Juste un petit truc pour ceux qui veulent écrire un peu / se débloquer / autre :)
Récapitulatif des règles (pris chez Alakenos) :Un drabble est un texte court, donc on vise environ 100 mots (avec une marge de +/- 15 mots
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Ah. Sa mortification était complète. - Donc, j’imagine que tous les petits griffindors savent. Merveilleux. L’unique avantage de tout cela était que la fureur commençait à l’emporter sur son coeur piétiné. - Tous les Aurors, plutôt, rectifia Longbottom. Draco ferma les yeux, se mordant la lèvre. Il ne méritait pas qu’il s’humilie plus pour ce type. - J’imagine que cela a fait la joie des vestiaires du Ministère d’apprendre que « notre sauveur » se tapait le fils Malfoy à volonté. Il fournissait aussi les détails ? Comment j’aimais le sucer ? Me la prendre ? Neville détourna le regard.
Versailles no bara - André/Oscar - PGalaiya666May 9 2021, 14:56:10 UTC
Le regard vitreux ne suivait pas la flamme.
« Oscar ? Eh bien où es-tu ? Je t'attends ! »
Le rire d'André résonna sous le haut plafond et gela dans les veines d'Oscar qui se tenait devant lui, proche à le toucher. Sa main, qui tenait le chandelier, trembla et quelques gouttes de cire brûlante tombèrent sur son poignet. A peine si elle en perçut la douleur : figée, elle contemplait celui qui riait aux éclats dans le noir.
Alors, lentement, elle reposa la chandelle puis recula sans bruit de quelques pas jusqu'à l'escalier. La garde de son épée cogna contre le pilier :
Ah. Sa mortification était complète.
- Donc, j’imagine que tous les petits griffindors savent. Merveilleux.
L’unique avantage de tout cela était que la fureur commençait à l’emporter sur son coeur piétiné.
- Tous les Aurors, plutôt, rectifia Longbottom.
Draco ferma les yeux, se mordant la lèvre. Il ne méritait pas qu’il s’humilie plus pour ce type.
- J’imagine que cela a fait la joie des vestiaires du Ministère d’apprendre que « notre sauveur » se tapait le fils Malfoy à volonté. Il fournissait aussi les détails ? Comment j’aimais le sucer ? Me la prendre ?
Neville détourna le regard.
La suite : https://chonaku55.livejournal.com/105212.html?thread=686076#t686076
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« Oscar ? Eh bien où es-tu ? Je t'attends ! »
Le rire d'André résonna sous le haut plafond et gela dans les veines d'Oscar qui se tenait devant lui, proche à le toucher. Sa main, qui tenait le chandelier, trembla et quelques gouttes de cire brûlante tombèrent sur son poignet. A peine si elle en perçut la douleur : figée, elle contemplait celui qui riait aux éclats dans le noir.
Alors, lentement, elle reposa la chandelle puis recula sans bruit de quelques pas jusqu'à l'escalier. La garde de son épée cogna contre le pilier :
« J'arrive, André. Merci de m'avoir attendue. »
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