour quelque chose de grand. Depuis, il ne lui reste que les rêves.
Originale - Alfred, Walter - PG-13
« Qui a sauté la moitié de Pittsburg ? » demande Alfred avec un faux sourire.
« C'était un accident. » avoue Walter, penaud.
« Encore heureux, parce que maintenant, je me retrouve avec des exorcistes texans qui veulent me buter ! »
« Je voulais sauver la ville, le dragon...
_Et c'est pour ça que des gens se retrouvent maintenant sans rien, bravo, champion, continue comme ça et tu auras le prix Nobel des abrutis au cerveau en bouilli ! Tu dis que la magie apporte des emmerdes, je suis d'accord, mais regarde tes dégâts avant de l'ouvrir ! »
+ Rien à voir avec l'arbre, mais comme dans ce drabble, il y avait Alfred et que je ne me souviens pas l'avoir posté ici...
Originale - Christopher + Alfred (la soeur d'Alfred qui était vraiment trop jalouse)
Avec Christopher, tout était facile, être à deux, ne pas savoir si demain sera le dernier jour, s’en foutre parce qu’ils auraient sans doute pu tout affronter. Alfred était le tentateur qui manipulait à la fois magie et science, Christ l’homme qui se chargeait des armes et explosions. Ils étaient deux agents américains sauvant le pays avec leur équipe, parfois le monde. Puis, la sœur du premier est venue, balayant ses illusions. Finalement Christ mourut sans qu’Alfred pu l’empêcher de se sacrifier pour lui. Le retour à la réalité fut rude, rentrer à la maison avait maintenant un goût amer.
Originale - Walter, son créateur - PG 1/?
« Plus le temps passe, moins tu viens me voir. » dit le prisonnier assis sur sa chaise. « Est-ce un autre effet indésirable de ta crise d’adolescence ? »
Walter se tait.
« Ah, les mutare, on les créer à partir de nuisibles qu’on ne veut plus, on les protège, les éduque et ils vous tournent le dos dès qu’ils le peuvent. Petits ingrats. Tu sais, je pourrais aisément te pardonner si tu me laissais sortir, je sais que tu en es capable. Après tout, tu restes mon enfant. »
« N’y comptez pas. Et je ne suis pas un enfant, encore moins le vôtre.»
Originale - Walter, son créateur- PG 2/?
« Quoi, pas mon enfant ? Voyons, Walter, je ne savais pas que tu niais à ce point l’évidence. Ecoute, chaque être vient de quelque part, de moi en l’occurrence pour toi. Tu le sais. Mais bon, arrêtons de parler de sujets qui fâchent. J’ai entendu dire qu’une portion de ville a été détruite. Combien de morts ?
_ …Pour l’instant, seulement des blessés…
_Dommage, ça aurait pu te mettre du plomb dans la cervelle. Dis-moi, combien de ville comptes-tu détruire avant de saisir que tu n’es bon ni en sauveur, ni en scientifique ? Combien de souffrance pour tes caprices ? »
Originale - Walter, son créateur- PG 3/?
Caprices. Le mot résonne en lui, court et vif, un coup de poignard insidieux qui s’enfonce. Son créateur rit un peu, creusant davantage les rides de son visage bien âgé, bien plus que dans ses souvenirs. Des années à infuser des potions et autres doivent faire ce genre d’effet, pense Walter. Avec un peu de chance, l’autre n’a sans doute que peu de temps à vivre. Juste assez pour que Walter puisse tenir le coup avant de dire bonjour à la vraie liberté.
« Sois honnête avec toi-même, mon petit, tu ne peux renier ton identité.
- Laquelle ? » dit Walter, amer.
Jackie Chan Adventures - chibi!Drago, chibi!Evelyne (OC) - G
« Tous les deux des chevaliers, ouais, ça me plait ça ! On pourrait faire une joute. Ou se battre à l’épée, je suis certain que je te bats !
- C’est ça oui, en attendant, trouve nous des morceaux de bois, Sir.
-Pendragon ! Comme le roi ! »
Fier de sa trouvaille, Drago fait un grand sourire. Evelyn rigole.
« C’est cliché ! Mais pourquoi pas. Appelle moi Lancelot, dans ce cas-là.
-Si tu veux… attends, ça veut dire que tu voleras ma femme, alors, non !
-T’as dit que les filles, c’était nul, de toute façon.
-Ouais, mais non ! »
Reservoir Dogs- Mr Orange/Mr White - PG-13 (spoiler sur tout le film)
Mensonge, c’était ça depuis le début. Il avait tout répété mot par mot, avait assimilé chaque facette de son personnage. C’était son travail. Mentir prenait parfois la forme d’un jeu.
Puis, il éprouva des choses qui n’avaient pas sa place ici.
Ce furent White, ses discussions, leur complicité, les mains qui le transportèrent dans le lieu de rendez-vous, la voix qui lui disait qu’il allait vivre. Il avait si mal, tellement que dire la vérité lui apparue comme quelque chose à faire. Il se sentait mourir. Quitte à choisir, autant que ce soit de la main de White, dans ses bras.
