My naughty librarian (01/21)

Jun 20, 2014 16:34

Titre : My naughty librarian
Auteur : biditoche
Pairing : Sakumoto (Sakurai Sho x Matsumoto Jun)
Rating : R, NC-17
Genre : Au, amitié, romance
Résumé : "Je suis Sakurai Sho, 24 ans, étudiant en master de Sciences Economiques et Gestion. Je suis délégué de classe, président du Conseil des Elèves et j’ai le meilleur bulletin scolaire de la promotion. Je suis en couple avec la fille la plus jolie et intelligente que j’ai eu l’occasion de rencontrer jusqu’à présent. Ma vie se résume donc à une petite-amie, des parents exigeants, du boulot, du boulot et du boulot ! Mais il suffit parfois d'un rien pour nous faire dévier du droit chemin..."




Chapitre 1 :



« Sho-kun, tu viens avec nous ? »
« Non, j’ai exam’ dans deux heures, je vais bosser à la bibliothèque ! »
« Encore… ?! Mais tu sais déjà tout ! »

J’enlace ma petite-amie par la taille et lui embrasse le front.

« On se verra après les cours ! On ira manger au chinois si tu veux. »
« Yatta ! Mais ne t’épuises pas, ne ? »
« Bien sûr que non, ce ne sont que des révisions. A tout à l’heure ! »
« I love you~ »

Remontant la lanière de mon sac sur mon épaule, je lui fais un signe de la main et traverse la rue vers le métro. En quelques minutes, j’arrive devant l’immense bâtiment contenant la bibliothèque universitaire et la médiathèque. Je passe la porte en bois et après avoir déposé mes livres de la semaine dernière à la banque de retour, monte rapidement les escaliers jusqu’au premier étage. Nous sommes mercredi, il y a plus de monde que d’ordinaire. La plupart des tables de travail sont prises mais j’en trouve une proche de la fenêtre, dans un coin. De là, je peux tout voir sans forcément être aperçu : très bon choix. Je dépose mes affaires sur la petite table et sort mon ordinateur portable, que je branche au réseau. Voilà, les révisions commencent.
Une dizaine de minutes plus tard, je me lève pour aller farfouiller dans les rayons à la recherche d’un manuel sur l’économie des Etats-Unis. Un peu ras-le-bol de bosser là-dessus, d’ailleurs. Mais bon, ce n’est pas comme si c’était à moi de choisir les programmes de l’année ! Il me reste encore quelques mois pour terminer mon mémoire de Master, j’ai de l’avance. Rien d’extraordinaire venant d’un premier de la classe !
Je suis Sakurai Sho, 24 ans, étudiant en master de Sciences Economiques et Gestion. Je suis délégué de classe, président du Conseil des Elèves et j’ai le meilleur bulletin scolaire de la promotion. Je suis en couple depuis quelques mois (5 exactement) avec Reina, la fille la plus jolie et intelligente que j’ai eu l’occasion de rencontrer jusqu’à présent. Je l’aime beaucoup, on s’entend bien.
Ma vie se résume donc à une petite-amie, des parents exigeants, du boulot, du boulot et du boulot ! Mais j’y trouve mon compte au final. Eh, je ne suis pas à plaindre non plus ! Que pourrais-je demander d’autre ?

Depuis le temps que je viens dans cette bibliothèque, je n’arrive toujours pas à très bien comprendre leur système de classement dans les rayons. C’est quoi tous ces chiffres et ces lettres à la suite ? Quelle logique y a-t-il dedans ? Est-ce qu’ils pensent à nous, pauvres étudiants, qui n’avons pas eu le mode d’emploi pour comprendre ce que signifie chaque numéro ? A nouveau je me retrouve paumé entre les rayons, cherchant vainement celui que je cherche, zieutant les quelques écriteaux pour me repérer.

