Seven Seeds
Une recommandation de manga, de shojo même. Venant de moi qui me suis lassée il y a un certain temps de ces petites bêtes c'est vraiment dire si il s'agit d'un manga extraordinaire.
Laissez-moi donc vous parler de Seven Seeds publié chez Pika et dessiné et écrit par Yumi Tamura, déjà auteur d'un très bon autre shojo : Basara.
Notre histoire s'ouvre en pleine confusion, celle de Natsu, une jeune lycéenne qui se réveille en pleine tempête dans un truc flottant inidentifiable en train de couler alors que son dernier souvenir est celui d'un dîner avec ses parents la veille. Elle se retrouve ainsi projetée dans un monde hostile avec quatre compagnons qu'elle ne connaît pas et avec qui elle n'a en commun que la langue japonaise et le fait que son prénom ait un rapport avec l'été.
Fille timide et brimée à l'école, Natsu n'est absolument pas prête à faire face à cette situation terrifiante et angoissante car la nature autour d'elle ne ressemble aucunement à celle qu'elle connaît et a pris des dimensions gigantesques. Mais petit à petit alors que le fil du scénario se déroule pour nous expliquer où se trouvent Natsu et ses compagnons, cette dernière apprend à faire face, à tirer parti de ses forces et à accepter ses faiblesses.
Ce manga est incroyablement bien. Pourquoi ? parce qu'il me fait palpiter et aussi pleurer. La souffrance de tous les personnages, l'impossibilité de nier la catastrophe, le courage des uns et des autres, tout ça m'émeut affreusement et plus on plonge dans les volumes plus le passé s'ouvre et par flash-backs on découvre les corrélations terrifiantes, émouvantes.
Tout ce que je dis à l'air assez abstrait, mais de peur de vous spoiler les grandes révélations du titre je préfère me censurer.
Certains s'arrêteront peut-être au dessin. Ce n'est pas le plus beau sur le marché mais il sert une histoire tellement puissante tellement prenante, tellement bien travaillée qu'à la vérité il fonctionne très bien.
Si vous avez lu Basara, si vous aimez le shojo, et surtout si vous ne supportez pas le shojo, lisez Seven Seeds.
(Si la recommandation n'est pas claire, n'hésitez pas à me le dire, je fatigue un peu).
Laissez-moi donc vous parler de Seven Seeds publié chez Pika et dessiné et écrit par Yumi Tamura, déjà auteur d'un très bon autre shojo : Basara.
Notre histoire s'ouvre en pleine confusion, celle de Natsu, une jeune lycéenne qui se réveille en pleine tempête dans un truc flottant inidentifiable en train de couler alors que son dernier souvenir est celui d'un dîner avec ses parents la veille. Elle se retrouve ainsi projetée dans un monde hostile avec quatre compagnons qu'elle ne connaît pas et avec qui elle n'a en commun que la langue japonaise et le fait que son prénom ait un rapport avec l'été.
Fille timide et brimée à l'école, Natsu n'est absolument pas prête à faire face à cette situation terrifiante et angoissante car la nature autour d'elle ne ressemble aucunement à celle qu'elle connaît et a pris des dimensions gigantesques. Mais petit à petit alors que le fil du scénario se déroule pour nous expliquer où se trouvent Natsu et ses compagnons, cette dernière apprend à faire face, à tirer parti de ses forces et à accepter ses faiblesses.
Ce manga est incroyablement bien. Pourquoi ? parce qu'il me fait palpiter et aussi pleurer. La souffrance de tous les personnages, l'impossibilité de nier la catastrophe, le courage des uns et des autres, tout ça m'émeut affreusement et plus on plonge dans les volumes plus le passé s'ouvre et par flash-backs on découvre les corrélations terrifiantes, émouvantes.
Tout ce que je dis à l'air assez abstrait, mais de peur de vous spoiler les grandes révélations du titre je préfère me censurer.
Certains s'arrêteront peut-être au dessin. Ce n'est pas le plus beau sur le marché mais il sert une histoire tellement puissante tellement prenante, tellement bien travaillée qu'à la vérité il fonctionne très bien.
Si vous avez lu Basara, si vous aimez le shojo, et surtout si vous ne supportez pas le shojo, lisez Seven Seeds.
(Si la recommandation n'est pas claire, n'hésitez pas à me le dire, je fatigue un peu).