N'empêche, pauvre Walter qui commencera par être connu de vous comme un gaffeur avec des problèmes avec son pa... créateur
Et dans le drabble où il apparaît, Alfred devait terminer sa phrase par "enculé", mais j'avais pas assez de place ^^"
Originale - Eliezer - PG
La réserve est un amalgame de souvenirs épars qui se promènent de temps à autre dans sa tête, sans qu’Eliezer puisse faire quelque chose pour les saisir pleinement, à leur juste valeur. Une danse qu’il fait rapidement avant qu’elle s’arrête, une chanson qu’il murmure, l’éclat d’un vêtement, d’un regard, d’un sourire, les odeurs, les paroles, les prières. Il a grandit dans une sorte de coton, replié sur lui même, à l’abri. Une personne le hissant sur ses épaules, lui riant très fort. Puis arrive son départ forcé. Pour quelque chose de grand. Depuis, il ne lui reste que les rêves.
Originale - Alfred, Walter - PG-13
« Qui a sauté la moitié de Pittsburg ? » demande Alfred avec un faux sourire.
« C'était un accident. » avoue Walter, penaud.
« Encore heureux, parce que maintenant, je me retrouve avec des exorcistes texans qui veulent me buter ! »
« Je voulais sauver la ville, le dragon...
_Et c'est pour ça que des gens se retrouvent maintenant sans rien, bravo, champion, continue comme ça et tu auras le prix Nobel des abrutis au cerveau en bouilli ! Tu dis que la magie apporte des emmerdes, je suis d'accord, mais regarde tes dégâts avant de l'ouvrir ! »
+ Rien à voir avec l'arbre, mais comme dans ce drabble, il y avait Alfred et que je ne me souviens pas l'avoir posté ici...
Originale - Christopher + Alfred (la soeur d'Alfred qui était vraiment trop jalouse)
Avec Christopher, tout était facile, être à deux, ne pas savoir si demain sera le dernier jour, s’en foutre parce qu’ils auraient sans doute pu tout affronter. Alfred était le tentateur qui manipulait à la fois magie et science, Christ l’homme qui se chargeait des armes et explosions. Ils étaient deux agents américains sauvant le pays avec leur équipe, parfois le monde. Puis, la sœur du premier est venue, balayant ses illusions. Finalement Christ mourut sans qu’Alfred pu l’empêcher de se sacrifier pour lui. Le retour à la réalité fut rude, rentrer à la maison avait maintenant un goût amer.
Originale - Walter, son créateur - PG 1/?
« Plus le temps passe, moins tu viens me voir. » dit le prisonnier assis sur sa chaise. « Est-ce un autre effet indésirable de ta crise d’adolescence ? »
Walter se tait.
« Ah, les mutare, on les créer à partir de nuisibles qu’on ne veut plus, on les protège, les éduque et ils vous tournent le dos dès qu’ils le peuvent. Petits ingrats. Tu sais, je pourrais aisément te pardonner si tu me laissais sortir, je sais que tu en es capable. Après tout, tu restes mon enfant. »
« N’y comptez pas. Et je ne suis pas un enfant, encore moins le vôtre.»
Originale - Walter, son créateur- PG 2/?
« Quoi, pas mon enfant ? Voyons, Walter, je ne savais pas que tu niais à ce point l’évidence. Ecoute, chaque être vient de quelque part, de moi en l’occurrence pour toi. Tu le sais. Mais bon, arrêtons de parler de sujets qui fâchent. J’ai entendu dire qu’une portion de ville a été détruite. Combien de morts ?
_ …Pour l’instant, seulement des blessés…
_Dommage, ça aurait pu te mettre du plomb dans la cervelle. Dis-moi, combien de ville comptes-tu détruire avant de saisir que tu n’es bon ni en sauveur, ni en scientifique ? Combien de souffrance pour tes caprices ? »
Originale - Walter, son créateur- PG 3/?
Caprices. Le mot résonne en lui, court et vif, un coup de poignard insidieux qui s’enfonce. Son créateur rit un peu, creusant davantage les rides de son visage bien âgé, bien plus que dans ses souvenirs. Des années à infuser des potions et autres doivent faire ce genre d’effet, pense Walter. Avec un peu de chance, l’autre n’a sans doute que peu de temps à vivre. Juste assez pour que Walter puisse tenir le coup avant de dire bonjour à la vraie liberté.
« Sois honnête avec toi-même, mon petit, tu ne peux renier ton identité.
- Laquelle ? » dit Walter, amer.
Jackie Chan Adventures - chibi!Drago, chibi!Evelyne (OC) - G
« Tous les deux des chevaliers, ouais, ça me plait ça ! On pourrait faire une joute. Ou se battre à l’épée, je suis certain que je te bats !
- C’est ça oui, en attendant, trouve nous des morceaux de bois, Sir.
-Pendragon ! Comme le roi ! »
Fier de sa trouvaille, Drago fait un grand sourire. Evelyn rigole.
« C’est cliché ! Mais pourquoi pas. Appelle moi Lancelot, dans ce cas-là.
-Si tu veux… attends, ça veut dire que tu voleras ma femme, alors, non !
-T’as dit que les filles, c’était nul, de toute façon.
-Ouais, mais non ! »
Reservoir Dogs- Mr Orange/Mr White - PG-13 (spoiler sur tout le film)
Mensonge, c’était ça depuis le début. Il avait tout répété mot par mot, avait assimilé chaque facette de son personnage. C’était son travail. Mentir prenait parfois la forme d’un jeu.
Puis, il éprouva des choses qui n’avaient pas sa place ici.
Ce furent White, ses discussions, leur complicité, les mains qui le transportèrent dans le lieu de rendez-vous, la voix qui lui disait qu’il allait vivre. Il avait si mal, tellement que dire la vérité lui apparue comme quelque chose à faire. Il se sentait mourir. Quitte à choisir, autant que ce soit de la main de White, dans ses bras.