« Excusez-moi, fais-je alors à l’employé assis au bureau d’accueil, le nez plongé dans son tiroir si bien que je ne peux même pas voir sa tête. Pourriez-vous m’aider à trouver un livre ? Je n’arrive vraiment pas à… »

Le garçon - parce que oui s’en est un - relève alors la tête vers moi. Son regard sombre sous ses grandes lunettes croise le mien et il me fait un petit sourire poli qui me fait bafouiller. Je me permets de le dévisager, n’arrivant pas à croire à la beauté que j’ai devant moi. Depuis quand est-ce permis d’avoir un si beau visage ? J’en serai jaloux ! Mes yeux se posent sur ses petites lèvres pulpeuses qui bougent et les deux grains de beauté de chaque part. Il se baisse et nos yeux se croisent alors à nouveau, il me lance un regard interrogateur.

« P-Pardon ? » fais-je, gêné de l’avoir autant scruté.
« Qu’est-ce que vous recherchez exactement ? Un sujet, un titre, un auteur… »
« Euh, un sujet. Sur…l’économie…des Etats-Unis depuis le XIXème siècle. »
« Laissez-moi chercher ça. »

Sa main délicate et fine se pose sur la souris de l’ordinateur, qu’il se met à fixer avec attention. Il pianote ensuite sur le clavier et mes yeux n’arrivent pas à quitter ses doigts. Il porte une magnifique bague à l’index, toute argentée. Ça contraste étrangement avec ses lunettes assez grossières, grandes et simples, et son look. Un t-shirt, une chemise qui ressemble à du jeans mais qui n’en est sûrement pas, et un simple pantalon noir. Ses cheveux chocolat forment des petites piques incontrôlables autour de son visage et semblent très…doux. Il se frotte alors la lèvre inférieure de son pouce et de son index, puis relève les yeux sur moi.

« J’ai trouvé quelque chose d’intéressant. Je peux vous accompagner si vous voulez. »
« Euh… ? »
« Pour vous montrer où ça se situe, que vous n’ayez plus à en refaire la demande. »
« Oh, bien sûr. Je vous suis. »

Il se lève alors de sa chaise et fait le tour du bureau pour arriver vers moi. Il est plus grand que ce que je pensais et, soudainement, son look assez simple à première vue ne le semble plus autant…Il me passe devant et continue son chemin en regardant parmi les rangées, jusqu’à s’arrêter devant l’une d’elle. Je fixe son regard attentif et sa mine concentrée alors qu’il parcourt le rayon. Son visage s’illumine quand il trouve ce qu’il cherche et je me sens un peu faible alors qu’il me tend le livre.

« Ceci devrait faire l’affaire. Si vous en cherchez d’autres, il y en a ici ! »

Il me montre du doigt le rayonnage mais je continue de le fixer comme un bêta. Un fin sourire passe sur son visage avant qu’il ne me lance d’un air innocent.

« Quelque chose d’autre ? »
« Euh…n-non. Vous êtes nouveau ici ? »
« Ah, ça se voit tant que ça… ? »

Le jeune bibliothécaire affiche un air gêné et baisse un peu la tête, ses joues se teintant de rose. Trop mignon !

« Je ne me souvenais juste pas vous avoir vu avant. »
« C’est ma première semaine ici. Maintenant, si vous voulez bien m’excuser, je dois retourner par là-bas… »

Il montre l’endroit où se trouvait son bureau et s’incline rapidement, toujours avec ce petit air gêné. Je reste au milieu du rayon, mon livre dans la main, sans comprendre ce qui se passe. Ce mec…il a quelque chose de bizarre !
Je retourne à ma table et me rend compte que, de là où je suis, j’ai une bonne vue du bureau d’accueil où le petit nouveau est retourné s’asseoir. Il continue de pianoter sur l’ordinateur avec toujours cet air concentré. Il note ensuite quelque chose et mes yeux ne le quittent pas alors qu’il commence à mordiller son stylo. Sans m’en rencontre compte, je passe le reste de l’heure à le scruter, cherchant ce qui me donne cette impression étrange sur lui. Mais rien, il est comme…je ne sais pas. Je n’arrive pas à réfléchir correctement. Et avec ça, mes recherches n’avancent pas du tout ! A 15h23, je sursaute en regardant ma montre et range précipitamment mes affaires. Arriver en retard en cours est inenvisageable ! En partant je repasse devant son bureau et m’y arrête. Remarquant ma présence, il lève à nouveau la tête vers moi. Toujours ce visage interrogateur alors qu’il penche légèrement la tête sur le côté comme le feraient les chiots.

