La réalité
Titre: La réalité
Fandom : Mézérhían
Personnage : Maeron
Rating : Pg-13
Disclaimer : Tout à moi ^^
Nombre de mots : 514 mots
Maeron atteignit rapidement la sécurité de la forêt. Il avait courut à en perdre haleine des portes du château jusqu'au couvert des bois. Il ne ralentit que lorsqu'il retrouva l'obscurité rassurante des sous bois. Ses poumons le brûlaient et son cerveau semblait tourner au ralenti. Une phrase atrocement douloureuse tournait en boucle dans sa tête et il n'arrivait à se concentrer sur rien d’autre.
Tea était la princesse. Tea était la princesse.
Cette horrible vérité l'avait poignardée en plein cœur et le fait qu'elle le supplie de le suivre ne pouvait signifier qu'une chose. Les allégations du chevalier étaient vraies. Tea était l’héritière du Royaume. La fille du Roi, l’unique fille d'Aelred Mézérhían.
Le chasseur s’enfonça dans les sous bois, enjambant souplement les racines, ne faisant attention à rien, se concentrant sur les halètements de son loup courant à ses cotés. Et pourtant son esprit continuait de s’égarer alors que son corps lui faisait atrocement mal. Tea lui avait mentit. Elle lui avait menti depuis leur première rencontre. A ce moment là ça aurait pu être compréhensible. Mais depuis tout ce temps elle aurait pu lui dire la vérité. Il lui avait posé des question sur sa famille et elle avait toujours répondu de manière évasive. Elle disait être la servante de la princesse, la fille du cuisinier mais tout cela n'était que des mensonges
Il continua sa course, les poumons en feu et les jambes en coton. Elle lui avait sauvé la vie, et il s’était confié à elle. Elle avait vu ses cicatrices, elle savait pour les maltraitances, bien qu'elle n'aie jamais vu son dos. Elle était au courant pour ses poignets, pour sa souffrance. Il avait raconté ses secrets les plus intimes à.... la princesse.
Il sentit un atroce douleur lui percuter la poitrine et se mit à haleter encore plus fort. Il s'obligea à ralentir sa course car la sensations d’étouffement était trop forte. Elle lui avait mentit et surtout elle lui avait donné de faux espoirs car il ne pouvait se voiler la face désormais. Il avait quitté la sécurité de sa foret dans le but de lui faire plaisir. De la voir sourire, de découvrir un morceau de son univers. Il était tombé amoureux de Tea. Il était fou de sa joie de vivre, de son impulsivité, de l'insolence et de la colère qui semblait l'animé et qui la rendait si spéciale.
Mais maintenant il ne pouvait plus refuser de voir la vérité en face. Il était tombé amoureux de la princesse. De l’héritière du trône, de celle qui un jour gouvernerait le Royaume. Lui un bâtard de chasseur, amoureux de la princesse. C'est lorsque quelque chose se brisa dan sa poitrine qu'il réalisa qu'inconsciemment il avait battit de nombreux espoirs et que ceux-ci partaient en fumée pour toujours. Et c'est cette révélation et cette douleur qui le fit trébuché. Il tomba à genoux, s’appuyant conte le tronc rugueux d'un arbre, s’éraflant la paume des mains sur l’écorce coupante. Mais cette douleur n'était rien comparée à celle qui semblait lui perforer le cœur et lui arracha un grognement.
Fandom : Mézérhían
Personnage : Maeron
Rating : Pg-13
Disclaimer : Tout à moi ^^
Nombre de mots : 514 mots
Maeron atteignit rapidement la sécurité de la forêt. Il avait courut à en perdre haleine des portes du château jusqu'au couvert des bois. Il ne ralentit que lorsqu'il retrouva l'obscurité rassurante des sous bois. Ses poumons le brûlaient et son cerveau semblait tourner au ralenti. Une phrase atrocement douloureuse tournait en boucle dans sa tête et il n'arrivait à se concentrer sur rien d’autre.
Tea était la princesse. Tea était la princesse.
Cette horrible vérité l'avait poignardée en plein cœur et le fait qu'elle le supplie de le suivre ne pouvait signifier qu'une chose. Les allégations du chevalier étaient vraies. Tea était l’héritière du Royaume. La fille du Roi, l’unique fille d'Aelred Mézérhían.
Le chasseur s’enfonça dans les sous bois, enjambant souplement les racines, ne faisant attention à rien, se concentrant sur les halètements de son loup courant à ses cotés. Et pourtant son esprit continuait de s’égarer alors que son corps lui faisait atrocement mal. Tea lui avait mentit. Elle lui avait menti depuis leur première rencontre. A ce moment là ça aurait pu être compréhensible. Mais depuis tout ce temps elle aurait pu lui dire la vérité. Il lui avait posé des question sur sa famille et elle avait toujours répondu de manière évasive. Elle disait être la servante de la princesse, la fille du cuisinier mais tout cela n'était que des mensonges
Il continua sa course, les poumons en feu et les jambes en coton. Elle lui avait sauvé la vie, et il s’était confié à elle. Elle avait vu ses cicatrices, elle savait pour les maltraitances, bien qu'elle n'aie jamais vu son dos. Elle était au courant pour ses poignets, pour sa souffrance. Il avait raconté ses secrets les plus intimes à.... la princesse.
Il sentit un atroce douleur lui percuter la poitrine et se mit à haleter encore plus fort. Il s'obligea à ralentir sa course car la sensations d’étouffement était trop forte. Elle lui avait mentit et surtout elle lui avait donné de faux espoirs car il ne pouvait se voiler la face désormais. Il avait quitté la sécurité de sa foret dans le but de lui faire plaisir. De la voir sourire, de découvrir un morceau de son univers. Il était tombé amoureux de Tea. Il était fou de sa joie de vivre, de son impulsivité, de l'insolence et de la colère qui semblait l'animé et qui la rendait si spéciale.
Mais maintenant il ne pouvait plus refuser de voir la vérité en face. Il était tombé amoureux de la princesse. De l’héritière du trône, de celle qui un jour gouvernerait le Royaume. Lui un bâtard de chasseur, amoureux de la princesse. C'est lorsque quelque chose se brisa dan sa poitrine qu'il réalisa qu'inconsciemment il avait battit de nombreux espoirs et que ceux-ci partaient en fumée pour toujours. Et c'est cette révélation et cette douleur qui le fit trébuché. Il tomba à genoux, s’appuyant conte le tronc rugueux d'un arbre, s’éraflant la paume des mains sur l’écorce coupante. Mais cette douleur n'était rien comparée à celle qui semblait lui perforer le cœur et lui arracha un grognement.