« Oui ? »
« Merci pour…v-votre aide. »

Pourquoi est-ce que je n’arrive pas à faire une phrase sans bafouiller ? Je me sens bizarre et il reste toujours aussi insondable alors qu’il me sourit.

« Tout le plaisir était pour moi. Bonne journée ! »

Et il repart dans son travail, m’oubliant complètement. Je marmonne un « bonne journée » peu convainquant et sort de cet enfer aussi rapidement que j’y suis entré. Ce mec est réellement bizarre !

Mais, étonnamment, je me sens obligé de revenir les jours suivants. Il n’est pas toujours là et je me surprends à le guetter. Il existe un système de rotation dans le personnel du bâtiment qui fait que, toutes les heures ou heures et demi, l’employé au bureau est remplacé par un autre. Alors toutes les heures, je regarde qui vient et quand c’est lui, je me mets à sourire. Allez savoir pourquoi. J’en viens à passer mes week-ends à la bibliothèque à essayer de comprendre pourquoi il me donne cette impression et pourquoi ça ne me sort pas de la tête. Pour lui, c’est comme s’il ne me remarquait même pas. J’ai beau lui demander autant de conseils que possible, à chaque fois que j’arrive vers lui, c’est comme si c’était la première fois qu’on se rencontrait. C’est très frustrant pour moi. Et je comprends de moins en moins. Malgré le temps que je passe dans la bibliothèque, mon travail n’avance pas vraiment. Ce temps, je le passe à scruter ce jeune bibliothécaire qui, chaque jour, devient un peu plus mignon que les jours précédents. Reina commence à être maussade, je ne passe pas autant de temps avec elle que je le devrais. Alors elle a décidé de venir avec moi à la bibliothèque maintenant…
Nous entrons dans la grande bâtisse main dans la main et montons au premier étage. L’objet de mes venues fréquentes est déjà là, debout en train de ranger une pile de livres dans les rayons. Ma petite-amie me parle mais je ne l’écoute pas. Ce qu’il porte, ça a l’air lourd. Ses jambes plient légèrement sous le poids mais ça ne semble pas le déranger plus que ça. Sa tête se tourne vers nous, puis il repart à son travail. Aujourd’hui il porte un jean un peu moins lâche que d’habitude et un simple t-shirt à col V. Il a toujours ses grosses lunettes sur son nez et cet air un peu naïf qui le rend si étrange. C’est comme si…cet air cachait quelque chose d’autre. Quelque chose de différent. Je n’arrive pas à dire ce que c’est mais ça me perturbe.

« Asseyons-nous là ! »

Je la suis sans mot dire et sort mes affaires, scrutant toujours autour de moi. Mais il a comme disparu…pour réapparaitre dans le rayon le plus proche de notre table.

« Hey, il n’est pas nouveau lui ? Ou alors ça fait trop longtemps que je ne suis pas venue… »
« Si, il est là depuis pas longtemps. »
« Il est craquant. On dirait un petit garçon ! »
« Oi, je t’interdis de dire qu’un autre mec est craquant devant moi ! »

Même si je suis tout à fait d’accord avec elle. Il a un truc…Nous commençons à travailler en chuchotant, quand j’entends un bruit sourd. Je tourne la tête pour voir le bibliothécaire avec un air déconfis, les livres à ses pieds à moitié retournés. Ah, j’étais sûr que cette pile était trop lourde pour lui ! Sans réfléchir, je me lève et vais l’aider à ramasser. Il me remercie avec un petit air désolé qui le rend encore plus mignon - si c’est seulement possible, et je me redresse sur mes genoux pour les lui redonner.
Je me retrouve nez-à-nez, si on peut dire ça comme ça, avec son postérieur agréablement moulé dans ce jean. Si je ne savais pas qu’il était un homme, je me serai posé des questions quant au possesseur de cette belle paire de fesses. La forme est parfaite, la symétrie adéquate, rien à redire…Il est plié en deux, ramassant le dernier livre, puis se redresse et se tourne vers moi. J’ai à présent son entrejambe en face de moi et je me dépêche de tout ramasser et me relever à mon tour sur mes pieds. Je suis le seul à paraître gêné de ce qu’il vient de se passer, à moins qu’il n’ait pas vu ? Il me fait un léger signe de tête en reprenant les livres dans mes mains puis, après un petit sourire en coin, repart dans son reclassement.

« Sho-kun ? »

Je secoue la tête et vais rejoindre Reina à notre table. Mais du coin de l’œil je surveille les allées et venues de mon nouveau centre d’intérêt. Parce qu’on peut l’appeler comme ça à présent. Il m’obsède et je n’arrive pas à savoir pourquoi. Pourtant plus j’essaye de le croiser, plus je semble étranger à ses yeux. Et je n’arrête pas de penser à ce derrière. Tellement parfait ! Le fait d’y penser me fait peur. Comment puis-je avoir ce genre de pensées pour un homme ? Un homme qui n’en a visiblement rien à faire de moi…Suis-je si banal ? J’ai tellement l’habitude de me faire remarquer pour tout depuis que je suis entré à l’école que ça me fait bizarre d’être pris pour quelqu’un de…non intéressant.

Jusqu’au jour où il me regarde. Enfin, vous savez, quand quelqu’un vous regarde vous sentez ce regard, ça vous fait tourner la tête pour voir d’où ça vient. Sauf que lui, il n’a pas eu à chercher. Je suis comme à mon habitude assis à ma table, mon ordinateur devant moi, des tas de feuilles, de stylos et de livres éparpillés mais qui ne me servent à rien. Parce que je le fixe constamment. Je commence à connaître toutes ses mimiques. La façon dont il passe son index sur sa lèvre inférieure, quand il se la mord, quand il se gratte la tête et même l’endroit exact où se situent ses grains de beauté sur son visage. Son petit côté timide et coincé me trouble toujours. J’ai l’impression de voir mais de ne pas comprendre. Un vrai casse-tête. Je le fixe donc depuis maintenant 10 minutes, ou plus, quand soudainement il relève les yeux vers moi et me regarde à son tour. Un petit sourire différent des autres fois apparait sur son visage alors qu’il mordille le bout de son stylo bille. Nous sommes assez loin l’un de l’autre pourtant je vois très bien sa langue naviguer dans sa bouche, passer sous le stylo et effleurer ses dents droites et blanches. Puis il baisse les yeux et moi aussi.
Il faut que j’aille aux toilettes. Tout de suite. Urgemment. Je ne sais pas ce qui m’arrive et si mon cerveau reste catatonique, mon corps lui a bien pris le temps de réagir ! J’ai une érection du tonnerre de Dieu et je ne sais pas quoi faire. Me lever et quitter la bibliothèque ? Oui, mais au risque de me faire remarquer ? Je ne veux pas lui donner ce plaisir. Mais pourquoi c’est arrivé d’ailleurs ? Il ne s’est rien passé d’extraordinaire…C’est probablement parce qu’avec Reina, on ne l’a pas fait depuis longtemps…oui, ce doit être ça. Je suis dans une sorte de période de manque et la moindre petite allusion érotique me fait bander. Oui, c’est ça, c’est forcément ça. Je ne peux pas avoir une érection à cause de ce type ! C’est totalement stupide. Je range rapidement mes affaires et m’arrange pour placer mon sac en face de mon entrejambe, cachant ainsi les dégâts. Finalement je préfère partir que d’aller simplement aux toilettes. Je bosserai plus tard. Ou ailleurs. Je suis confus là, je ne comprends plus rien…

« Sumimasen ? »

Fait une petite voix grave, à mon attention je suppose. Reconnaissant la voix, je ferme les yeux en grimaçant puis me retourne, paniqué. C’est le bibliothécaire. Il est là, devant moi et c’est seulement à cet instant que je remarque le petit badge accroché à son haut qui indique son nom et son statut dans la structure. Pourquoi n’ai-je jamais pensé à le regarder avant ? Bon, ce n’est pas le principal problème pour l’instant. Le plus gros se trouve dans mon pantalon et je dois absolument le cacher !

« H-Hai ? »
« Vous avez fait tomber ça. »

Il s’approche encore plus de moi et me tend ma carte d’abonné avec une tête tellement adorable que je me demande comment cet « incident » a pu arriver. Je tente de cacher ma nervosité et attrape la carte, la rangeant précipitamment dans mes affaires. Manque de chance, je la refais tomber, ma volonté de cacher mon malaise me rendant un peu maladroit. Alors il se met accroupi devant moi et ramasse la carte mais, au lieu de se relever tout de suite, lève la tête vers moi. Son visage est au bon endroit, s’en est troublant…Et des tas d’idées me passent par la tête. Des idées que je ne devrais pas avoir ! Mais c’est plus fort que moi et je pense à ces fesses…oh non c’est pas vrai, je n’arrange vraiment pas mon cas ! Il sourit alors comme s’il comprenait ce qui se passe dans mon corps puis se relève. Comme si de rien était, me rend ma carte.

« Excellente fin de journée à vous. »
« Vous aussi…Matsumoto-san. »

Il m’adresse un petit sourire timide et retourne sagement s’asseoir à sa place alors que le téléphone sonne au même instant. Moi, un peu honteux, je m’empresse de quitter la salle.

Ce qui s’est passé me hante les jours suivants, si bien que je ne m’autorise plus à aller à la bibliothèque. J’ai besoin de réfléchir à tout ça. Cerise sur le gâteau, Reina part en vacances chez ses grands-parents pour les deux semaines de congés que nous avons. Je reste donc seul à Tokyo, un peu maussade. Nous n’avons pas passé beaucoup de temps ensemble ces dernières semaines et je sais qu’elle m’en veut pour ça. Et comment je sais qu’elle m’en veut ? La veille de son départ, elle a refusé qu’on fasse l’amour. Ça me tue ! J’en ai besoin moi ! J’ai l’impression de passer pour un pervers avec elle…C’est vrai, j’ai besoin de le faire plus souvent qu’elle, c’est un peu une soupape face au stress et tout ça. Et même nos fantasmes diffèrent. Elle est classique, Reina, mais je ne devrais pas m’en plaindre. C’est une bonne petite-amie, il suffirait juste qu’elle se lâche au pieu…mais bon, après tout nous n’en sommes qu’à nos 6 mois ! Ouah, déjà 6 mois…

Note : Je suis revenu ! Bon, cette multi-longue-fic-chapitrée n'est pas terminée mais j'ai déjà écrit pas mal de pages. Je posterai plus ou moins régulièrement - du moins j'essaierai de le faire selon mes disponibilités - et je la finirai xD Oui oui je la finirai hein x) Pas d'inquiétudes, c'est juste que j'en ai tellement que j'en avance une à la fois xD Brefouille, je m'amuse bien avec celle-là parce qu'elle est aussi amusante qu'assez "sombre" sur certains points. NC-17, basée beaucoup voire essentiellement sur le sexe. Donc bon...ne vous attendez pas à quelque chose de trop "rose" quand je mets "amitié" xD Que dire d'autre pour ce début...eh bien, j'espère que ça vous plaira, tout de même ! Et n'hésitez pas à laisser un petit mot :) Merci à vous ♥ Et à bientôt !

genre: amitié, genre: au, multi-chapitres, matsumoto jun, pairing : sakumoto, rating: nc-17, rating: r, sakurai sho

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